Il y a beaucoup de cerises dans le cerisier de Mémé Nini. « Quand elles seront mûres, je vais bien me régaler », dit-elle. Mais dans le cerisier de Mémé Nini, il y a aussi deux pies qui bavardent. Et que disent-elles ? « Quand les cerises seront mûres, nous allons bien nous régaler. »

Qui va manger les cerises de Mémé Nini ?

Comment un petit Souriceau surmonte ses appréhensions et se voit pousser des ailes, encouragé par les paroles de son père, Faisons-lui confiance ! Souriceau a très envie d'apprendre à lire ! Mais ses parents sont inquiets, il est encore si jeune... Pourtant son père décide de lui faire confiance. Souriceau se faufile alors dans une classe et écoute discrètement la leçon. Il se fait même un ami chez qui il fait ses devoirs. Les parents de Souriceau sont un peu paniqués mais devant les progrès de leur souriceau, ils oublient vite leurs appréhensions !

Souriceau veut apprendre à lire

Caramilulu la sorcière est très excitée : elle voudrait absolument gagner le concours de déguisements ! Qu'est-ce qui est le plus rigolo : se déguiser en poisson-clown ou en chauve-souris ?

Caramilulu se déguise

Dans un petit village des Alpes, à Chantournac, chaque année un habitant se déguise en loup. La jeune Margot est invitée à la fête par son papy. Va-t-elle découvrir qui se cache sous le masque du loup ?

La chaise du loup

Impasse Marie-Guisse, il y a une mystérieuse maison fermée, au milieu d'un jardin abandonné. Margot, qui habite en face, et Ernest, son matou, en font leur terrain de jeu. Mais un jour, un homme, accompagné d'un certain Tiburce, s'installe dans la maison. Pour Margot et Ernest, les escapades vont se compliquer. Il faut pourtant éclaircir le mystère, car le nouveau venu a un comportement bien étrange.

Ernest, Tiburce et la maison fermée

On dirait que ; on ferait semblant que... C'est rigolo d'inventer pour changer les choses. Quand on invente, parfois, on dit un peu la vérité. Ah bon ?

Pour de vrai pour de faux

" Le Morvan se situe en Bourgogne et non pas en Bretagne. Regarde dans l'atlas... J'ai remonté la vallée du Rhône, j'ai dépassé Lyon, et une fois en Bourgogne j'ai quitté les grands axes. On ne vient pas dans le Morvan par hasard. Tu me suis ? J'ai traversé Autun pour trouver la D980. Dès que j'ai franchi la porte de la ville, mon coeur a commencé à battre un peu plus vite. J'ai lu le panneau, comme le début d'un récit d'aventures : Vous entrez dans le Parc naturel régional du Morvan. J'ai ralenti l'allure pour ne rien perdre à partir de cet instant. Ciel bas, nuages gris, il pleuvait même, et je ne te cacherai pas que j'avais comme une petite angoisse. " Car, vois-tu, on entre dans le Morvan comme on pénètre dans un intérieur, par des portes - Autun, Saulieu ou Avallon - et sans aller jusqu'à dire qu'on change de monde aussitôt, on a le sentiment d'avoir tourné une page. " Au fil d'une correspondance avec les siens, Anne-Marie Abitan, méridionale, en résidence d'écrivain dans le Parc naturel régional du Morvan, nous livre, à la manière des impressionnistes, sa perception du territoire morvandiau et de ses habitants.

Ses oeuvres

Ses derniers livres