Marie prépare son bac blanc. Un soir elle est contactée par Pierre, un esprit mort récemment. Celui-ci, en s'appuyant sur une expérience insolite vécue peu de temps avant sa mort, lui dévoile sa conception de l'univers, du big-bang, de l'au-delà... en passant par le fonctionnement du cerveau humain.

Par le biais de cet échange étonnant, Marie se métamorphose et abandonne ses croyances, ses peurs... pour adopter une vision du monde plus subtile et plus énergétique. Son nouvel ami et confident lui fait prendre conscience des véritables pouvoirs de l'être humain. Les liens puissants tissés entre Marie et Pierre iront même bousculer leurs plans et les amèneront à vivre l'inconcevable, transcender la mort... Et si nous avions inversé le sens de notre énergie vitale : l'amour ?

« Une aventure spirituelle aux portes de la Connaissance athée universelle. »

Dialogues avec un esprit

A la suite du succès de son colloque de janvier 2012, l'association "Guillaume de Nogaret, histoire médiévale en Bas-Languedoc" a voulu poursuivre son action en réunissant à Montpellier et Nîmes les 29 et 30 novembre 2013 certains des meilleurs spécialistes des XIIIe et XIVe siècles français. Ceux-ci ont présenté leurs travaux récents autour de deux grands thèmes : l'implantation capétienne dans le Midi de la France et un état de la recherche sur le Languedocien Nogaret, une des chevilles ouvrières de cette implantation. Le 700e anniversaire de la mort du légiste était à nos yeux une excellente occasion de se pencher sur une personnalité considérable mais dont il est encore difficile de parler paisiblement. Les communications contenues dans cet ouvrage nous permettent de mieux connaître le cadre dans lequel a fonctionné la domination royale à cette époque et les conditions dans lesquelles elle s'est développée dans notre région. Elles nous permettent aussi de mieux connaître Nogaret, ses méthodes de travail, ses raisonnements juridiques et la façon dont il les met au service de son roi, sa manière d'agir au sein de ce qui n'est pas encore un gouvernement mais commence à y ressembler. Les actes du colloque livrent à la communauté scientifique des historiens mais aussi, nous l'espérons, au grand public des éléments d'information et de réflexion sur de nombreux aspects encore peu connus du fonctionnement et de l'action de la monarchie capétienne quelques années avant qu'elle cède la place à la branche des Valois. Bien avant Fleury, Cambacérès ou Guizot, Nogaret ouvre la lignée des grands Languedociens qui, à travers la diversité des régimes, ont su trouver dans leurs origines les talents et l'ardeur nécessaires pour bien servir l'Etat en mettant leur solide formation juridique au service d'un projet politique.

La royauté capétienne et le Midi au temps de Guillaume de Nogaret - Actes du colloque de Montpellier et Nîmes, 29 et 30 novembre 2013

Quand on habite entre Nîmes et Vidourle, on peut s'étonner de l'oubli dans lequel est tombé Guillaume de Nogaret, un Languedocien aussi éminent que contesté. Sa place de premier plan auprès de Philippe le Bel est largement due au rôle qu'il a joué dans la solution de litiges concernant notre région, rôle qui lui a permis de faire apprécier ses mérites par son souverain. Celui-ci, n'oubliant ni les origines de son collaborateur ni ses liens avec la faculté de droit de Montpellier, a su voir tout l'intérêt que présenterait pour lui un meilleur ancrage de Nogaret dans sa province natale. Il lui confia donc la charge de juge-mage de la sénéchaussée de Beaucaire avant de lui attribuer les seigneuries de Calvisson, Marsillargues et Manduel, ainsi que des droits seigneuriaux dans une trentaine de villages autour de Nîmes avant d'en faire son garde du sceau. Nogaret sut s'intéresser à la gestion de ses biens et y procéder à des investissements, même si ses activités ne lui permettaient pas de séjourner régulièrement en Languedoc. Et pourtant, son rôle aussi bien local que national n'a guère encore été étudié ou n'a fait l'objet que d'études peu accessibles à un public non spécialisé, pour lequel Nogaret est trop souvent limité à son action dans les affaires d'Anagni et de l'Ordre du Temple.

Guillaume de Nogaret. Un Languedocien au service de la monarchie capétienne

L'ouvrage a pour objet la publication des actes du colloque organisé le 20 janvier 2012 à la salle de conférences de Carré d'art à Nîmes par l'association Guillaume de Nogaret, histoire médiévale en Bas- Languedoc. Celle-ci s'est constituée le 5 janvier 2011, à l'initiative d'un groupe de personnes habitant les territoires situés entre Nîmes et Montpellier dans lesquels le chancelier de Philippe le Bel détenait les seigneuries de Calvisson, Marsillargues et Manduel, ainsi que des droits seigneuriaux dans de très nombreux villages.
Considérant que pour des Languedociens, Nogaret présente donc un intérêt régional particulier susceptible d'apporter un éclairage nouveau sur le rôle majeur qui fut le sien au plan national, l'association se propose d'encourager les études et la recherche patrimoniale sur Guillaume de Nogaret par la voie de publications, l'organisation de colloques et conférences et, de façon plus générale, d'encourager la recherche sur l'histoire du Moyen-Âge en Bas-Languedoc.
Si le nom de Guillaume de Nogaret est fameux, il est entaché d'une « légende noire », marquée par « l'attentat d'Anagni » et l'affaire des Templiers. Son rôle politique reste encore mal connu et il a peu fait l'objet d'études spécifiques, tout au moins en direction du grand public. Nos travaux et le livre qui en rend compte s'efforcent, à l'échelle locale, de contribuer au comblement de ce déficit d'information et de le faire dans une optique scientifique régionale. C'est pourquoi nous avons privilégié des professeurs des universités voisines

Guillaume de Nogaret ; un languedocien au service de la monarchie capétienne

Un petit monsieur écrit sur des bouts de papier petit monsieur tout seul cherche un ami me contacter. Le petit monsieur au vent jette les papiers attend dix jours et puis dix nuits le perce-neige fleurit l'oiseau chante un matin c'est beau à en pleurer. Qui a lu les petits papiers ? Pour lecteur à partir de 5 ans et jusqu'à plus que centenaires.

Crobards et mounièques - Occasion

Le protocole et le cérémonial ne sont guère à la mode de nos jours et il n'est question que de leur simplification, gage ou symbole du moins d'Etat du rapprochement entre les dirigeants et les citoyens. Pourtant la survivance et la force du protocole parlementaire ne traduiraient-elles pas la vitalité de l'idéal démocratique et la qualité des procédures de représentation, et de contrôle que les vieilles sociétés ont su mettre en place ? Bernard Moreau au terme d'un examen des usages traditionnels dans divers pays, constate leur caractère indispensable au fonctionnement harmonieux des pouvoirs publics.

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