Le Léman est au-delà des mots. Lago di Losanna, Genfersee, Lac Léman, Lake of Geneva : le nommer, c'est vouloir le posséder et c'est déjà le trahir. Il faut laisser parler les images.S'ils photographient le plus souvent des sujets bien différents, Claude Dussez et Vincent Guignet ont une même inclination pour les démarches légèrement décalées. Ce goût commun leur permet de raconter des histoires nouvelles sur des lieux connus de tous.
L'envie de travailler à deux s'est imposée, tant leurs regards sont complices et complémentaires. Le Léman leur est apparu comme une évidence car il rassemble autant de lieux emblématiques que de personnages truculents.Ils ont choisi de se laisser porter par les contours de ce lac, de rebondir de rencontre en découverte, pour cerner les endroits et les gens qui rendent ce lieu hautement symbolique.
Leur travail photographique joue du champ-contrechamp aussi bien que des visions parallèles. Il est relevé de textes de l'écrivain Blaise Hofmann, qui ponctuent avec malice et poésie cette fresque lémanique inédite.

Léman ; bien plus qu'un lac

Claude Dussez et Quentin Mouron connaissent bien l'Ouest américain. Ils ont tous les deux parcouru ces déserts où le rêve s'effrite, lentement, se résorbant sans bruit dans le décor minéral, où la poussière retourne à la poussière. Claude Dussez en a rapporté une série de clichés sur lesquels l'humain n'apparaît le plus souvent que sous forme de trace. Les photographies sont accompagnées d'un long poème de Quentin Mouron, qui dit la poussière, l'aridité des paysages et des sentiments, le temps qui passe - et ne laisse que des ruines.

Lost

Une plongée photographique et poétique douce-amère dans l'atmosphère de la côte ouest des Etats-Unis.Claude Dussez et Quentin Mouron connaissent bien l'Ouest américain. Ils ont tous les deux parcouru ces déserts où le rêve s'effrite, lentement, se résorbant sans bruit dans le décor minéral, où la poussière retourne à la poussière. Claude Dussez en a rapporté une série de clichés sur lesquels l'humain n'apparaît le plus souvent que sous forme de trace. Les photographies sont accompagnées d'un long poème de Quentin Mouron, qui dit la poussière, l'aridité des paysages et des sentiments, le temps qui passe – et ne laisse que des ruines.

Le photographe suisse Claude Dussez a mené un travail personnel de 2009 à 2013 qui présente des photographies en noir/blanc de plus de 150 artistes suisses. La particularité de ces photos tient essentiellement au contexte dans lequel elles ont été réalisées. En effet, tous ces artistes ont été photographiés dans l'intimité de leur atelier, de leur studio ou de leurs espaces professionnels, lors de répétition, de création ou encore de réflexion sur leur travail.
En étant le témoin unique de ces instants, le photographe a su capter toutes les émotions qui en découlent. Ces photographies mettent ainsi en lumière des moments de création et rendent hommage aux artistes suisses. Elles touchent des domaines artistiques aussi différents que la peinture, le dessin, la sculpture, l'écriture, la musique, le cinéma, l'humour, le théâtre, la photographie, etc. En plus des photographies, la parole a été donnée à chaque protagonistes de ce projet afin qu'il dise ce que signifie pour lui que d'être "Artiste".
À l'arrivée un regard nouveau sur la création artistique en Suisse.

Ses oeuvres

Ses derniers livres