L'un a fait l'expérience du délit, de la prison et des voies du retour. L'autre a connu une prestigieuse carrière de médecin. Ils ont en commun une foi que ni l'épreuve ni le succès n'ont altérée.

Après sa libération, Daniel Moreau a fait la connaissance de Patrick Vinay dans un groupe de prière. Entre ces deux hommes aux parcours dépareillés, une relation de confiance est née et a ouvert la voie aux entretiens qui forment ce livre. Il y est question de fragilité, de cécité, de guérison et de justice réparatrice. On y découvre aussi l'humanité et l'entraide qui s'établissent entre codétenus. Dans une vie bouleversée, Daniel Moreau se sent appelé à travailler désormais à la réinsertion sociale harmonieuse de ceux qui ont vécu la prison et qui ont réalisé un profond travail sur eux-mêmes. Ceux-là espèrent l'accueil réservé à l'enfant prodigue. Serons-nous au rendez-vous??

Dans ce livre, un souffle spirituel secoue les branches du buisson qui renaît. Des poèmes en forme de psaumes en rappellent la musique et élargissent l'espace pour témoigner de l'invisible à l'ouvre.

Une lumière dans la nuit - Du délit à la réparation

Les chemins du philosophe du je-ne-sais-quoi et du presque-rien nous conduisent avec une constance remarquable, par des notions comme le don de soi, la générosité, l'union amoureuse et la réciprocité, à ce paradoxe à la fois classique et combien actuel : il faut passer par l'autre pour fonder sa propre existence, et encore son identité, telle que nous la forgeons dans notre devenir propre avec ses choix, ses obstacles et ses rencontres.

En ces temps de crise, si profondément marqués par le narcissisme et par la violence, qu'en est-il de notre rapport à autrui? Pour répondre à cette question, l'auteur du présent ouvrage nous invite à relire le philosophe Vladimir Jankélévitch (1903-1985), car le thème d'autrui joue un rôle majeur dans toute sa philosophie et en constitue même, en un sens, l'apogée. À la fin de cette lecture critique, centrée sur les préoccupations morales de Jankélévitch, nous aurons compris pourquoi et comment le don de soi permet de vivre en plénitude, dans l'amour comme dans la perspective tragique de la mort.

La question du rapport à autrui dans la philosophie de Vladimir Jankélévitvh

Les chemins du philosophe du je-ne-sais-quoi et du presque-rien nous conduisent avec une constance remarquable, par des notions comme le don de soi, la générosité, l'union amoureuse et la réciprocité, à ce paradoxe à la fois classique et combien actuel : il faut passer par l'autre pour fonder sa propre existence, et encore son identité, telle que nous la forgeons dans notre devenir propre avec ses choix, ses obstacles et ses rencontres. En ces temps de crise, si profondément marqués par le narcissisme et par la violence, qu'en est-il de notre rapport à autrui ? Pour répondre à cette question, l'auteur du présent ouvrage nous invite à relire le philosophe Vladimir Jankélévitch (1903-1985), car le thème d'autrui joue un rôle majeur dans toute sa philosophie et en constitue même, en un sens, l'apogée. À la fin de cette lecture critique, centrée sur les préoccupations morales de Jankélévitch, nous aurons compris pourquoi et comment le don de soi permet de vivre en plénitude, dans l'amour comme dans la perspective tragique de la mort.

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Drancy Tome 1

Drancy - Tome 2

Rémi Lardand, journaliste un peu rêveur, est chargé par un grand magazine américain de faire le portrait d'un homme d'affaires, en pleine ascension, qui souhaite acquérir en France un groupe d'édition. D'emblée, Rémi a la sensation fort désagréable d'avoir déjà rencontré pendant la guerre, dans la " maison rouge ", l'homme sur lequel il doit enquêter. Et très vite, de New York à Paris, de Londres à Istanbul, son reportage va prendre une inquiétante tournure sur fond de meurtres, de trafics douteux et de terrorisme...

L'homme de la maison rouge - Chronique d'une ténébreuse enquête de New York à Istanbul - Occasion

Cette masse considérable de feuillets, peut-être bien deux cents, ce n'était pas des lettres écrites et jamais envoyées, non, je le vis tout de suite. Il ne s'agissait pas non plus d'un journal, Gary ne semblait pas s'intéresser à notre vie de tous les jours sur les routes de France, c'était autre chose, un récit qui n'avait rien d'un roman imaginé de toutes pièces, une histoire vécue dont il voulait rendre compte. Je crois que je brûle, je sais, je n'aurais jamais dû, j'en suis parfaitement conscient, m'asseoir à cette petite table sous cet abat-jour de tissu jaune pâle ni commencer à lire la première page. Mais j'en fus tout étonné, Gary avait une plume alerte, une écriture facile et puis, pourquoi ne pas l'avouer, dès les premières lignes je sentis bien que son sujet m'intriguait.

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