De toutes les grandes maisons de couture parisiennes, Dior est peut-être la plus connue et la plus prestigieuse au monde, incarnant une vision sublime et magique de la féminité – que les successeurs de Christian Dior ont su garder vivante, tout en la renouvelant sans cesse grâce à leurs interprétations propres. Christian Dior relate l'incroyable histoire et l'héritage de cette Maison depuis sa fondation en 1947, en passant par les contributions de chacun de ses directeurs artistiques, les défilés et les manifestations publiques, les clients célèbres qui ont porté ces robes jusqu'aux anonymes « petites mains » qui les ont cousues. Originalement publiée à l'occasion du soixantième anniversaire de la légendaire maison de couture, cette nouvelle édition révèle ses plus belles robes haute couture, depuis ses tout débuts, par le biais des photographies originales de Laziz Hamani, les excellents textes érudits de l'historien de mode Farid Chenoune (portant sur Christian Dior et les couturiers qui se sont succédé dans cette Maison, de Yves Saint Laurent, Marc Bohan et Gianfranco Ferré à John Galliano et Raf Simons), outre d'incroyables photographies de mannequins célèbres, tels que Suzy Parker et Kate Moss, chacune immortalisée en Dior par les plus grands photographes de mode de tous les temps, depuis Irving Penn et Richard Avedon jusqu'à Patrick Demarchelier. Cet impressionnant ouvrage a su saisir l'atmosphère et la créativité de chaque époque, grâce à tout un panel d'images iconiques réalisées lors des défilés, dans les ateliers et derrière la scène ; images de mannequins et clients célèbres de chaque période, et plus de cent cinquante créations Dior parmi les plus belles, sans omettre une chronologie exhaustive des collections et dates clés de la Maison.

De Dior à Raf Simons

Impressions Dior - Dior et l'impressionnisme

Cette phrase emblématique résume à elle seule la place qu'il faut désormais donner à Yves Saint Laurent (1936-2008), celle d'un artiste, dont l'univers était la mode, qui toute sa vie a été en quête de perfection. En effet, s'il n'avait ni toile, ni pinceau, ni tubes de couleurs, Yves Saint Laurent avait ses dessins, ses tissus, ses mannequins, ses ateliers. Ainsi naissait, entre les mains de ce créateur d'exception, un chef-d'oeuvre. C'est toute cette création que raconte ce livre, publié à l'occasion de l'exposition présentée au Petit Palais, à Paris. Ouvrage de référence dont chaque page est une découverte pour tous ceux qui abordent pour la première fois l'oeuvre de ce maître de la haute couture, une rencontre pour le lecteur averti comme pour l'amateur de beaux livres. Sous la direction de Florence Müller et Farid Chenoune, on découvre un entretien inédit avec Pierre Bergé, une longue chronologie richement illustrée, le vestiaire des femmes modernes inventé par Yves Saint Laurent, des portraits de "femmes Saint Laurent " (Loulou de la Falaise, Lauren Bacall, Bette Catroux, Paloma Picasso...), des photographies de Richard Avedon, Jeanloup Sieff, Helmut Newton, Pierre Boulat..., ainsi que le catalogue complet des modèles présentés.

Yves Saint Laurent

De tous les objets inventés pour en transporter d'autres, le sac est le plus universel, le plus ancien. Sacs de roi ou de vagabonds, de sorciers ou de stars, de nomades ou de métiers, de griots ou de femmes à la mode, de tous les jours ou de cérémonie, à ce serviteur muet chacun confie des choses essentielles : graines, argent, outils, dons oratoires, petits instruments de la féminité. Les pouvoirs et les secrets qu'il recèle en font un objet précieux, toujours unique. Du cabas au sac à main, du balluchon à la bourse, du filet au sac d'artiste, ce livre abondamment illustré explore, à travers les âges et les civilisations, la richesse du monde des sacs et des sacs du monde.

Le cas du sac - Histoire d'une utopie portative

Les Dessous De La Feminite. Un Siecle De Lingerie

Depuis sa première collection à la fin des années soixante-dix, Jean-Paul Gaultier n'a cessé de détonner par son inventivité, son énergie et sa capacité à jouer avec cet objet bizarre et magique, qu'on appelle la mode. Au point de devenir son enfant terrible. A travers son art du mixage, ses prouesses de style inspirées de la rue (celle de Paris comme celle de Londres) et sa façon gouailleuse de bousculer les frontières du beau et du laid, de l'élégant et du vulgaire, il n'a cessé aussi de rester dans le droit fil de celle qui habitait ses rêves de gamin banlieusard, la reine des arts de l'apparence : la haute couture.

Ses oeuvres

Ses derniers livres