This beautifully illustrated book showcases the Hindu and Jain temples of Maharashtra, Telangana, Andhra Pradesh and Karnataka built prior to the invasion of peninsular India by the Delhi sultans at the end of the 13th century. Unlike temples in many other parts of India, those of the Deccan are well preserved, with their wealth of figural and decorative carvings miraculously intact. They demonstrate the development of Indian sacred architecture and art over a span of more than 600 years. Focusing on some 50 historical sites, the Temple Architecture of Deccan India begins with artificially excavated «cave» shrines dedicated to various Hindu deities, before proceeding on to examine free-standing Hindu and Jain monuments sponsored by successive rulers of the Deccan. Attention is paid to the beautiful sculptures found on temple basements, walls, brackets and ceilings. Carved in crisp relief, and sometimes even in three dimensions, these carvings are among the greatest glories of Indian stone art. Among the featured highlights are the cave temple on the island of Elephanta, with its stupendous representation of three-headed Sadashiva; the colossal, monolithic Kailasa temple at Ellora, a technical feat unsurpassed in the entire history of Indian architecture; the magnificent columned pavilion at Hanamkonda, now currently being reconstructed; and the temple at Belur, with its exquisitely carved female figural brackets. Specially commissioned plans of temple layouts accompany 300+ photographs. and clarify the succession of dynasties that governed the Deccan during the centuries covered here. Maps locate the temple sites, while passages of text illuminate the succession of dynasties that governed the Deccan from the 7th to 13th centuries. Educational, accessible and beautifully illustrated, this book will be of interest to anyone fascinated by Indian architecture.

Temples of Deccan India

Architecture et jardins moghols se veut être une traversée des plus emblématiques réalisations architecturales de l'Empire moghol, dynastie qui régna sur les terres de l'Inde, du Pakistan et du Bangladesh actuels au cours des XVIe et XVIIe siècles, et dont le Fort rouge de Delhi et le fameux Taj Mahal d'Agra figurent parmi les plus parfaits exemples. Historien de l'architecture, spécialiste de l'Inde ancienne, George Michell retrace dans des textes pointus l'histoire et les particularités de ces monuments exceptionnels, de Dehli à Agra en passant par Fatehpur Sikri et Lahore. Les somptueuses photographies d'Amit Pasricha témoignant de l'incroyable pouvoir et des richesses de cet empire.

Architecture et jardins moghols

Un milliard d'habitants, un million de révoltes, mille et un trésors... Des sommets de l'Himalaya et ses contreforts aux côtes tropicales en passant par les vallées fertiles drainées par le Gange et le Brahmapoutre, les déserts de l'Ouest aride, le plateau du Deccan et les Ghats, l'Inde s'étire sur plus de 3000 kilomètres du nord au sud. Tour à tour plongé dans une végétation luxuriante, baigné par les marais et les mangroves ou bien asséché par les déserts, le pays est aussi profondément marqué par la main de l'homme qui y a édifié, au fil des siècles, des cités tentaculaires, des palais fortifiés et des temples grandioses. Car l'histoire du sous-continent, véritable creuset des cultures, oscille entre conquêtes, dominations et indépendance. Au deuxième rang de la population mondiale, l'Inde, mosaïques d'ethnies, de religions et de castes, offre une large diversité sociale. C'est ce panorama que nous vous proposons de découvrir à travers les habitant, les paysages, l'histoire et une culture plurimillénaire, entre tradition et modernité.

Inde

Le style moghol est la création délibérée d'une lignée de souverains qui, dans l'Inde du XVIe au XIXe siècle, encouragèrent, employèrent et financèrent des générations d'architectes, de calligraphes, de peintres, de tisserands et d'artisans du métal. Puisant au coeur des arts du monde islamique plus vaste, notamment la Perse et l'Asie centrale, mais solidement enraciné dans les traditions indiennes, ce style imprégna le moindre aspect de la vie des empereurs moghols - de Babur à Aurangzeb -, de leur aristocratie et des membres de leur famille. Il influença leurs manières et l'étiquette de la Cour, les plats et les coupes à vin qu'ils utilisaient, leurs riches vêtements et leurs somptueux bijoux, les opulents intérieurs de leurs palais ornés de magnifiques tapis et de brocarts, et les majestueux monuments - tels le Taj Mahal ou les Forts rouges d'Agra et de Delhi - qui proclamaient leur richesse et leur puissance.

Splendeurs mogholes ; Art et architecture dans l'Inde islamique

L'architecture palatiale de l'Etat du Rajasthan, au nord-ouest de l'Inde, est très certainement la plus exceptionnelle de l'architecture civile indienne ; c'est sans doute la raison pour laquelle il s'agit de la région la plus visitée - et la plus aimée - des touristes français. De nombreux voyages en Inde ont permis à Antonio Martinelli de visiter tous ces hauts lieux aujourd'hui restaurés, souvent transformés en luxueux palaces internationaux, mais qui sont parfois encore des demeures privées. Architectures de marbre ou de céramique, décors de peintures ou d'ébénisterie, parois de verre ou de stuc, mobilier fabriqué dans des essences raffinées, le visiteur tombe instantanément sous le charme de ces palais des mille et une nuits.

Palais du Rajasthan

En 1786, Thomas Daniell, peintre de carosses, débarque en Inde avec son neveu William, dans l'espoir d'y trouver des sujets propres à séduire le public britannique de l'époque, friand d'exotisme et d'aventures lointaines. Armés d'une camera obscura, ils entreprennent trois voyages qui les mènent dans les régions les plus reculées du pays. Ils exécutent alors un nombre important de croquis avec la plus grande précision possible, les retravaillant ensuite en détails pour en tirer gravures, huiles ou aquatintes.
De retour en Angleterre en 1794, ils s'attellent pendant plus de dix ans à la publication de cent quarante-quatre vues des Indes ainsi étudiées. Oriental Scenery, le monumental ouvrage qui en résulta, six volumes ornés de leurs délicates aquatintes, connut un immense succès.
Près de deux siècles plus tard, le photographe Antonio Martinelli est tombé sous le charme de ces œuvres. Après deux ans de recherches pour reconstituer le périple des Daniell, il est parti sur leurs traces, avec sa propre chambre noire. Le présent ouvrage met en correspondance ces deux quêtes parallèles : les magistrales images rapportées par Antonio Martinelli de ses voyages égalent les aquatintes par leur qualité artistique et leur valeur documentaire. Elles révèlent aussi de manière frappante et inattendue comment les Daniell ont anticipé la photographie. Le rapprochement de scènes semblables illustrées par deux médias différents révèle l'extraordinaire dimension esthétique de cette entreprise, grâce à laquelle deux cents ans de l'histoire indienne sont franchis d'un seul regard.

Ses oeuvres

Ses derniers livres