Après avoir sillonné la planète en tant que grand reporter, il avait décidé de fuir un monde trop artificiel à son goût en s'installant dans ce petit coin de paradis où ne comptaient plus que le plaisir de la pêche, le parfum de la mer, et la simple amitié de quelques personnes sans prétention. Mais un jour, au hasard d'un tournage dans la région, il a croisé le regard de cette actrice qu'il admirait depuis toujours. Il avait vu dans ses yeux que, comme lui, elle avait besoin d'ailleurs. Il pensait qu'elle ne pouvait pas s'intéresser à l'inconnu qu'il était pour elle. Pourtant, il avait éprouvé une telle envie de l'aider qu'il avait osé lui parler. Il avait réussi à gagner son attention, puis beaucoup plus. Mais restait ce qui, très vite, était devenu l'essentiel pour lui : parvenir à la garder malgré leurs vies si différentes ?

L'actrice

Cela pourrait être la devise de Franz-Olivier Giesbert, chroniqueur, écrivain, patron de presse mais aussi –et surtout ?- polémiste viscéral. Témoin de notre temps, ce personnage qui agace ou qui fascine ne laisse jamais indifférent. Jean Paul Croizé, qui a travaillé près de quinze ans avec lui au Figaro livre un portrait sans complaisance de cet homme hors du commun, critiqué par les uns pour ses contradictions, admiré par les autres pour ses prises de positions provocatrices. Qui est réellement Giesbert l’insoumis ?

Giesbert l'insoumis

Le grand bateau

Nous sommes dans le pays du Gévaudan où le héros croise sur le marché du petit village de Monistrol d'Allier une jeune femme qui le regarde d'une manière étrange. Il rêve alors qu'il est lié avec cette inconnue. Et que s'il est venu ici, c'est parce qu'il doit la délivrer d'une malédiction qui règne encore dans cette région reculée où subsistent des peurs millénaires. Entre rêve et réalité, au travers de ces paysages grandioses, il va douloureusement chercher cette jeune femme qu'il l'a peut-être déjà connue et aimée dans le passé. Il va trouver ses certitudes au contact de l'Allier, la rivière la plus sauvage de France, avec laquelle il se découvre des liens qui vont eux aussi au delà du réel. Cette épopée de l'autre côté du miroir, va également le faire plonger au coeur de la plus terrible des malédictions, celle ci bien réelle, qui a frappé la région voici deux siècles et demi, lorque la fameuse "Bête" du Gévaudan a terrorisé toute la région pendant quatre ans, de 1763 à 1767, en tuant plus de deux cent personnes. Va-t-il rêver ou réellement risquer sa vie pour arracher muse des griffes d'un mystérieux éleveur de faucons, et de "chiens de guerre", qui semble avoir un lien étroit avec la " Malebête ", l'animal maléfique du Gévaudan ? Et trouvera-t-il ici la nouvelle vie qu'il a toujours désiré sans s'en rendre compte, en même temps qu'il découvrira enfin la vérité sur cette Bête du gévaudan, que personne ne connait encore aujourd'hui avec certitude ?

La Malebête

Dans ce roman à caractère psychologique, Jean Paul Croizé s'attache à décrire les sentiments amoureux qu'un homme peut éprouver dès le plus jeune âge pour une femme. Il décrit ainsi un amour d'abord pleinement platonique, un amour d'enfant, puis raconte la transformation de ce sentiment en passion plus trouble, plus charnelle, à l'arrivée de l'adolescence, jusqu'à ce qu'un drame vienne mettre fin à la passion qu'il éprouve pour celle qu'il considère déjà comme la femme de sa vie. L'histoire aurait pu en rester là si, vingt ans après, il ne rencontrait pas une autre jeune femme qui lui rappelle étrangement celle qu'il n'a jamais pu complètement oublier. Qui est celle qui lui redonne l'espoir de trouver enfin la femme de sa vie ? Quel est son secret, qu'est ce qui fait d'elle celle grâce à laquelle il pourra peut être enfin vivre ce qu'il n'osait plus espérer. Trouvera-t-il la réponse à ces questions, et en même temps le bonheur en l'emmenant sur les traces de son passé dans le Golfe ?

Les amours du golfe

La dame blanche

Jean-Paul Croizé a mené sa carrière au Figaro, en tant que journaliste spécialisé dans les questions d'environnement. Les discours ambiants sur l'évolution du climat sont plus qu'alarmistes. À les entendre, la Terre est définitivement condamnée, et par la faute de l'homme. Ainsi nous menace-t-on du réchauffement de la planète. La terrible canicule de 2003 et ses 15 000 victimes françaises seraient censées en apporter la preuve. Sauf qu'en Belgique, la chaleur a été tout autant épouvantable, mais le nombre de décès quasiment nul. Sauf que les records de chaleur en France datent toujours de... 1923. Sauf qu'il n'a jamais fait aussi froid l'hiver dans le nord des États-Unis. Sauf qu'il s'est remis à pleuvoir régulièrement au Sahel, etc. La même incertitude règne en tout temps et en tout lieu :
- au XVIIIe siècle, la couche de glace recouvrant la Seine permettait de la franchir à cheval ;
- huit siècles plus tôt, le blé poussait au Groenland ;
- la grande montée des océans, il y a quelques milliers d'années, n'a pas de cause liée à la pollution humaine ;
- la Nature rejette depuis toujours du CO2 dans l'atmosphère en quantités sans commune mesure avec l'activité industrielle ;
- l'effet de serre ? Ses conséquences ne sont pas prouvées, et de plus, il favoriserait la croissance de la végétation. Il pourrait même s'avérer un bienfait en cas de période de refroidissement, risque qui n'est plus exclu aujourd'hui par les spécialistes.
Jean-Paul Croizé est convaincant. Parce qu'il s'appuie sur des études scientifiques indéniables. Parce qu'il explique qu'il faut continuer d'être vigilant mais ne pas se tromper de solutions. Et ne plus tergiverser dans leur mise en œuvre.

Climat - La fausse menace ? - Occasion

Que reste-t'il aujourd'hui du conflit du Golfe ? Des images et des questions. Ce livre, qui n'est pas un recueil de photos, offre des réponses. Outre le récit chronologique de l'ensemble des événements et une série de portraits des grands acteurs du conflit au travers de leurs déclarations-clés et de leurs décisions, il constitue la première analyse de cette guerre "chirurgicale" qui a changé les données géopolitiques de la planète. Jean-Paul Croizé et Thierry d'Athis ont vécu, heure par heure, cette "guerre des étoiles" avant la lettre. Ils font de nombreuses révélations sur les phases secrètes - ou encore inavouées - des combats, et sur la manière dont ils ont été menés : technologies sophistiquées, totale décentralisation du commandement, préparation des combats à l'aide de satellites-espions. En laminant la doctrine de guerre soviétique dont s'inspirait Saddam Hussein, ce "premier conflit du XXIe siècle" a ramené les États-Unis au rang de première puissance militaire mondiale.

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