Una bambina nasce senza una mano e per questo motivo, forse, la abbandonano nelle Terre Soprane, le regioni sospese tra leggenda e geografia sotto i crinali dell'Appennino modenese. Si chiama Libera, e lo è in molti sensi. Inselvatichita, cresciuta nei boschi con i lupi, viene presa e ridotta alla norma, ma scappa. Sopravvive rubando cibo dalle case dei villeggianti. Continuerebbe così, ma l'Uomo-Somaro le affida un compito: ritrovare il Mezzo Patriarca Perduto. Se non lo farà, le Terre Soprane svaniranno, e loro, i Semidei, non potranno più dialogare con gli animali del mondo. Così Libera parte.

L'ora del mondo

La corrida force à écrire puisqu'elle est silencieuse, et impénétrable. Mais si, dans l'agencement terrible et sublime de ses signes, elle résiste à livrer du sens, ce n'est pas qu'elle le dérobe, c'est qu'elle suscite une infinité de significations dont les métamorphoses incessantes font s'estomper jusqu'au souvenir des gestes qui les portent. L'oubli de la tauromachie fait aussi partie de la tauromachie. C'est donc à la lettre que ce corps nu prend ses mots, afin d'entendre quelques-unes des disputes féroces qui traversent aujourd'hui notre quotidien, afin d'avec la corrida proposer au lecteur de joyeusement se risquer hors d'elle.

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