Mon papa est ingénieur. Le soir, quand il rentre du travail, il invente des machines pour lutter contre le réchauffement climatique. Il a eu une idée que je trouve géniale : une voiture 100 % écolo et bio... qui en plus donnerait du travail aux vaches. Car avec une seule vache bien installée dans sa voiture, on peut rouler pendant 40 kilomètres sans faire le plein !

La voiture du futur

A la ferme du Paon-qui-Tête, Monsieur Eustache élève ses poules en toute sérénité. Elles en effet sous la garde du terrible Jean Cabot. Terrible ? Non, en fait, Jean est un adorable toutou mais c'est en tout cas ce que pense Basile, le renard affamé qui rêve de croquer les poules bien grasses de Monsieur Eustache. Un jour, après d'infructueuses tentatives, Basile élabore un super plan pour se débarrasser du gardien du Paon-qui-Tête. Se déguisant en corsaire ivre, il raconte une histoire farfelue à Jean et lui parle du paradis des chiens : l'Eldorad'os.
Jean cabot est intrigué par ce récit et ne voit pas Basile verser discrètement du rhum dans sa gamelle. Le lendemain, Monsieur Eustache réveille le pauvre chien, qui a une terrible gueule de bois, et le chasse de la ferme : pendant la nuit, le renard a croqué 3 des meilleurs pondeuses de la ferme ! Et voilà Jean, accompagné de ses amis Pip le cobaye et Moby Dick le poisson rouge, embarquant sur un radeau de fortune, direction l'Eldorad'os ! La traversée ne sera pas de tout repos : monstres marins, tempête... n'épargneront pas nos aventuriers ! Mais, et si l'Eldorad'os existait bien ?

Jean Cabot, aventurier des mers

Fables. Quand la sagesse vint aux ânes. Dix-huit fables pour mieux vivre ensemble. 
Des ânes découvrent que le partage peut simplifier la vie.
Deux coqs rivaux et prétentieux finissent dans un litre de vin de Cahors.
Un dindon trop bavard apprend que bien parler ne vaut rien si l'on ne sait écouter.
Un corbeau qui connaît la fable est plus malin que le renard.

Extrait : 
Les deux fils de familles voisines Allaient au marché de Gardanne Pour vendre leur farine Portée par leurs deux ânes.
Le chemin était fort long, Le soleil cognait sur les têtes.
Ils firent une pause à l'ombre d'un vallon Mais point d'arbre ici pour entraver les bêtes.
Les lier l'un à l'autre fut l'idée d'un garçon.
Ils sortirent des sacs quelques pommes et du pain Et pour les ânes deux paniers de son A droite, à gauche, chacun le sien...

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