Sur les 66 romans à énigme d'Agatha Christie, plus de 50 mettent en scène des crimes familiaux. Mais le meurtre est un écran de fumée ; le vrai sujet de l'oeuvre de Christie, c'est la banalité du mal au sein de la famille, et le silence qui l'entoure. Ressentiment, manipulation, jalousie, humiliation, inceste... La vérité est tue de peur qu'elle ne tue. Au coeur des familles, certains ont tous les droits, d'autres n'ont que celui de (se) laisser faire et se taire. Sonia Feertchak propose une lecture totalement neuve de l'oeuvre d'Agatha Christie, qui met au jour le tabou de la malveillance familiale et le rapport des familles à la vérité. A lire Agatha Christie comme elle n'a jamais été lue, il sera dit sur la famille ce qui n'a jamais été dit.

La vérité tue - Agatha Christie et la famille

Un classique de référence pour les adolescentes d'aujourd'hui !
L'Encyclo des Filles c'est :
 Un guide qui donne des clés pour répondre aux questions de l'adolescente et des pistes de réflexion pour penser toujours plus loin.
 Près de 350 entrées classées de A à Z et traitées sans tabou. A comme Adolescence, B comme Beauté, C comme Chambre etc.
 544 pages cautionnées par des psys et richement illustrées de photos et de dessins poético-humoristiques. 
 Cette année, l'Encyclo fête ses 15 ans et prévoit plein de surprises à ses lectrices ! Avec :
 - Des entrées modifiées ou créées entièrement suite à des suggestions de lectrices de l'Encyclo.
 - Une maquette intérieure retravaillée et modernisée.
 - Un livre de tests en cadeau !

L'encyclo des filles

« Longtemps je me suis emmerdée au lit, auprès d'amants qui devaient s'emmerder aussi, sauf qu'à l'époque je ne m'en rendais pas compte. » Pourquoi sommes-nous si nombreuses à nous délecter sans complexe des ébats littéraires et cinématographiques d'une héroïne saucissonnée et fouettée ? Les féministes se seraient-elles battues en vain ? Comment expliquer que l'hypersexualisation des filles fasse tant d'émules alors que cette tendance, directement issue de la pornographie, est à ce titre conspuée ? Pourquoi les hommes n'osent-ils plus montrer leur désir pour des Superwomen revendiquées... qui ne demandent qu'à partager leur énergie vitale ? D'où vient que les images du désir ont déferlé sur notre société, tandis que nous doutons toujours davantage d'être assez désiré(e)s, d'être assez désirant(e)s ?En convoquant Simone de Beauvoir ou Virginie Despentes, mais aussi Balzac, Milo Manara, Demi Moore ou Barbie, Sonia Feertchak se plonge dans l'histoire et la physiologie du désir, interrogeant les notions devenues suspectes de virilité et de féminité pour tenter, enfin, d'analyser pourquoi tant de femmes (et d'hommes) s'emmerdent au lit. Il est devenu urgent de rattraper le désir par la queue.

Les femmes s'emmerdent au lit - Le désir à l'épreuve du féminisme et de la pornographie

Pourquoi sommes-nous si nombreuses à nous délecter sans complexe des ébats littéraires et cinématographiques d'une héroïne saucissonnée et fouettée ? Les féministes se seraient-elles battues en vain ? Comment expliquer que l'hypersexualisation des filles fasse tant d'émules alors que cette tendance, directement issue de la pornographie, est à ce titre conspuée ? Pourquoi les hommes n'osent-ils plus montrer leur désir pour des Superwomen revendiquées... qui ne demandent qu'à partager leur énergie vitale ? D'où vient que les images du désir ont déferlé sur notre société, tandis que nous doutons toujours davantage d'être assez désiré(e)s, d'être assez désirant(e)s ? En convoquant Simone de Beauvoir ou Virginie Despentes, mais aussi Balzac, Milo Manara, Demi Moore ou Barbie, Sonia Feertchak se plonge dans l'histoire et la physiologie du désir, interrogeant les notions devenues suspectes de virilité et de féminité pour tenter, enfin, d'analyser pourquoi tant de femmes (et d'hommes) s'emmerdent au lit. Il est devenu urgent de rattraper le désir par la queue.

L'Encyclo des Filles, c'est : un guide qui donne des clés pour répondre aux questions de l'adolescence et des pistes de réflexion pour penser toujours plus loin ; près de 350 entrées classées de A à Z et traitées sans tabou (A comme Adolescence, B comme Beauté, C comme Chambre, etc) ; 544 pages cautionnées par des psys et richement illustrées de photos et de dessins poético-humoristiques. Les nouveautés de 2015 : des entrées modifiées ou créées entièrement suite à des suggestions de lectrices de l'Encyclo ; une maquette intérieure retravaillée et modernisée ; un nouveau format cadeau, et une couverture tendance et girly !

L'Encyclo des filles

Un problème fort dans un contexte d'actualité : les mères d'adolescentes sont de plus en plus nombreuses à rencontrer des difficultés avec leur fille.
Demande d'indépendance grandissante, look et attitude "femme fatale" dès la fin de l'enfance, agressivité et critiques cruelles à l'égard de leur mère, rivalité mère-fille exacerbée, accès à la pornographie, angoisses et souffrances... Une légitimité : depuis dix ans, en tant qu'auteure de L'Encyclo des filles, Sonia Feertchak est à l'écoute des jeunes filles... et de leurs mères, qui lui confient leurs interrogations, désarrois, joies, fiertés et angoisses.
Un procédé : ma fille, conseils aux mères d'ados est un livre pour les mères qui souffrent. A partir d'une quarantaine de phrases réelles (entendues ou glânées), adressées par des filles à leur mère, l'auteure a imaginé la réponse qui peut être adressée aux adolescentes en question. Classées en dix thèmes, chacune de ces petites phrases décrit une situation problématique souvent connue des mères d'ado, des pistes de réflexion pour l'analyser et prendre du recul, ainsi que des réponses concrètes et pratiques, en mots, faits et gestes.
Ma fille offre ainsi un panorama contemporain des relations mères-filles en ce début de XXIe siècle, entre soucis de transmission universels et questions d'éducation contemporaine. Ainsi, quand ma fille... "espère qu'elle aura des seins plus gros que les miens", "veut que je lui achète des choses hors-de-prix" mais "ne veut pas que j'entre dans sa chambre", "ne travaille plus" mais "voit des films pornos", "se trouve trop grosse" et..."me trouve trop grosse", "a marabouté son père", "s'est intégralement épilée (ou pire, rasée) le pubis", et tiens !, en passant, "devient femme"!, euh...
On fait quoi ? On lit Ma fille !

Ma fille ; conseils aux mères d'ados

Qu'il était alléchant, l'an 2000, quand il était lointain ! Il faisait office de phare pour les utopistes qui y voyaient l'annonce d'un monde merveilleux : on habiterait des villes aussi géantes que fabuleuses ; dans les usines, prédisait Hannah Arendt, les robots sueraient des boulons et l'on se tournerait enfin les pouces. Charles Fourier affirmait même que la mer aurait un goût de limonade... Foin de batifolage ! On serait tous immortels et heureux. L'an 2000 rapplique et le rêve s'effrite. Pourtant, quand on regarde cinq minutes de publicité à la télévision, on retrouve toutes ces grandes idées dispensatrices de bonheur, plus ou moins grimées : jeunesse en tube pour une crème antirides, loisirs non-stop pour des vacances doigts de pied en éventail, solitude abolie pour le village planétaire... Bien sûr, tout le monde sait que le bonheur ne s'achète pas. N'empêche, on se laisse davantage berner par ses images clinquantes qui nous sont continuellement catapultées et mériteraient enfin d'être dépoussiérées ! Car si nombre d'utopies sont mortes, tant pis ! Elles ne sont plus forcément adaptées à nos aspirations d'aujourd'hui. Et s'il n'en restait qu'une... chut !

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