NEW YORK TIMES  BESTSELLER  A finger in a wedding cake is only the beginning in this deliciously shocking mystery featuring Flavia de Luce, the worlds greatest adolescent British chemist/busybody/sleuth ( The Seattle Times ).    Although it is autumn in the small English town of Bishops Lacey, the chapel is decked with exotic flowers. Yes, Flavia de Luces sister Ophelia is at last getting hitched, like a mule to a wagon. A church is a wonderful place for a wedding, muses Flavia, surrounded as it is by the legions of the dead, whose listening bones bear silent witness to every promise made at the altar. Flavia is not your normal twelve-year-old girl. An expert in the chemical nature of poisons, she has solved many mysteries, sharpening her considerable detection skills to the point where she had little choice but to turn professional. So Flavia and dependable Dogger, estate gardener and sounding board extraordinaire, set up shop at the once-grand mansion of Buckshaw, eager to serve--not so simple an endeavor with her odious little moon-faced cousin, Undine, constantly underfoot. But Flavia and Dogger persevere. Little does she know that their first case will be extremely close to home, beginning with an unwelcome discovery in Ophelias wedding cake: a human finger.   Praise for    The Golden Tresses of the Dead    Delightful . . . The mysteries in Mr. Bradleys books are engaging, but the real lure is Ms. de Luce, the irreverent youngster. -- The Wall Street Journal                                            A winning tenth mystery. -- People    A ghoulish question is at the heart of Bradleys excellent tenth Flavia de Luce novel. . . . Bradley, who has few peers at combining fair-play clueing with humor and has fun mocking genre conventions, shows no sign of running out of ideas. -- Publishers Weekly  (starred review)    Flavias over-the-top use of alliteration . . . and proudly precocious, sesquipedalian vocabulary . . . along with the thoroughly endearing cast of characters, make this series tenth installment a laugh-out-loud winner. -- Booklist  (starred review)     Flavia de Luce hasnt lost a sister, shes gained a case--and what a case. . . . Perhaps the most consistently hilarious adventure of the alarmingly precocious heroine. -- Kirkus Reviews

THE GOLDEN TRESSES OF THE DEAD - A FLAVIA DE LUCE NOVEL

Tout n'est pas pour le mieux à Buckshaw, la demeure des de Luce... Avec des finances dans un état précaire, le père de Flavia se voit contraint de louer le manoir familial à une société de films. Naturellement, réalisateur, équipe de tournage et stars de cinéma ne font rien pour se faire aimer de la maisonnée- et encore moins des domestiques; jusqu'à ce qu'un lourd rideau de neige coupe Lacey Bishop de tout contact avec le monde extérieur. Les acteurs sont alors priés de monter un spectacle dans la grande salle paroissiale. Mais de vieilles jalousies refont surface et l'actrice principale est assassinée. Flavia de Luce, qui a été mise à contribution en coulisses, se retrouve prise jusqu'au cou dans cette sordide affaire!Les enquêtes de Flavia de Luce-« l'une des plus remarquables créations littéraires d'aujourd'hui » (USA Today)- ont été traduites dans une trentaine de pays et récompensées par de nombreux prix.

Je suis lasse des ombres (Flavia de Luce, #4)

En accueillant une vieille diseuse de bonne aventure sur les terres de Buckshaw, Flavia ignore qu’elle vient de mettre le pied dans une toute nouvelle aventure. En quelques jours, la gitane échappe de peu à une tentative de meurtre, un jeune vaurien est retrouvé pendu à une fontaine non loin du manoir, et on déterre le corps d’un enfant disparu des années plus tôt. Pour faire la lumière sur cette affaire sans queue ni tête, Flavia va devoir recourir à sa science des poisons et à son sens de la débrouille, car M. de Luce et les inspecteurs de police sont bien décidés à ne pas la laisser faire. Qui a agressé la gitane ? Quel est ce groupe étrange appelé les Hobblers ? Brookie Harewood est-il un faussaire ? Et d’ailleurs, d’où vient cette horrible odeur de poisson ?

La mort dans une boule de cristal (Flavia de Luce, #3)

Après les aventures qui ont agité, quelques mois plus tôt, le manoir de Buckshaw et révélé ses talents de détective, Flavia pensait en avoir fini avec les enquêtes. Mais voilà que Rupert Porson, un marionnettiste de passage à Bishop's Lacey, est assassiné pendant une représentation. Qui a pu commettre un tel acte et pourquoi ? Et cette marionnette qui ressemble trait pour trait au fils Ingleby, retrouvé pendu dans la région il y a quelques années : peut-il s'agir d'une coïncidence ? Flavia est suffisamment intriguée pour mettre de côté ses expériences de chimie et ses projets de vengeance contre ses deux pestes de sœurs. Perchée sur Gladys, sa bicyclette adorée, Flavia se lance alors dans une enquête qui l'amènera à dévoiler les secrets les plus sombres de Bishop's Lacey. Mais elle devra prendre garde à ne pas s'approcher trop près de celui qui tire secrètement les ficelles de cette danse macabre...

La mort n'est pas un jeu d'enfant (Flavia de Luce, #2)

En accueillant une vieille diseuse de bonne aventure sur les terres de Buckshaw, Flavia ignore qu'elle vient de mettre le pied dans une toute nouvelle aventure. En quelques jours, la gitane échappe de peu à une tentative de meurtre, un jeune vaurien est retrouvé pendu à une fontaine non loin du manoir, et on déterre le corps d'un enfant disparu des années plus tôt. 
Pour faire la lumière sur cette affaire sans queue ni tête, Flavia va devoir recourir à sa science des poisons et à son sens de la débrouille, car M. de Luce et les inspecteurs de police sont bien décidés à ne pas la laisser faire. 
Qui a agressé la gitane ? Quel est ce groupe étrange appelé les Hobblers ? Brookie Harewood est-il un faussaire ? Et d'ailleurs, d'où vient cette horrible odeur de poisson ? 

Traduit de l'anglais par Hélène Hiessler

La mort dans une boule de cristal

Après les aventures qui ont agité, quelques mois plus tôt, le manoir de Buckshaw et révélé ses talents de détective, Flavia pensait en avoir fini avec les enquêtes. Mais voilà que Rupert Porson, un marionnettiste de passage à Bishop’s Lacey, est assassiné pendant une représentation. Qui a pu commettre un tel acte – et pourquoi ? Et cette marionnette qui ressemble trait pour trait au fils Ingleby, retrouvé pendu dans la région il y a quelques années : peut-il s’agir d’une coïncidence ? Flavia est suffisamment intriguée pour mettre de côté ses expériences de chimie et ses projets de vengeance contre ses deux pestes de sœurs. Perchée sur Gladys, sa bicyclette adorée, Flavia se lance alors dans une enquête qui l’amènera à dévoiler les secrets les plus sombres de Bishop’s Lacey. Mais elle devra prendre garde à ne pas s’approcher trop près de celui qui tire secrètement les ficelles de cette danse macabre…

Pour Flavia de Luce, presque 11 ans, la découverte d'un oiseau mort sur le seuil de Buckshaw, la manoir en ruine de la famille de Luce, constitue un mystère passionnant - d'autant plus qu’un timbre assez rare est planté sur son bec. Mais ce qui est encore plus curieux, c’est l'effet terrifiant produit par cet oiseau de malheur sur son père, veuf mélancolique et grand philatéliste. Bientôt, Flavia découvre quelque chose d'encore plus choquant gisant dans le champ de concombre qui confirme le drame annoncé par cet oiseau de mauvais augure. Alors que la police s’invite à Buckshaw, Flavia décide que c'est à elle de rassembler les indices et de résoudre le puzzle. Qui était cet homme qu'elle a entendu se disputer avec son père ? Qu’est-ce ce que faisait ce funeste oiseau en Angleterre ? Qui est le vengeur d'Ulster ? Et, plus étrange encore, qui a dérobé une part de l’indigeste tarte à la crème anglaise préparée par Mrs Mullet et qui reposait au frais sur le rebord de la fenêtre ?

Les étranges talents de Flavia de Luce

Meet Flavia: Mystery Solver. Master Poisoner. 11 Years Old.     England 1950.  At Buckshaw, the crumbling country seat of the de Luce family, very-nearly-eleven-year-old Flavia is plotting revenge on her older sisters.  Then a dead bird is left on the doorstep, which has an extraordinary effect on Flavia's eccentric father, and a body is found in the garden. As the police descend on Buckshaw, Flavia decides to do some investigating of her own.   Praise for the historical Flavia de Luce mysteries:  'The Flavia de Luce novels are now a cult favourite'  Mail on Sunday   'A cross between Dodie Smith's  I Capture The Castle  and the Addams family...delightfully entertaining'  Guardian    Fans of M. C. Beaton's Agatha Raisin, Frances Brody and Alexander McCall Smith will enjoy the Flavia de Luce mysteries:   1. Sweetness at the Bottom of the Pie   2. The Weed That Strings the Hangman's Bag   3. A Red Herring Without Mustard   4. I Am Half Sick of Shadows   5. Speaking From Among the Bones   6. The Dead in Their Vaulted Arches   7. As Chimney Sweepers Come To Dust   8. Thrice the Brinded Cat Hath Mew'd   9. The Grave's a Fine and Private Place    If you're looking for a cosy crime series to keep you hooked then look no further than the Flavia de Luce mysteries.   * Each Flavia de Luce mystery can be read as a standalone or in series order *

THE SWEETNESS AT THE BOTTOM OF THE PIE

Alan Bradley, né en 1938 à Toronto, en Ontario, au Canada, est un écrivain canadien, auteur de roman policier et de littérature d'enfance et de jeunesse.

J'ai toujours su que je voulais travailler sur mon propre matériel - quelque chose qui serait plus durable que les transmissions électroniques de courte durée.

Sauf que je suis conscient qu'en tant qu'écrivain, vous ne pouvez pas vous en sortir avec autant d'écriture pour les enfants que possible avec les adultes. Les enfants ont beaucoup plus finement réglé des sens de la justice, de la morale et de l'éthique. Ils sont beaucoup plus platoniques: les enfants sont symétriques, avant de commencer à les fragmenter avec nos propres idées absurdes et à étouffer leur joie naturelle dans la connaissance.

Je pensais depuis des années, probablement 30 ou 40 ans, que ce serait très amusant de m'essayer à un roman de mystère anglais classique ... j'aime beaucoup cette forme parce que le lecteur est tellement familier avec tous les types des personnages qui sont là-dedans qu'ils s'identifient déjà au livre.

Pour être le plus efficace, la flatterie est toujours mieux appliquée avec une truelle.

Il n'est pas inconnu pour les pères avec une attelle de filles pour éliminer leurs noms dans l'ordre de la naissance lors de l'invocation du plus jeune, et je m'étais habitué depuis longtemps à être appelé 'Ophelia Daphne Flavia, putain.

Ma grand-mère a volé une seule fois dans sa vie, et c'était le jour où elle et son nouveau mari sont montés dans le ciel de Londres victorien dans le panier en osier d'un ballon à air chaud. Ils allaient bientôt émigrer au Canada, et le trajet aérien devait être une dernière vue de leur Angleterre bien-aimée.

Au cours d'une longue carrière dans la diffusion télévisée, j'ai passé beaucoup de temps à contribuer aux créations d'autres personnes.

J'ai grandi dans une famille très britannique qui avait été transplantée au Canada, et la maison de ma grand-mère était remplie de livres anglais. J'étais un lecteur très tôt, donc j'ai été vraiment évoqué en cours de piles de livres britanniques et de journaux britanniques, des magazines britanniques. J'ai développé un très grand amour de l'Angleterre.

Si les poisons étaient des poneys, je mettrais mon argent sur le cyanure.

Si vous vous souvenez de rien d'autre, rappelez-vous ceci: l'inspiration de l'extérieur de soi est comme la chaleur dans un four. Il fait des petits pains de bain passables. Mais l'inspiration de l'intérieur est comme un volcan: il change le visage du monde.

J'apprenais que chez les amis, un sourire peut être meilleur qu'un rire du ventre.

Il y a longtemps, j'avais découvert que lorsqu'un mot ou une formule refusait de me dire que la meilleure chose était de penser à autre chose: les tigres par exemple ou la farine d'avoine. Ensuite, lorsque le mot fugitif s'attendait le moins à ce que je retourne soudainement l'incendie complet de mon attention en attrapant le coupable dans le faisceau de ma torche mentale avant qu'il ne puisse se faufiler dans l'obscurité.

Je suis à cet âge où je regarde de telles choses avec deux esprits, un qui riposte à ces câpres et un autre qui ne dépasse jamais un sourire plutôt blasé et conscient de soi, comme la Mona Lisa.

Alors que je me tenais dehors dans Cow Lane, il m'est venu à l'esprit que le paradis devait être un endroit où la bibliothèque est ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Non... huit jours par semaine.

J'étais un premier lecteur, et ma grand-mère, qui était enfant, avait été interdite de lire par un père qui croyait que les livres étaient des lâtres de temps frivoles, ravis de mettre ses volumes préférés entre les mains de ses petits-enfants.

Ce qui m'a intrigué plus que toute autre chose, c'était de découvrir la façon dont tout, toute la création - tout cela! - a été maintenu ensemble par des liaisons chimiques invisibles, et j'ai trouvé un confort étrange et inexplicable en sachant que quelque part, même si nous ne pouvions pas le voir dans notre propre monde, il y avait une véritable stabilité.

Bien qu'il soit agréable de penser au poison à n'importe quelle saison, il y a quelque chose de spécial à Noël, et je me suis retrouvé à sourire.

Le spectre de la liste est très large. Il comprend des gauchistes qui pensent que les libéraux pleurnichards devraient être bourrés dans un sac et noyés.

Les mensonges et les compétences en aiguille ont beaucoup en commun.

Je suis souvent considéré comme remarquablement brillant, et pourtant mes cerveaux, le plus souvent, conçoivent activement de nouvelles façons intéressantes d'amener mes ennemis à la mort soudaine, bâillard, tordante, angoissant.

Ayant grandi dans une maison canadienne plus britannique que Big Ben, je rêvais de voler moi-même en Angleterre et de visiter les endroits dont ma famille n'a jamais été fatiguée de parler. Je me suis toujours réveillé avant l'atterrissage de l'avion.

Quiconque connaissait le mot Slattern valait la peine d'être cultivé en tant qu'ami.

L'une des marques d'un esprit vraiment génial, j'avais découvert, est la capacité de feindre la stupidité à la demande.

Pas très bon avec la mort? Le père était un militaire et les militaires vivaient avec la mort; a vécu pour la mort; a vécu à la mort. Pour un soldat professionnel, étrangement, la mort était la vie.

Poulet Fizz! O Seigneur, protégeons tous tous qui travaillons dans les vignobles de la chimie expérimentale!

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alan_Bradley

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