Amy Purdy, née le 7 novembre 1979, est une snowboardeuse américaine.

J'étais sur mon lit de mort, et je me souviens s'accrocher à ces mots: «N'ayez pas peur. Vous allez vivre une vie incroyable, et moi.

Pour pouvoir marcher dans la rue et faire arrêter les gens, non seulement parce qu'ils vous reconnaissent, mais parce que vous les avez personnellement touchés, c'est incroyable.

Tout au long du lycée, j'étais incroyablement en bonne santé. J'ai adoré le plein air et j'ai adoré le snowboard à cause de la liberté.

Je pense que perdre mes deux jambes était une bénédiction. Cela devait m'arriver: je n'aurais pas eu l'occasion de toucher autant de vies d'une manière si positive.

Mon père m'a donné la vie deux fois. Je le remercie en utilisant le corps fort que j'ai maintenant.

Vous n'avez pas besoin d'être positif tout le temps.

Je me sentais toujours vraiment chanceux de ne pas avoir perdu mes jambes, car ça aurait pu être bien pire.

Mes jambes ne m'ont pas désactivé. Si quoi que ce soit, ils m'ont permis.

Après avoir perdu mes jambes, tout ce que je voulais faire, c'était de nouveau faire du snowboard. Je me souviens d'avoir passé une année entière devant l'ordinateur, à la recherche de « snowboarders adaptés », de « jambes de snowboard » ou d'« écoles de snowboard adaptées » ou tout simplement quelque chose auquel je pouvais me connecter. Je savais déjà faire du snowboard - j'avais juste besoin de trouver les bonnes jambes.

Si nous pouvons voir les limitations préconçues passées, les possibilités sont infinies.

Je ne peux pas vraiment dire que mes orteils me manquent.

J'ai perdu la vie que je connaissais, et j'ai vraiment dû repenser mon avenir et réfléchir à mes valeurs fondamentales et aux choses que j'aime, et à ma passion, et c'est vraiment ce qui m'a aidé à aller de l'avant. De plus, pour que je sois reconnaissant pour ce que j'avais dans ma vie par rapport à me concentrer sur ce que je perdais, cela a vraiment aidé aussi.

Nous avons tous des choses qui nous limitent et qui nous défient. Mais vraiment, nos vraies limites sont celles que nous croyons.

La simple pensée d'être sur le radar d'Oprah est humiliante, mais la faire prendre le temps de prendre le téléphone avec moi en quelque sorte mon esprit.

C'est vraiment de cela que parlent les Jeux paralympiques: ces athlètes incroyables et cette technologie qui leur permet d'atteindre leur plein potentiel.

Si votre vie était un livre et que vous étiez l'auteur, comment voudriez-vous que votre histoire aille? C'est la question qui a changé ma vie pour toujours.

Nos frontières et nos obstacles ne peuvent faire que deux choses: (1) nous arrêter sur nos traces, ou (2) nous forcer à faire preuve de créativité.

Il y a beaucoup de gens qui ont des jambes qui sont beaucoup plus handicapés que moi.

J'ai perdu ma rate, j'ai perdu l'audience dans mon oreille gauche, donc j'ai eu beaucoup de dégâts d'organes internes.

Je suis très reconnaissant d'avoir eu les opportunités que j'ai eues.

Ce qui est cool, c'est qu'Oprah est la même personne sur scène et devant une caméra car elle est hors scène et dans les coulisses. Elle parle de la même manière à la caméra qu'elle fait hors caméra.

Je savais ce que je ne voulais pas. Je ne voulais pas que les gens se sentent désolés pour moi. Je ne voulais pas que les gens me considèrent comme handicapés. Je voulais vivre une vie d'aventure et d'histoires.

Pour moi, une mauvaise journée, c'est quand je n'ai rien qui se passe.

Nous avons tous des défis. Vous pouvez les laisser être des obstacles ou des barrages routiers, ou vous pouvez les utiliser.

Mon père avait donné à ma sœur et à moi notre voiture de démarrage, un vieux Chevy Blazer de 1985. C'était tellement battu, les feux arrière tombaient et nous utiliserions du ruban adhésif rouge.

Vous ne pouvez même pas imaginer le sentiment que vous ressentez lorsque quelqu'un vous dit que vous êtes sur le point de perdre vos jambes.

Les voyages en voiture vers moi sont juste une telle évasion. Vous écoutez votre musique et vous faites baisser les fenêtres vers le bas. Vous allez généralement à un endroit amusant.

Ses oeuvres