Je suis pleinement conscient des moments critiques auxquels nous sommes confrontés en tant que pays.

Si le programme retentit à nouveau en raison de la récession, cela ne devrait pas devenir un prétexte pour l'imposition de plus de mesures d'austérité.

D'autres pays ont accès aux marchés, contrairement à la Grèce. Par conséquent, nous devons obtenir des liquidités par le biais de la BCE.

Nous pensons que ce qu'ils appellent "Grexit" [une sortie grecque de la zone euro] n'est pas une option pour nous.

Il y aura beaucoup de problèmes avec la cohésion sociale. Nous coupons déjà tout à l'os. À moins qu'il y ait de la lumière au bout du tunnel.

La position de la Grèce en Europe ne sera pas doutée.

Je ne peux pas permettre à un tiers de décider de l'avenir de mon pays.

Notre premier objectif est d'arrêter la récession et de commencer par la récupération.

Il y a certainement des retards dans le programme convenu de cette année, et nous devons rapidement nous rattraper. Ne nous invitons pas, il y a encore de gros gaspillage dans le secteur public, et ça doit s'arrêter.

Nous avons diminué les salaires de tous ceux qui participent à la politique, du président au Premier ministre aux députés [membres du Parlement]. Nous avons réduit les dépenses qui ont à voir avec le Parlement. Tout le monde sait que nous sommes sérieux.

Aujourd'hui est un nouveau jour pour le terrain.

Pendant la période socialiste, le gouvernement est devenu trop grand. Cela a créé un effet d'évanouissement dans l'économie privée, et cela a donné à tout le monde la nécessité de payer plus d'impôts afin de financer ce grand gouvernement. Nous sommes contre le grand gouvernement. Nous voulons un gouvernement plus petit et plus efficace.

Le peuple grec a voté aujourd'hui pour que la Grèce reste sur sa voie européenne et dans la zone euro.

Des erreurs très graves ont été commises par les gouvernements précédents, et la Grèce était prête à être abandonnée par ses partenaires et à quitter la zone euro, ce qui aurait créé une catastrophe totale.

C'était une culture que les affaires sont quelque chose de mauvais - c'était une psychologie orientée vers le gaucher. Nous devons briser cela. Nous sommes pro-business.

Demain, une nouvelle ère commence pour la Grèce.

Nous avons versé du sang pour éloigner le mot «Grexit» de la bouche des étrangers, et Syriza ramène ce mot à leur bouche.

Il y a beaucoup de gens à l'étranger qui veulent aider, qui veulent investir. Nous leur donnerons le traitement du tapis rouge. Nous voulons qu'ils réalisent que c'est une terre d'opportunité. Il en a toujours été ainsi, mais nous n'avons jamais permis aux investissements étrangers de venir dans ce pays.

Je ne veux pas que la Grèce devienne le paradigme négatif pour les autres - c'est-à-dire "Assurez-vous de suivre exactement ce que nous vous disons, sinon vous serez comme la Grèce."

Il y a une masse d'immigrants, un million d'entre eux sans travail. Nous arrêterons cette invasion.

Nous faisons un élément central de l'Union européenne. Toute déstabilisation de la Grèce secouerait totalement le bateau.

J'ai toujours cru que cette idée d'avoir une nation traverser ces cinq ou six ans très douloureuses de récession continue avec un chômage élevé serait préjudiciable à l'économie et à la société.

Les immigrants illégaux sont déjà un très gros problème pour nous. Nous prenons déjà de grands pas pour interdire les immigrants illégaux de venir.

La meilleure façon pour quelqu'un de gouverner est de donner l'exemple.

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