Anuel AA, de son vrai nom  Emmanuel Gazmey Santiago, né le 26 novembre 1992 est un chanteur portoricain. Il est considéré comme l'un des pionniers du style musical trap latino.

Papa Yankee et moi avons certains des mêmes fans, mais il atteint des gens que je n'atteins pas. La même chose avec Ozuna et Balvin et Karol G.

Quand j'ai fait «réel», je l'ai enregistré par téléphone en prison. Je l'ai fait dans une semaine. Je ne savais pas à quoi cela allait ressembler. Je ne pouvais même pas écouter les Masters avant sa sortie, je ne pouvais pas écouter 90% des battements. J'ai enregistré 21 chansons en sept jours.

Les gens pensent parce que je suis fou, je ne sais rien. Mon père a joué de la basse avec Hector Lavoe, avec Marc Anthony, avec Ricky Martin, avec des gens qui n'avaient rien à voir avec Reggaeton. J'ai grandi en le regardant jouer toutes sortes d'instruments. C'est quelque chose que je porte dans mon sang.

Je voulais montrer aux gens que je peux faire quelque chose en plus de la musique de rue.

Bad Bunny et moi avons une excellente relation.

J'ai beaucoup d'argent comme investi dans des montres. Quand j'achète des montres, je m'assure, comme si vous pouviez aller acheter et elles auront toujours le même prix, la même valeur ou peut-être plus.

Je suis super compétitif et je sacrifie beaucoup.

J'ai appris à tout oublier. Se concentrer sur ma musique et remercier Dieu pour tous les bons moments. Parce que le positif attire le positif. Vous devez travailler, travailler et travailler pour en tirer le meilleur parti.

Ma plus grande inspiration est ma famille. Le soutien qu'ils me donnent, la force qu'ils me donnent est quelque chose de très rare et spécial. Chaque chanteur est inspiré par différentes choses, ma force vient de ma famille et de mon âme.

Il y a beaucoup de gens qui n'apprécient pas leur famille comme ils sont censés le faire. J'apprécie le mien par-dessus tout.

Les types de chansons que je faisais, je chantais beaucoup pour les rues.

L'enregistrement avec Meek Mill pour moi a été comme quand Allen Iverson a joué avec Michael Jordan pour la première fois.

J'adore la Jordanie comme, d'où je suis comme la Jordanie, avoir la Jordanie, c'est vraiment faire partie de la culture, donc c'est vraiment essentiel pour moi.

Je ne peux trahir personne. Je ne sais pas ce que c'est que de vraiment trahir quelqu'un. Je suis très fidèle à mon cercle, à ma famille et à ceux que je tiens près de moi.

L'une des choses qui m'a défini est que j'ai parlé très fort dans mes chansons, les messages négatifs, et j'ai déjà réussi à dominer la musique commerciale.

Donc, en prison, c'est quand j'ai commencé à établir une bonne relation avec Dieu et j'ai commencé à prier beaucoup. J'ai beaucoup lu la Bible, alors j'ai commencé à avoir beaucoup de connaissances sur la vie.

Je représente les rues de Porto Rico dans le monde.

Bad Bunny et moi ne sommes pas frères, mais nous avons une bonne relation. Nous rivalisons. Nous concourrons jusqu'au jour de notre mort, parce qu'il dit qu'il est le meilleur, et je dis que je suis le meilleur. Quand il sort quelque chose de gros, je dois sortir quelque chose de plus gros.

Ma musique est mon âme qui parle littéralement. C'est spirituel. Il a beaucoup de sentiments, beaucoup de douleur.

Même si Porto Rico sera toujours ma ville natale, je pense que Miami est ma deuxième maison.

Je suis toujours de haut en bas avec Jordan. J'essaie de ne pas les porter trop. C'est le type de chaussure qui, si vous le voulez, si vous ne voulez pas les prendre trop, vous ne les utilisez pas trop.

Petit à petit, je continue de croître mentalement et toute mon équipe de travail continue de grandir et de travailler plus professionnelle, plus organisée.

Les gens adorent les rumeurs. Ils disent toujours des choses qui ne sont pas vraies.

Wisin y Yandel sont des légendes. Ils sont très intelligents et vraiment humbles.

Dieu merci, le «vrai» a réussi, mais j'ai l'impression que «Emmanuel» aura encore plus de succès. Toutes mes idées, je pourrais les mettre pour travailler moi-même, à mon rythme. J'ai eu plus de contrôle, et ça se voit.

Être réel est ce qui me maintient humble. Peu importe combien d'argent je gagne ou combien j'accomplisse. Ce qui est critique, c'est de rester réel pour moi et de garder mes pieds sur le sol. C'est ce qui m'aide à continuer.

J'adore la musique piège et la musique de rue.

Ses oeuvres