Agnès Martin - Painting, writing, remembrances

Sam Gilliam - Existed Existing

Arnold Glimcher, plus connu sous le nom de Arne Glimcher, né le 12 mars 1938 à Duluth, dans le Minnesota, est un marchand d'art, producteur et réalisateur américain.

Historiquement, l'art a toujours eu un marché. Lorsqu'un fief médiéval a vaincu un autre, ils tiraient ses bijoux, l'or, les tapisseries et les objets d'art comme le butin de la guerre. L'art a égalé la puissance, les richesses et la culture.

Je commencerais par collecter des lithographies et des gravures. C'est une façon de venir et de bénéficier d'un art de qualité réelle. Même les jeunes artistes font de merveilleux imprimés. Les impressions peuvent devenir très précieuses. C'est comme ça que j'ai commencé à collectionner.

J'ai en fait enseigné la psychologie perceptuelle à N.Y.U. quand j'étais plus jeune. Je m'intéressais à l'impulsion esthétique chez les primates inférieurs. Mais ce qui m'a vraiment intéressé à Dian Fossey, c'est qu'elle a fait une différence - elle a sauvé les gorilles.

J'aime l'idée d'une histoire d'amour entre les hommes. Il y a une grande affection entre les hommes, qui existe beaucoup plus dans les groupes ethniques: latin, italien, juif.

Votre vie évolue dans les modèles vers les choses, et les choses que nous réalisons font enfin partie de cette mosaïque. Je pense simplement que nous créons notre propre sort.

Il est possible d'avoir plus d'un intérêt. J'ai été peintre et j'ai fait du stock d'été.

L'art n'est pas un investissement. L'art, c'est quelque chose qu'on achète parce qu'on est suffisamment solvable financièrement pour se donner le plaisir de vivre avec de grandes œuvres plutôt que de devoir les voir dans les musées. Les gens qui achètent de l'art au sommet du marché comme investissement sont stupides.

L'artiste conceptuel Ai Weiwei illustre la société schizoïde que le changement rapide a produit - parfois en réassemblant des meubles de style Ming en arrangements absurdes et inutiles, ou en peignant et en anticitant soigneusement un logo Coca-Cola sur un ancien pot chinois.

Le film et l'art sont proches les uns des autres.

Lorsque Nixon a ouvert la porte à la Chine au début des années 1970, les artistes chinois ont eu leur première vue sur l'Occident. Soudain, cinq siècles d'art occidental étaient devant eux comme un smorgasbord stylistique. Les artistes chinois pourraient le réinterpréter par admiration ou essayer de le remplacer. Ils choisissent le premier.

Les foires sont sous la dignité de l'art. Pour rester là dans un stand et faucher vos marchandises - ce n'est tout simplement pas la façon dont vous vendez de l'art.

Certains collectionneurs américains prémonitoires, dont Vicki et Kent Logan et Mera et Donald Rubell, ont commencé à collecter de l'art chinois avant 2000 avec une véritable passion, mais alors que les prix des enchères explosaient, tout le monde battait un chemin vers les galeries et les studios d'artistes en Chine. C'est devenu le «truc de la Chine».

Le marché des années 80 n'était qu'un marché japonais. C'était les japonais qui se surpassent pour les œuvres d'art les plus chères. Lorsque l'économie japonaise a baissé les tubes, il ne restait plus pour payer les prix qui ont été enregistrés pour toutes ces œuvres.

Le moment le plus merveilleux pour être dans le monde de l'art était dans les années 60, car ce n'était pas une entreprise - il n'y avait aucune affaire de faire de l'art.

Au début des années 1990, nous avons assisté à l'émergence d'un monde d'art chinois contemporain revitalisé qui a commencé comme une réaction contre le style réaliste social approuvé par le gouvernement. Zhang Xiaogang, Huang Yong Ping, Ai Weiwei, Yue Minjun et Wang Guangyi ont été parmi le premier groupe d'artistes à établir un mouvement qui est devenu connu sous le nom de réalisme cynique.

Les gens voient la possession d'une galerie comme un moyen de devenir riche. Je n'ai jamais pensé que je pouvais devenir riche dans le monde de l'art. Je voulais une vie dans l'art. Je voulais vivre avec des artistes. Je voulais faire de beaux spectacles.

On m'a dit que je suis un bon manager de Midcareer.

Si l'expression abstraite a atteint le sublime, la pop a transformé l'imagerie ordinaire en icônes. Roy Lichtenstein et Andy Warhol ont illuminé le pouvoir transformateur du contexte et le processus de reproduction. Les cônes et les hamburgers de la glace et les hamburgers de Claes Oldenburg ont changé de sculpture de dur à doux, de la stase à la transformation.

Lorsque Robert Benton faisait le film «dans le calme de la nuit», j'avais chorégraphié la scène des enchères et fourni les peintures et j'avais un peu partie - j'offrissais contre Meryl Streep.

J'ai toujours été amoureux des films. Ce sont les rêves du 20e siècle.

Je ne crois pas à la vente d'art par des transparents. L'art est une expérience de première main.

J'étais acteur quand j'étais enfant à Boston. Ensuite, je suis allé à l'école d'art avec Brice Marden, le Massachusetts College of Art. Donc, l'hybride d'être acteur et artiste est réalisateur.

Il y a plus à représenter l'art que de vendre de l'art. La vie de la galerie dépend du renouvellement et du rafraîchissement de ses artistes et concessionnaires. Lorsque cela cesse de se produire, c'est la fin.

L'art est un outil par lequel la société étend sa perception.

À la suite de la Seconde Guerre mondiale, les artistes européens ont émigré en Amérique, élargissant la scène et diminuant Paris en tant que centre. L'Amérique commençait sa domination du monde de l'art avec l'émergence des expressionnistes abstraits.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arne_Glimcher

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