Award-winning environmentalist, author, and journalist Bill McKibben selects twenty science and nature essays that represent the best examples of the form published in the previous year. A collection of the best science and nature articles published in 2023, selected by guest editor Bill McKibben and series editor Jaime Green.

The Best American Science and Nature Writing 2024

We tend to think of silence as the absence of sound, but it is actually the void where we can hear the sublime notes of nature. Here, photographer Pete McBride reveals the wonders of these hushed places in spectacular imagery from the thin-air flanks of Mount Everest to the depths of the Grand Canyon, from the high-altitude vistas of the Atacama to the African savannah, and from the Antarctic Peninsula to the flowing waters of the Ganges and Nile. These places remind us of the magic of being truly away and how such places are vanishing. Often showing beauty from vantages where no other photographer has ever stood, this is a seven-continent visual tour of global quietude and the power in nature s own sounds that will both inspire and calm.

Seeing silence

Par l'auteur du best-seller La Nature assassinée

Dans son livre La Nature assassinée, Bill McKibben avait été l'un des premiers à alerter sur les changements climatiques. Trente ans après, le chercheur fait un bilan de la situation et montre que le danger est plus vaste.
Dans une première partie ("Un jeu planétaire "), il fait un état des lieux de l'état de la planète et des menaces auxquelles nous sommes confrontés. Chaque thèse se fonde sur des rapports scientifiques et est illustrée de nombreux exemples (la mort des forêts avec les cèdres du Liban agonisant, le drame des énergies fossiles et son combat contre l'oléoduc et l'exploitation des sables bitumeux au Canada, les sécheresses qui réduisent à néant l'économie des pays déjà pauvres comme Por- to Rico, etc).
Dans une seconde partie (" Folie technologique"), McKibben s'intéresse, après les menaces environnementales, à celles liées aux progrès techniques. Il s'attache à démontrer que si les changements climatiques réduisent l'espace où notre civilisation peut exister, les nouvelles technologies comme l'intelligence artificielle et la robotique menacent de faire disparaître la diversité humaine. Cependant loin d'être défaitiste, en s'appuyant sur son expérience au sein de 350.org, l'auteur offre dans une dernière partie (" Une dernière chance") des pistes pour sauver non seulement notre planète mais aussi la vie humaine.

Bill McKibben est un auteur, journaliste et militant écologiste qui a reçu en 2014 le Right Livelihood Prize, parfois appelé le " Nobel alternatif ". Son livre La Nature assassinée est considéré comme le premier ouvrage sur le changement climatique destiné au grand public et a été publié en 24 langues. Il est l'un des fondateurs de 350.org, le premier mouvement mondial et populaire de lutte contre le changement climatique.

Humanicide ou la fin d'un règne - Quand l'avenir de l'homme a-t-il basculé ?

Par l'auteur du best-seller La Nature assassinée Dans son livre La Nature assassinée, Bill McKibben avait été l'un des premiers à alerter sur les changements climatiques. Trente ans après, le chercheur fait un bilan de la situation et montre que le danger est plus vaste. Dans une première partie ("Un jeu planétaire "), il fait un état des lieux de l'état de la planète et des menaces auxquelles nous sommes confrontés. Chaque thèse se fonde sur des rapports scientifiques et est illustrée de nombreux exemples (la mort des forêts avec les cèdres du Liban agonisant, le drame des énergies fossiles et son combat contre l'oléoduc et l'exploitation des sables bitumeux au Canada, les sécheresses qui réduisent à néant l'économie des pays déjà pauvres comme Porto Rico, etc). Dans une seconde partie (" Folie technologique"), McKibben s'intéresse, après les menaces environnementales, à celles liées aux progrès techniques. Il s'attache à démontrer que si les changements climatiques réduisent l'espace où notre civilisation peut exister, les nouvelles technologies comme l'intelligence artificielle et la robotique menacent de faire disparaître la diversité humaine. Cependant loin d'être défaitiste, en s'appuyant sur son expérience au sein de 350. org, l'auteur offre dans une dernière partie (" Une dernière chance") des pistes pour sauver non seulement notre planète mais aussi la vie humaine. Bill McKibben est un auteur, journaliste et militant écologiste qui a reçu en 2014 le Right Livelihood Prize, parfois appelé le " Nobel alternatif ". Son livre La Nature assassinée est considéré comme le premier ouvrage sur le changement climatique destiné au grand public et a été publié en 24 langues. Il est l'un des fondateurs de 350. org, le premier mouvement mondial et populaire de lutte contre le changement climatique.

"The House We Live In", au départ, c'est une création musicale et documentaire qui évoque les questions globales d'écologie via les points de vue de scientifiques (astrophysique, biologie, agronomie...), d'artistes, de philosophes et d'économistes. Réflexion poétique sur nos liens au monde et à la nature, The House We Live In fait vivre l'épopée de la prise de conscience environnementale à travers les témoignages musicalisés de personnalités internationales et engagées. Le résultat est une proposition nouvelle, une expérience sensorielle et contemplative, et un plaidoyer humaniste pour une relation au monde renouvelée.
Aujourd'hui, l'Aube propose de découvrir ce projet via ce beau-livre avec textes et photographies, intégrant un CD/DVD pour en accompagner la lecture.

The house we live in : penser le monde de demain

La nature assassinée

William Ernest Bill McKibben (né le 8 décembre 1960 à Palo Alto) est un journaliste, auteur et militant écologiste américain. Il a consacré l'essentiel de sa carrière journalistique à l'environnement et plus particulièrement au réchauffement climatique. En 2007, il fonde l'association 350.org et remporte pour cela le Prix Nobel alternatif.

Ce dont nous parlons, c'est l'élévation infinie et crédule des niveaux de confort et de statut nécessaires et tout le reste au détriment de nous autour de nous. Il va nous prendre beaucoup de temps pour apprendre à descendre un peu des hauteurs sur lesquelles nous nous sommes mis.

Lorsque vous êtes dans un trou, arrêtez de creuser!

La fin de la nature soure tous mes plaisirs matériels. La perspective de vivre dans un monde génétiquement conçu me rend malafait. Et pourtant, c'est vers un tel monde que notre croyance en une progression matérielle sans fin nous dépasse. Tant que ce désir nous motive, voici aucun moyen de fixer des limites.

Jusqu'à ce qu'il ne comprenne pas la justice pour les personnes dans la pauvreté, un avenir pour des générations mais à naître et un engagement envers le reste de la création, il est peu probable que nous puissions surmonter le statu quo.

Lorsque nous pensons au réchauffement climatique, les arguments ont tendance à être idéologiques, théologiques et économiques.

Aux États-Unis, les combustibles fossiles bon marché ont érodé les communautés. Nous sommes les premières personnes sans besoin réel des uns pour les autres. Tout vient d'une grande distance grâce à des transactions anonymes et invisibles. Nous avons pris cela pour être une vertu, mais c'est autant une malédiction. Les Américains ne sont pas très satisfaits de leur vie, et la perte de la communauté en fait partie.

Aux États-Unis, je pense que le syllogisme se passe comme suit: «Les marchés libres résolvent tous les problèmes. Les marchés libres ne résolvent pas le réchauffement climatique, le réchauffement climatique QED n'est pas un problème ». Ce n'est pas un très bon syllogisme mais c'est réconfortant émotionnellement si vous êtes dans ce monde.

Je suis probablement la mauvaise personne à demander. Mon partenaire dans une grande partie de ce travail [Climate Movement], qui a vraiment eu la campagne de désinvestissement avec moi, Naomi Klein, je pense que j'ai écrit avec puissance à ce sujet.

Je pense que nous devons aller directement dans l'industrie des combustibles fossiles.

Arrêtez de penser au réchauffement climatique comme une menace future et à le comprendre à la place comme une urgence actuelle, qui nécessite une réponse politique beaucoup plus forte que nous ne l'avons imaginé.

Est-ce que je pense que les gens devraient-ils, dans le meilleur de tous les mondes possibles, aller en prison pour avoir voulu que le gouvernement américain fasse attention aux avertissements des scientifiques sur le changement climatique? Pas vraiment. Je veux dire, dans un monde rationnel, si tous les scientifiques disaient: "La pire chose qui se soit jamais produite est sur le point de se produire et voici ce que vous devez faire pour l'arrêter", vous vous attendez à ce que tout système rationnel dise: "Oh, bien sûr, Ok, faisons quelque chose. " Mais ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons. Dans le monde dans lequel nous vivons, vous avez besoin que les gens soient prêts à se lever, à combattre, à marcher et parfois à aller en prison.

Personne n'est assez fort - étant donné l'ampleur de la tâche, tout le monde doit intensifier son jeu.

Nous pouvons soit économiser la planète du réchauffement catastrophique, soit protéger les PDG des combustibles fossiles. Pas les deux. Faire les calculs (s)

La dernière modélisation informatique que j'ai vue indique qu'au milieu du siècle, il pourrait y avoir 150 millions de personnes classées comme «réfugiés environnementaux».

... le flux constant d'images sape le sentiment qu'il y a en fait quelque chose qui ne va pas dans le monde. Comment peut-il vraiment y avoir une pénurie de grues blanches alors que vous en avez vu un millier d'images - vu dix fois plus d'images qu'il n'y a réellement de grues blanches à l'état sauvage ?

Passez 70% de votre temps libre à faire des choses près de chez vous et les 30% restants à faire du travail au niveau mondial et national.

Colonialisme d'une sorte ou d'une autre, de l'impérialisme d'une sorte ou d'une autre, et de l'esclavage, et ainsi de suite.

Je ne peux pas dire à quel point il est émouvant d'ouvrir mon e-mail et de voir une photo de 1 500 moines et nonnes bouddhistes dans le royaume himalayen du Ladakh formant un 350 humain dans le contexte des glaciers fondants. Ce n'est pas de leur faute, et pourtant ils intensifient pour faire partie de la solution.

Nous avons construit une serre, une serre humaine, où une fois là-bas a fleuri un jardin doux et sauvage.

Probablement rien que nous ayons jamais réussi à faire est égal à la sapeur fondamentale de la stabilité physique de la planète sur laquelle dépendent la plupart des pauvres du monde.

Notre problème étrange est une abondance de ressources et une pénurie de raisons économiques difficiles de ne pas les utiliser.

Je ne passe pas énormément de temps à fixer le déni climatique parce que je ne pense pas que leurs objections, bien que parfois formulées en science, soient basées sur la science. Je pense qu'ils sont basés dans l'idéologie. Et je ne pense pas que vous puissiez faire quelque chose.

Si vous considérez qu'il y a un million de personnes forcées de sortir de leur maison par Katrina, multipliez cela par 150, puis collez ces personnes dans des pays qui, aussi inconcevables qu'il y paraît, est moins préparé que nous à faire face à le tout.

C'est une gêne complète et littéralement honteuse que le pays qui a d'abord inventé l'environnementalisme et l'a donné au monde, et deuxièmement de toutes les sciences à l'origine autour du climat et du réchauffement climatique et ont présenté cela au monde, a été le pays qui a été le pays qui a été le pays que a refusé de participer à une manière constructive de la solution.

Les lois du Congrès et les lois de la physique sont devenues de plus en plus divergentes, et les lois de la physique ne sont pas susceptibles de céder.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bill_McKibben

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