Kenneth Binyavanga Wainaina (né le 18 janvier 1971 à Nakuru et mort le 21 mai 2019 à Nairobi,) est un écrivain et journaliste kényan.

Je suis extrêmement optimiste quant à la transformation rapide et au changement des choses en Afrique en général.

Je ne suis même pas sûr de vouloir utiliser le terme «sort».

Je savais que je ne voulais pas sortir dans le «New Yorker»; C'était juste mal. Il avait besoin d'une conversation africaine.

J'ai appris que moi, nous, sommes des gens d'un dollar par jour (ce qui est terrible, disent-ils, car une vache au Japon vaut 9 $ par jour). Cela signifie qu'une vache japonaise serait un Kenyan de la classe moyenne ... Une vache de 9 $ par jour du Japon pourrait très bien diriger une ONG humanitaire au Kenya. Les massages sont très bon marché à Nairobi, donc la vache serait confortable.

Il n'y a pas de pays dans le monde avec la diversité, la confiance et le talent et la fierté noire comme le Nigéria.

Des correspondants internationaux avec leurs longs dictaphones, et un jean sale, et cinq cents mots avant le whisky, sont affilés sur les chaises de velours rouge, dans la section VIP à l'avant, à la recherche de l'histoire: la machette la plus mort, la plus corrompue la plus trésor, la plus entraillée - Merger le dictateur civil, le plus crocodile, le plus déchirant et le plus génocidante de Pulitzer et le plus noir oxfam à gros yeux affamés, les plus sauvages africains sauvages ayant un sexe le plus authentique au sida avec des filles génétiquement mutilées ... le plus authentique le vrai Africain noir africain le plus authentique africain le plus mutilé génétiquement mutilé ... le plus authentique Black African Black le plus histoire qu'ils peuvent trouver.

Toutes les personnes ont une dignité. Personne n'est né sans âme ni esprit.

Moi, Binyavanga Wainaina, jure honnêtement que je savais que je suis homosexuel depuis que j'ai cinq ans.

Cela ne sert à rien d'être écrivain et d'avoir tous ces endroits bloqués où je pense que je ne peux pas penser librement et imaginer librement. Il n'y a vraiment pas de intérêt.

Terminez toujours votre livre avec Nelson Mandela disant quelque chose sur les arcs-en-ciel ou les renaissances. Parce que tu t'en fous.

À la maternelle, nous avions cette directrice catholique irlandaise appelée sœur Leonie, et je me souviens qu'elle nous dirait, disons, de mettre les crayons dans la boîte. Je me souviens avoir pensé: «Pourquoi tout le monde trouve-t-il cela si facile? Pourquoi les crayons devraient-ils être dans la boîte?

Vivant en Afrique du Sud et en revenant périodiquement au Kenya, ma relation avec la fonctionnalité au Kenya était tout simplement folle.

Le temps où nous vivons est la plus grande occasion d'être queer, et c'est presque le moment le plus dangereux car tout est à gagner.

Ce qui est étonnant, c'est que la technologie mondialisée, comme WhatsApp et Viber, donne vraiment beaucoup de latitude à la négociation des espaces et à la maintenance de son identité. Les gens peuvent donc être plus réceptifs en tant que communauté gay pour faire partie d'un environnement qui va contester la loi.

Je suis un Africain. J'ai été élevé ici; Ma maison est là. Étant afropolitain, je suis là pour rester.

C'est comme si je n'étais toujours pas sûr de savoir comment se déplacer dans l'espace d'une manière ou d'une autre; Je regardais des gens puis les copierais. J'ai trouvé très difficile de marcher droit. Mon frère était toujours sur moi pour avoir quitté le trottoir. Je suppose que je m'attendais toujours à ce que les gens me remettent en ligne.

J'aime l'idée que les lecteurs ressentent une familiarité, que ce soit avec l'Afrique ou l'enfance.

Chaque être humain a un peu de gangster en lui.

C'est une sensation rose et bleue, aussi net que le ciel clair; Une légère brise, et les bords du lac Nakuru s'élèveraient comme le volant au bord d'une jupe; Et je suis marqué avec des piqûres de potentialité du corps entier. Un tronçon de mon corps s'étirerait sûrement en ce qui concerne le ciel. L'univers entier est prêt et je suis l'agent de tout mouvement.

Je suis très excité que Moi part. Les Kenyans ont changé. Nous avons une presse libre, et ce n'est plus une situation de «suivre mes traces».

Tout le monde, nous, nous, homosexuels, sommes des gens, et nous avons besoin de notre oxygène pour respirer.

Je crois aux et la volonté de ma capacité à lutter pour, les droits égaux et la liberté d'opinion pour tout le monde, indépendamment de la couleur, de la religion, de la nationalité, de l'orientation - vous connaissez le reste.

J'adore jouer avec les mots et la texture.

Les gens atteignent un âge ... où la plate-forme de quelqu'un ELSES n'est plus la vôtre.

Partout où je vais, je vois des jeunes: confiant et avant. Je les ai vus à Lagos, au Rwanda, dans la banlieue de Londres.

Je veux me battre pour une société responsable de ses citoyens.

Les gens atteignent un âge ... où la plate-forme de quelqu'un d'autre n'est plus la vôtre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Binyavanga_Wainaina

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