Après avoir sauvé le prince Aleksander – dont il était l'esclave –, et l'empire tout entier, de la menace des rai-kirah, Seyonne est redevenu un homme libre. Mais le retour parmi les siens ne sera pas aussi simple qu'il l'espérait : il a été souillé par sa captivité et son peuple n'est pas prêt à lui rendre sa place de Gardien des Âmes. Il va devoir, une fois de plus, lutter pour regagner la confiance des Ezzariens et, plus que tout, de celle qu'il aime.Avec L'insoumis, deuxième tome d'une trilogie de fantasy riche et passionnante, aux personnages complexes et attachants, Carol Berg se place dans la lignée d'auteurs aussi talentueux que Robin Hobb ou Guy Gavriel Kay.

L'insoumis (Rai-Kirah, #2)

Seyonne a traqué pendant des années les démons des rai-kirah qui hantaient le monde. Implacable au combat, il leur livrait bataille inlassablement, dans les royaumes visibles et invisibles, au péril de sa vie, au détriment de son bonheur.Il a fait tout cela pour rien.Car ces démons n’étaient pas l’ennemi qu’il croyait. Une puissance bien supérieure menace désormais de détruire aussi bien l’humanité tout entière que les démons eux-mêmes.Seule l’alliance de Seyonne et des rai-kirah pourrait sauver le monde qui court à sa perte…

Le vengeur (Rai-Kirah, #3)

Le vengeur

Seyonne est un homme libre.Après soixante ans d’esclavage, il a sauvé le Prince Aleksander et son empire. En récompense, il a recouvré la liberté et sa patrie d’Ezzaria a été rendue à son peuple.Plus encore, Seyonne est le Gardien des Âmes, seul capable de libérer les hommes des possessions démoniaques. Malgré les rumeurs qui le disent corrompus par sa captivité, il porte désormais sur ses épaules le fardeau de la guerre contre les démons.Jusqu’au jour où l’un d’eux sème le trouble en Seyonne et remet en question toutes ses convictions. Accusé d’avoir violé son serment et condamné par les anciens, le Gardien doit se mettre en quête de la vérité, pour la survie de sa famille, de son peuple… et de son âme elle-même.

Seyonne n’a pas toujours été esclave.Autrefois, les membres de son peuple étaient les gardiens d’une magie protégeant le monde contre les démons. Autrefois... avant que les Derzhi ravagent leurs terres et les réduisent en esclavage.Après seize années de misère et d’humiliation, Seyonne est résigné : il attend la mort en évitant le surcroît de souffrance qu’apportent l’espoir et le souci d’autrui.Mais, lorsqu'il est acheté par Aleksander, prince de l’empire derzhi, son fatalisme désespéré vacille. Ce nouveau maître, d’une insouciante cruauté, héritier d'une civilisation qui a assujetti la sienne et règne sans partage sur son monde, semble la proie des démons.Que deviendrait le monde sous l'emprise d'un empereur à leur merci ?Devinant en Aleksander les germes de la grandeur, l'esclave devra, pour le sauver, trouver la force de mener son dernier combat.

L'Esclave (Rai-Kirah, #1)

Un soldat ne meurt jamais. Son sang rend l'herbe verte pour ses enfants.

Pour les livres «Rai-Kirah», j'ai commencé avec l'image d'Aleksander chevauchant les grands déchets, et cela s'est rapidement transformé en désert. Parce que je voulais que mon marché esclave soit froid et misérable, j'ai choisi de mettre la scène d'ouverture dans la capitale estivale de l'Empire dans les montagnes.

Mon colocataire de l'université m'a donné sa copie de `` Lord of the Rings '' et j'ai lu que probablement cinq ou six fois - non pas parce que je pense que c'est la plus grande chose jamais écrite, bien que certaines personnes pensent certainement que c'est - mais le monde qu'il crée est Si vif. Si réel qu'il a conçu ses propres langues, son histoire et sa mythologie.

Écrire. Écrire. Écrire. Apprenez à réviser. Aucune histoire n'est parfaite directement du clavier.

Lire. Lire. Lire. Lisez de nombreux genres. Lisez une bonne écriture. Lisez la mauvaise écriture et trouvez la différence. Apprenez le métier de l'écriture.

J'aime beaucoup la construction du monde. Je commence généralement par une approximation. Avec «chair et esprit» et «souffle et os», parce que je pensais à un monde au bord d'un âge sombre, j'ai commencé avec le sens de la Grande-Bretagne romaine. Mais j'ai délibérément défini la géographie pour correspondre à autre chose que la Grande-Bretagne - qui a été exagérée.

L'une des choses qui m'ont découragé d'écrire pendant un certain temps, c'est ce conseil que tout le monde donne aux nouveaux écrivains: «Écrivez ce que vous savez». Personne ne voudrait jamais lire sur ma vie ennuyeuse! Mais je sais beaucoup de choses sur les cultures et les mythologies de différentes sociétés. La façon dont les gens étaient et sont.

L'écriture est une communication, et vous ne savez pas comment vous allez jusqu'à ce que vous le mettez devant les yeux de quelqu'un d'autre. Vous apprenez également en critiquant le travail des autres écrivains.

J'aime écrire des histoires qui se lisent comme une fiction historique sur de grands événements qui changent le monde à travers l'objectif d'un protagoniste défectueux.

Je suis une personne assez ordinaire - un lecteur à vie, un ancien ingénieur logiciel et un ancien professeur de mathématiques. Je viens d'une merveilleuse famille de professeurs, de musiciens, de bibliothécaires et d'ingénieurs. Je pense que je les ai surpris ainsi que mes amis et collègues quand j'ai commencé à écrire comme passe-temps et à laisser le contrôle de ma vie!

J'avais de très bons professeurs d'anglais au primaire au lycée. Non seulement nous devions lire beaucoup - ce qui est la meilleure formation pour l'écriture - nous avons été forés de la grammaire tous les jours, tous les soirs. Je détestais la partie de perceuse, mais je ne me pose pas trop souvent mes participes.

Certains critiques appellent mes histoires sombres - et oui, il y a de la violence et de l'angoisse, et les enjeux sont élevés - mais j'aime à penser que les fins sont satisfaisantes et pleinement.

J'aimerais avoir écrit les cinq premiers livres de Roger Zelazny de «Amber». Quelle belle idée il a eu dans les ombres de la réalité!

Alors, qu'est-ce que ce feadnach? Est-ce une autre malédiction qui me fait redevenir les esclaves et les musaraignes? «Non, mon seigneur. C'est votre cœur. Aussi difficile de comprendre, il y a une possibilité que vous puissiez en avoir un.

Lors de l'une des premières conventions de science-fiction auxquelles je suis allé, j'ai vu un gars portant un tableau de sandwich faisant la promotion de son livre. Comptez-moi hors de celui-là.

Les livres ne bavardent pas. Les livres ne font pas de demandes. Pourtant, ils vous donnent tout ce qu'ils possèdent. C'est un partenariat très satisfaisant.

Je n'ai jamais cru pouvoir écrire quoi que ce soit. Pas question - écrivez une histoire entière? Vous avez tout compris tout ce tracé et ce symbolisme? Comment préfigurez-vous les choses?

Il y a un point de l'intrigue dans l'un des livres «D'Arnath» que je ne pense pas que j'ai géré aussi bien que je pourrais avoir. Vais-je te dire lequel? Certainement pas!

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