Once upon a time the great Faeran high king, Angavar, became trapped in mortal Erith along with his twin brother - and nemesis - Morragan 'the Raven Prince', when the gate to the Faeran Realm was closed on them.

The Battle of Evernight

Second volume in The Bitterbynde Trilogy, a marvellously colourful and imaginative fantasy debut. Though her memory remains clouded by sorcery, Imrhien (heroine of THE ILL-MADE MUTE) must take vital news to the King-Emperor of Caermelor, hoping also to find there the fearless ranger who has won her heart. She assumes the identity of 'Rohain', a noblewoman visiting from the distant Sorrow Isles, but finds the King and his rangers heading off to battle the Unseelie hordes. Meanwhile, awaiting their return, the newcomer must survive in a court where treachery and deceit are as deadly as any eldritch peril. Worse still, attacks by nightmare monsters of the Wild Hunt grow ever more frequent and brutal, and when evil forces lay siege to the royal sanctuary on a hidden mystic island, she realises with horror that she herself is the real target of these onslaughts -- but has no idea why.

The Lady of the Sorrows

Weapons glitter, men's voices are raised in battle-song and bright banners crack and flap in a sharp breeze; armies of steel and bronze are marching to war as the ruthless king of the southern realm executes his plan to seize dominion over the Four Kingdoms. With Tir's most powerful protectors slain by treachery and the defenders scattered, it appears nothing can stand in the tyrant's way. Asrathiel, summoner of storms, called 'Weatherwitch' by her wayward, eldritch companion, aids the defenders as best she can, but the invading armies are pushing further north and it seems that all is lost .

Fallowblade

After Jewel and Eoin have fled from their native Slievmordhu to the kingdom of Narngalis, they encounter many dangerous situations which ultimately leave Eoin in the hands of the deadly unseelie wights. With nowhere else to go Jewel finds refuge amongst the plateau-dwellers at High Darioneth. Teeming with siofra, trows and other eldritch wights their land is under the tight rule of the weathermasters and Storm Lord Avalloc, who have the power to tame and summon the winds .

The Well of Tears

Je te veux et ce sera ainsi, pendant que j'ai la vie.

La mesure du bonheur n'est que la différence entre les attentes et les résultats. Cela ne concerne pas ce que l'on possède - il s'agit de la façon dont on se contente de ce que l'on possède.

La véritable amitié vaut plus que ce qui peut être mesuré, une qualité pour toujours à être chronométrée. Les vrais amis se tiendront fermement l'un à côté de l'autre, alors que le frère loyalement stimule son frère, restant ferme malgré la guerre et les conflits, dans la pauvreté ou la maladie, tout au long de la vie. La véritable amitié dure tandis que les camarades vieillissent d'un garçon à l'autre, du guerrier au sage.

Elle était consciente de son amour - comment ne pouvait-elle pas? Elle le percevait chaque fois qu'il la regardait. Il n'était pas démonstratif, mais son ardeur était d'autant plus évidente pour les rênes avec lesquelles il l'a retenue, le masque d'acier derrière lequel il l'a emprisonné, son comportement détaché et ses gestes délibérés qui, loin de défaire un manque d'intérêt, montraient le La force de son autodiscipline, qu'il pourrait siruiser l'intensité de sa passion.

Périodiquement, je retourne aux classiques pour inspiration et rafraîchissement.

Si vous cherchez un livre qui n'a pas été influencé par la culture populaire du 21e siècle et qui est garanti d'être une bonne lecture parce qu'elle a résisté au temps, vous ne pouvez pas vous tromper avec les classiques.

Le temps tournait de nombreux fils pour sa tapisserie, certains pour être tissés ensemble, certains pour enchevêtrer ou s'effilocher, d'autres simplement pour périr et décéder.

Nous aimons, tout en sachant qu'un jour notre amour pourrait être perdu pour toujours. Nous rions alors que nous progressons, même en reconnaissant que Doom se trouve à la fin de la route. Nous donnons, tout en comprenant qu'à la fin, «Twill soit tous enlevés. Nous ne sommes rien de moins que des héros.

Je suis très impressionné par l'adaptation télévisée de la BBC de la «House sombres» de Charles Dickens. Les costumes, les ensembles, le jeu et le scénario sont tous superbes. Chaque épisode est fascinant.

J'ai vraiment aimé lire «The Da Vinci Code», mais d'un point de vue littéraire, le livre n'a pas été à la hauteur du battage médiatique.

Je soutiens les droits des non-humains de tout cœur avec ma voix, mon argent, ma présence, mon écriture et toute autre façon possible.

J'ai entendu dire que de nombreux beaux artistes devaient tourner leurs peintures «finies» pour faire face au mur - sinon, chaque fois qu'ils passent devant, ils sont tentés de ramasser un pinceau et de faire de petits ajustements ici et là.

Dans Fantasy, vous avez une licence pour choisir tout ce que vous aimez par l'histoire et la fantaisie, et vous n'avez pas à être exact.

Si vous êtes la lanterne, je suis la flamme; Si vous êtes le lac, alors je suis la pluie; Si vous êtes le désert, je suis la mer; Si vous êtes la fleur, je suis l'abeille; Si vous êtes le fruit, alors je suis le noyau; Si vous êtes le rocher, alors je suis le minerai; Si vous êtes la ballade, je suis le mot; Si vous êtes la gaine, alors je suis l'épée.

J'ai grandi en lisant - et aimant - des histoires d'Andre Norton. Je l'ai admirée et idolâchée de loin. Ses histoires ont aidé à façonner mon propre monde interne.

Sans voix, naufragée et ironique, une bizarrerie envahissante, mes pieds sont plantés dans l'argile, mon regard est enfermé sur le ciel.

Le corbeau répara ses ailes brillantes et partit comme de l'espoir.

Rouler à l'arrière d'un cheval d'eau - quel mortel était resté dans un tel siège pendant si longtemps? Sur un cheval fait de courants froids et de convergences liquides, de plaisanteries et de ruse - pressé contre une peau comme la mer brune de minuit, la chose semble différente du cavalier.

Je soupçonne que les écrivains et autres créateurs n'ont jamais vraiment terminé de travail.

J'écrivais de la fantaisie dès que je pouvais tenir un stylo.

Chaque fois que les oncles et tantes aimables venaient pour une tasse de thé et demandaient ce que je voulais être quand j'ai grandi, c'était toujours le même: un «auteur» et illustrer mes propres livres.

Ses oeuvres

Ses derniers livres