"Charles Bowden a toujours exploré sans peur ce qu'aucun livre sur l'Amérique n'a jamais osé aborder", Jim Harrison. 
Unanimement saluée par la presse, l'oeuvre de Charles Bowden (1945-2014) a imposé sa vision singulière de l'Amérique et du monde qui est le nôtre. Après Orchidée de sang et Du blues pour les cannibales, qui exploraient les sources du mal et de la violence, il porte ici son regard sur l'avenir et ses enjeux terrorisme, réchauffement climatique, destruction de la nature, durcissement des frontières ? , face auxquels nous nous sentons bien souvent impuissants. A la croisée du journalisme et de la littérature, mêlant avec brio enquêtes, témoignages et souvenirs, ce récit fulgurant nous entraîne à la marge de la nouvelle réalité mondiale et achève une réflexion sans concession, aujourd'hui plus vitale et nécessaire que jamais.

Une histoire pas naturelle de l'Amérique - Tome 3, Certains morts respirent encore

« Charles Bowden a toujours exploré sans peur ce qu?aucun livre sur l?Amérique n?a jamais osé aborder. »Jim Harrison Unanimement saluée par la presse, l?oeuvre de Charles Bowden (1945-2014) a imposé sa vision singulière de l?Amérique et du monde qui est le nôtre. Après Orchidée de sang et Du blues pour les cannibales, qui exploraient les sources du mal et de la violence, il porte ici son regard sur l?avenir et ses enjeux ? terrorisme, réchauffement climatique, destruction de la nature, durcissement des frontières? ?, face auxquels nous nous sentons bien souvent impuissants. À la croisée du journalisme et de la littérature, mêlant avec brio enquêtes, témoignages et souvenirs, ce récit fulgurant nous entraîne à la marge de la nouvelle réalité mondiale et achève une réflexion sans concession, aujourd?hui plus vitale et nécessaire que jamais.

Certains morts respirent encore - Une histoire pas naturelle de l'Amérique III

Orchidée de sang est le premier volet d'une trilogie qui a rendu son auteur célèbre aux États-Unis. Dans la tradition de Hunter S. Thompson, Charles Bowden ausculte l'histoire et la civilisation américaines, mêlant les paysages, les faits divers, la littérature, l'histoire, l'écologie, la société, la guerre, et la sexualité en une fresque hallucinée qui contient les questions essentielles de notre temps. Il s'interroge ici sur la violence inhérente au destin de son pays. 
Personne n'a jamais écrit sur l'Amérique comme Charles Bowden. Son oeuvre est une révélation.
« Lire Bowden, c'est comme rouler dans une Ferrari dont les freins auraient lâché : on va à toute blinde, mais pas moyen de s'arrêter. Lisez-le, vous n'avez rien à perdre, si ce n'est quelques fausses certitudes. Aucun autre écrivain ne porte un regard aussi détaché et lucide sur notre culture. » Jim Harrison
« L'un des talents les plus authentiques de la littérature américaine contemporaine. » The New York Times
« Une oeuvre d'une beauté majestueuse et furieuse. » The San Francisco Chronicle

Orchidée de sang

Récit prophétique et fulgurant, Orchidée de sang révélait Charles Bowden, digne héritier de Nelson Algren ou Hunter S Thompson. L’écrivain américain poursuit ici sa traversée hallucinée des Etats-Unis, à la rencontre des fantômes de l’histoire collective, mêlant tout à la fois paysages, faits divers, politique et société en une fresque qui renferme les questions essentielles de notre temps. On y croise un prisonnier obsédé par son art, des délinquants sexuels dont les pulsions ne sont pas aussi folles que nous pourrions l’imaginer, un assassin dont l’exécution n’apporte aucune réponse. Saisissant avec autant d’amour que de rage les lignes de force qui gouvernent le monde, la plume de Bowden interroge la soif de vivre dans une ère de pillage globalisé et de violence déchaînée, signant une oeuvre inclassable dont la portée et la vitalité ne peuvent laisser indifférent.

Une histoire pas naturelle de lAmérique - Tome 2, Du blues pour les cannibales

Récit prophétique et fulgurant, Orchidée de sang révélait Charles Bowden, digne héritier de Nelson Algren ou Hunter S. Thompson. L'écrivain américain poursuit ici sa traversée hallucinée des États-Unis, à la rencontre des fantômes de l'histoire collective, mêlant tout à la fois paysages, faits divers, politique et société en une fresque qui renferme les questions essentielles de notre temps. On y croise un prisonnier obsédé par son art, des délinquants sexuels dont les pulsions ne sont pas aussi folles que nous pourrions l'imaginer, un assassin dont l'exécution n'apporte aucune réponse. Saisissant avec autant d'amour que de rage les lignes de force qui gouvernent le monde, la plume de Bowden interroge la soif de vivre dans une ère de pillage globalisé et de violence déchaînée, signant une oeuvre inclassable dont la portée et la vitalité ne peuvent laisser indifférent.

Du blues pour les cannibales - Une histoire pas naturelle de l'Amérique - tome 2

Orchidée de sang est le premier volet d’une trilogie qui a rendu son auteur célèbre aux Etats-Unis. Écrite dans une langue incandescente, elle ausculte l’histoire et la culture américaines. A la manière d’un grand reporter, Bowden y mêle les paysages américains, les faits divers, la littérature, l’histoire, l’écologie, la société, la guerre, et la sexualité en une fresque hallucinée qui renferme les questions essentielles de notre temps. En observant les mouvements du monde à travers l’infiniment petit et en en dessinant les lignes de force, il a créé une oeuvre inclassable mais essentielle, une oeuvre d’une puissance rare qui possède une réelle dimension prophétique. Personne n’a jamais écrit sur l’Amérique comme Charles Bowden et son oeuvre va être une très grande découverte pour tous ceux qui s’intéressent à la culture et à l’histoire américaine.

Orchidée de sang : une histoire pas naturelle de l'Amérique

Eugene richards

Je ne fais pas confiance aux réponses ou aux gens qui me donnent les réponses. Je crois à la saleté et aux os et aux fleurs et aux pâtes fraîches et à la salsa cruda et au vin rouge. Je ne crois pas au vin blanc; J'insiste sur la couleur.

Les drogues légalisées provoqueraient des dislocations dans l'économie américaine - l'industrie pénitentiaire par exemple et des dizaines de milliards dépensés chaque année pour l'application des drogues. Mais parce que l'économie américaine est si importante, ce serait un coup mineur, à peine aussi grave que le cauchemar ultime pour l'économie américaine, la paix mondiale, qui fermerait son industrie de la mort communément appelée le complexe militaire / industriel.

Ce qui est expliqué peut être refusé, mais ce qui est ressenti ne peut être oublié.

Si les drogues étaient légalisées aux États-Unis, l'économie mexicaine s'effondrerait car les bénéfices des médicaments provoquent une monnaie plus dure que sa plus grande source de licites, les ventes de pétrole. Le Mexique est un État corrompu qui est maintenant devenu dépendant des bénéfices d'un produit illégal. Mais inévitablement, le produit deviendra légal, puis le Mexique conservera sa corruption mais doit faire face aux besoins de ses citoyens maintenant employés par l'industrie pharmaceutique qui sont devenus imprégnés de violence et conditionnés à des revenus plus élevés.

La peur d'être tuée et la peur de tuer attire des gens vers les tueurs et les meurtres. Quiconque a couvert des homicides pour un journal quotidien apprend bientôt cette réalité des questions que les gens posent une histoire sur le café.

Les humains construisent leurs sociétés autour de la consommation d'eau fossile depuis longtemps enterrée dans la terre, et ces sociétés, basées sur des ressources temporaires, sont confrontées à la temporaire elles-mêmes.

Je suis toujours un optimiste. Les pessimistes sont les menteurs qui refusent d'admettre ce qui se passe. Et je vais vous donner trois choses que nous pourrions faire cet instant pour aider le Mexique: légaliser les drogues, renégocier l'ALENA afin qu'il paie un salaire décent, protège les syndicats et protège l'environnement et arrête le plan Merida qui donne 500 millions de dollars par an à l'armée mexicaine , la plus grande organisation criminelle unique du Mexique.

Il y a deux façons de vous perdre la santé mentale à Juarez. L'une consiste à croire que la violence résulte d'une guerre du cartel. L'autre est de prétendre comprendre ce qui se trouve derrière chaque meurtre.

Être en vie, c'est le jardinage et la cuisine et les oiseaux et le vert et le bleu, à tout le moins.

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