Die Corona-Krise bringt in extremer Weise einen konstitutionellen Zustand unseres modernen Bewusstseins zum Ausdruck, einen Zustand, den wir als Getrenntheit erleben.

Neben kritischen Analysen des Verständnisses der evolutionären Bedeutung der Viren sowie der ideologisch-politischen Aspekte der viel beschworenen Impfstoffe gegen COVID-19 geht es in diesem Folgeband zu Corona - eine Krise und ihre Bewältigung vor allem um die Schritte, die wir im Sinne der Anthroposophie auf dem Wege einer Überwindung der Getrenntheit gemeinsam gehen können.

Inhalt

Thomas Hardtmuth: Das Corona-Syndrom - warum die Angst gefährlicher ist als das Virus

Christoph Hueck: Impfung, Impfnachweis, Impflicht - Ideologie der Kontrolle versus christlicher Individualismus

Charles Eisenstein: Die Krönung - in was für einer Welt wollen wir leben?

Andreas Neider: Corona - Gegenbild einer notwendigen Bewusstseinsveränderung

Corona und die Überwindung der Getrenntheit - Neue medizinische, kulturelle und anthroposophische Aspekte der Corona-Pandemie

Suivez Charles Eisenstein et sa plume perspicace, incisive et engagée, au coeur d'un essai fascinant, à la découverte de deux Grandes Histoires : celle qui sous-tend l'ancien paradigme, le monde qui touche aujourd'hui à sa fin, et surtout celle du nouveau modèle en train d'émerger un peu partout. Nous vivons actuellement cette transition entre deux mondes : après une ère soumise à l'illusion de la Séparation, avec les conflits qu'elle a engendrés dans tous les domaines, arrive l'ère de la Réunion, de la prise de conscience de notre profonde interdépendance. Tel un tisserand, l'auteur nous révèle page après page les noeuds qui nous retiennent encore dans "l'ancienne histoire" et file progressivement un nouveau récit, celui de l'Inter-Etre. Comment passer de la vieille histoire à la nouvelle ? Comment dépasser le doute, le cynisme, le désespoir avant d'atteindre cette dernière ? Charles Eisenstein esquisse un chemin pour avancer ensemble vers ce monde plus beau que notre coeur sait possible. Un texte éminemment inspirant, nous invitant à sortir de nos conditionnements en écoutant notre coeur !

Notre coeur sait qu'un monde plus beau est possible

« Il arrive souvent que plusieurs personnes captent une idée en même temps, jusqu’au moment où l’une d’elles parvient à lui donner la forme la plus aboutie. C’est précisément ce qu’a fait Charles Eisenstein dans le présent ouvrage avec la nouvelle Grande Histoire que nous attendions, qui cherche à émerger depuis quelques décennies. » – Olivier Clerc
Suivez Charles Eisenstein et sa plume perspicace, incisive et engagée, au cœur d’un essai fascinant, à la découverte de deux Grandes Histoires : celle qui sous-tend l’ancien paradigme, le monde qui touche aujourd’hui à sa fin, et surtout celle du nouveau modèle en train d’émerger un peu partout.
Nous vivons actuellement cette transition entre deux mondes : après une ère soumise à l’illusion de la séparation, avec les conflits qu’elle a engendrés dans tous les domaines, arrive l’ère de la Réunion, de la prise de conscience de notre profonde interdépendance. Tel un tisserand, l’auteur nous révèle page après page les nœuds qui nous retiennent encore dans « l’ancienne histoire » et file progressivement un nouveau récit, celui de l'Inter-Être.
Comment passer de la vieille histoire à la nouvelle ? Comment dépasser le doute, le cynisme, le désespoir avant d’atteindre cette dernière ? Charles Eisenstein esquisse un chemin pour avancer ensemble vers ce monde plus beau que notre cœur sait possible.
Un texte éminemment inspirant, nous invitant à sortir de nos conditionnements en écoutant notre cœur !

Comme nous l'enseigne la sagesse yogique, ce n'est pas en s'opposant à son corps que l'on peut en obtenir le moindre résultat mais, au contraire, en s'en faisant complice et en apprenant à l'écouter. Loin d'une théorie, il s'agit là d'une pratique quotidienne fondée sur le bon sens, une attitude d'observation honnête vis-à-vis de soi, un acte de patience qui nous rapproche chaque jour du plaisir et de la joie. Ce livre ne vous dicte pas ce que vous devez manger ou pas. C'est un manuel pratique qui vous apprend à distinguer les désirs superficiels des appétits réels, à adapter votre alimentation à votre personnalité et votre mode de vie, à identifier parmi la pléthore de régimes présents sur le marché celui qui vous correspond le mieux. Ainsi pourrez-vous concilier le plaisir de manger et une bonne santé.

Le yoga de l'alimentation - Réapprendre l'authentique plaisir pour se nourrir

Le mot «spirituel» signifie normalement quelque chose de distinct du charnel ou du matériel. Ce n'est pas du monde. Mais cette version de la spiritualité est en faillite aujourd'hui. Il avait son usage lorsque le programme de science a cédé la matière des qualités spirituelles - - les qualités d'un soi ou d'un être. Lorsque la science a cédé le monde de ces qualités et a fait une simple chose, plutôt que comme un soi, il nous a donné une licence pour le traiter comme une simple chose, et non comme quelque chose de sacré, conscient, vivant, intelligent. Ceci est donc lié à toute la trajectoire de notre civilisation.

Il y a un vaste territoire entre ce que nous essayons de laisser derrière nous, et où nous voulons aller - et nous n'avons pas de cartes pour ce territoire.

Nous avons besoin beaucoup plus d'intimité que presque quiconque considère normal. Toujours faim, nous recherchons du réconfort et de la subsistance dans les substituts les plus proches disponibles: télévision, shopping, pornographie, consommation visible - tout pour soulager la blessure, se sentir connecté ou projeter une image par laquelle nous pourrions être vus et connus, ou au moins voir et nous connaître.

Lorsque vous comprenez que tout ce qui se passe dans le monde reflète quelque chose qui se passe en vous-même, alors vous pouvez travailler sur soi en travaillant sur la manifestation extérieure de cette chose dans le monde. Et en fait, il n'y a peut-être pas d'autre moyen. Vous pouvez vous asseoir dans la méditation pendant longtemps et être aveugle à d'énormes blessures en vous-même, et ce n'est que lorsque vous vous engagez avec le monde que les blessures deviennent visibles, externalisées.

La propriété est, après tout, une convention sociale, un accord sur le droit exclusif de quelqu'un d'utiliser une chose de manière spécifiée. Cependant, nous semblons avoir oublié cela. Nous semblons penser que la propriété nous appartient d'une manière essentielle, qu'elle est de nous. Nous semblons penser que notre propriété fait partie de nous-mêmes, et qu'en le possédant, nous nous rendons donc plus, plus grands, plus grands.

Contemporané de la crise financière, nous avons une crise écologique et une crise de santé. Ils sont intimement liés. Nous ne pouvons pas convertir beaucoup plus de la Terre en argent, ou bien plus de notre santé en argent, avant que la base de la vie elle-même ne soit menacée.

Vous pourriez demander: pourquoi les gens sont-ils attirés par des récits qui justifient les choses terribles que nous faisons sur la planète? Pourquoi les gens sont-ils attirés par les récits de contrôle et de peur et de chasse dans les terroristes, et cette attitude insouciante envers la nature? Ceux-ci proviennent de ce que j'appelle les perceptions de la séparation et l'expérience de la séparation, l'expérience de l'aliénation, l'expérience de la rareté, de l'anxiété et de la concurrence, et un monde dans lequel tout le monde est sorti pour eux-mêmes et personne ne s'en soucie.

L'état d'interbering est un état vulnérable. C'est la vulnérabilité de l'altruiste naïf, de l'amant de confiance, du partager non gardé. Pour y entrer, il faut laisser derrière lui l'abri apparente d'une vie basée sur le contrôle, protégé par des murs de cynisme, de jugement et de blâme.

Je pense que les gens deviennent des environnementalistes à travers des expériences de beauté et de chagrin. Il y avait cet étang que vous avez visité quand vous étiez enfant, et il y avait des grenouilles et des tortues. Vous y retournez et c'est mort maintenant. La forêt dans laquelle vous êtes allé, maintenant il y a des bulldozers, maintenant c'est un centre commercial. Ces expériences de beauté suivies par le chagrin nous affectent plus que l'apprentissage que les niveaux de CO2 sont désormais de 400 parties par million.

Je ne prescrit pas la non-respect comme une réponse universelle à nos problèmes. Parfois, quelque chose doit évidemment être fait. Et nous nous retirons dans un état spirituel ou méditatif que nous nous attendons à l'appeler la pleine conscience, mais c'est vraiment un détachement malsain et un rétrécissement de la vie. Mais culturellement, il est beaucoup plus courant d'être piégé dans les habitudes de réaction, que ce soit au niveau systémique ou au niveau personnel. C'est là que le non-objet entre en jeu, ce que nous n'avons pas vraiment de place. Je pense que c'est quelque chose que nous devons adopter dans le cadre du processus créatif.

Chaque expérience de l'amour nous pousse vers l'histoire de l'interbe, car elle ne fait que s'intègre dans cette histoire et défie la logique de la séparation.

Nous, dans les sociétés les plus riches, avons trop de calories même si nous mourons de faim pour de beaux aliments frais; Nous avons des maisons trop grandes mais manquons d'espaces qui incarnent vraiment notre individualité et notre connectivité; Les médias nous entourent partout pendant que nous mourons à la faim pour une communication authentique. On nous offre des divertissements chaque seconde de la journée, mais nous n'avons pas la chance de jouer. Dans le monde omniprésent de l'argent, nous avons faim de tout ce qui est intime, personnel et unique.

Personne n'a jamais complètement brisé. Il s'agit juste de savoir combien doit s'effondrer avant que la durée de la vie ne soit exposée à l'air.

Je ne peux pas donner une formule sur la façon de répandre la joie, mais je sais que la source de la joie est sa propre joie, et que cela n'est pas distinct du plaisir et de l'épanouissement des désirs. Alors je demande: qu'est-ce qui me fait me sentir vivant? Quelle est l'expression de mon sauvage intérieur? Qu'est-ce qui se sentirait vraiment bien? Et si ce qui me fait me sentir vivant me conduit vers les joies plus profondes, qui se trouvent dans la générosité et le service, en créant des choses qui sont belles pour moi? Peut-être que le monde en a besoin. Combien de dirigeants de l'entreprise de pétrole font leur travail parce que c'est beau pour eux? Pas beaucoup, je parie.

L'acupuncteur holistique et le sauveteur de la tortue de mer peuvent ne pas être en mesure d'expliquer le sentiment: «Nous servons la même chose», mais ils le sont. Les deux sont au service d'une histoire émergente des gens qui est la mythologie déterminante d'un nouveau type de civilisation.

Nous devons créer des conditions où les gens se sentent en sécurité pour ressentir et se soucier. Cela va à l'encontre d'une grande partie de notre programmation sur la façon de faire changer quelque chose dans le monde. Parfois, vous pouvez faire pression sur les gens en changeant, vous pouvez les forcer, mais les pouvoirs qui ont plus de force que nous. Je ne pense pas que nous allons gagner dans un concours de force. Je pense que nous devons induire un changement de cœur. Le récit de «nous contre eux» fait finalement partie du problème. L'activisme traditionnel, qui vise à surmonter le dernier méchant, n'est pas assez profond. Cela nous apporte juste une autre version de la même chose.

Allez-vous céder dans les banques et les fonds de pension? Beaucoup de gens sont prêts à investir dans le stock de ces sociétés. Vous pouvez affirmer que lorsque beaucoup de gens se déploient, cela rend le cours de l'action artificiellement bas, ce qui rend leur ratio de prix / bénéfice plus favorable, ce qui en fait un meilleur investissement pour les personnes qui n'en fassent pas - et Est-ce que ça va vraiment changer le comportement de l'entreprise? Cela commence à créer un climat d'opinion antagoniste, le résultat pourrait être que les dirigeants d'entreprise se retireront encore plus dans leurs propres récits auto-justifiés.

Lorsque tout est soumis à de l'argent, alors la rareté de l'argent rend tout rare, y compris la base de la vie humaine et du bonheur. Telle est la vie de l'esclave - l'une dont les actions sont obligées par la menace de survie. Peut-être que l'indication la plus profonde de notre esclavage est la monétisation du temps.

Vous ne pouvez pas avoir la communauté comme complément à une vie monétisée. Vous devez réellement avoir besoin les uns des autres.

Est-ce trop demander, de vivre dans un monde où nos dons humains vont au bénéfice de tous? Où nos activités quotidiennes contribuent à la guérison de la biosphère et au bien-être des autres?

La convergence actuelle des crises - en argent, énergie, éducation, santé, eau, sol, climat, politique, l'environnement, etc. - est une crise de naissance, nous expulsant de l'ancien monde en un nouveau.

Lorsque les deux côtés d'une controverse se délectent de la défaite et de l'humiliation de l'autre côté, ils sont en fait du même côté: le côté de la guerre.

Une révolution qui laisse intacte notre conceptualisation de soi et du monde ne peut apporter que des changements temporaires et superficiels. Seule une révolution beaucoup plus profonde, une reconception de qui nous sommes, peut inverser les crises de notre époque.

Faites confiance à votre intuition et soyez guidé par l'amour.

La communauté est tissée des cadeaux, ce qui explique en fin de compte pourquoi les pauvres ont souvent des communautés plus fortes que les riches. Si vous êtes financièrement indépendant, vous ne dépendez vraiment de vos voisins pour quoi que ce soit. Vous pouvez simplement payer quelqu'un pour le faire.

Même si j'avais de l'argent à investir, je ne l'investirais pas dans des compagnies pétrolières - - ou leurs banquiers, fournisseurs, clients ... cela signifie vraiment l'ensemble du marché boursier. Je ne suis pas opposé au désinvestissement, mais je pense que cela n'ira pas très loin. La demande est toujours là, l'infrastructure de combustibles fossiles est toujours là. Où j'aimerais voir notre énergie politique aller, c'est arrêter l'écode à un niveau local et biorégional. Chaque nouveau projet énergétique implique des abus horribles des sommets des montagnes, des eaux souterraines, des forêts, etc., car toutes les ressources faciles ont déjà été extraites.

Le régime de contrôle se resserre inexorablement dans nos écoles, dont beaucoup ont maintenant des caméras vidéo, des patrouilles de police, des clôtures de liaison de chaîne, des perquisitions aléatoires de casier inopinées, des détecteurs de métaux, des chiens reniflant de la drogue, des réseaux d'informateurs, des policiers sous couverture se faisant passer pour des étudiants, et Un système complet de passes afin qu'il y ait un enregistrement de l'endroit autorisé de chaque élève à tout moment. Quelle préparation parfaite à la vie dans une prison ou une société totalitaire!

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