"Certains vont chercher le bonheur en Sibérie ou en Alaska, moi je lorgne du côté d'Aubusson, de Saint-Flour et du plateau de Millevaches... Je suis un aventurier de la France cantonale, un explorateur de sous-préfectures." Sans le moindre sou en poche, misant sur la générosité des gens, un jeune aspirant jésuite s'échappe de la ville et de la modernité avec le désir de renouer avec l'élémentaire. Il s'offre une virée buissonnière à travers les déserts du Massif central, une petite promenade de sept cents kilomètres à pied. 

Le chemin des estives, récit de ce voyage, est une ode à la désertion, à la liberté, à l'aventure spirituelle. On y croise les figures de Rimbaud, de Charles de Foucauld, mais aussi des gens de caractère, des volcans, des vaches.

Une certitude se dessine : le bonheur est à portée de main, il suffit de faire confiance et d'ouvrir les yeux.

"Un livre de classe et de grâce" - 

Le Figaro"Un livre simple, profond et léger à la fois, [...] une ode à la liberté qui sonne juste et fait du bien" - 

Ouest-France

Le chemin des estives

L'aventure a déserté le monde. La seule terre qu'il reste à arpenter, c'est celle de son cour.

Abbé du monastère trappiste du Mont des Cats, puis ermite, André Louf (1929-2010) fut l'un des pionniers de cette aventure intérieure. Cet ouvrage procède d'un long compagnonnage avec cette grande figure spirituelle de l'Occident.

Ce n'est pas une biographie « pieuse », mais le récit d'un itinéraire d'homme, avec ses lignes courbes, éperonné par ces interrogations : Dieu peut-il vraiment combler une vie ? Comment apprivoiser nos désirs ? À quoi sert la prière ? Quel est le secret de l'amour humble ?

S'appuyant sur des sources inédites, notamment le journal spirituel où André Louf révèle ce qu'il a de plus intime - son dialogue avec Dieu -, ce livre se tient au plus près de l'expérience de l'un des grands moines du XXe siècle.

À travers l'existence de cet orfèvre de l'intériorité, retracée avec sensibilité et d'une plume alerte, l'ouvrage balise les chemins vers « la vie vivante » et vers le cour profond : ce lieu de Dieu où la grâce, la paix et la joie coulent de source en chacun de nous.

Historien de formation, Charles Wright est écrivain et journaliste. Il a notamment publié À quoi servent les moines ? (Éditions François Bourin, 2011), Casanova ou l'essence des Lumières (Éditions Bernard Giovanangeli, 2008 ; Prix Guizot de l'Académie française), et Le chemin des estives (Flammarion, 2021, J'ai Lu, 2022 ; Prix de la liberté intérieure, Prix Europe 1, Prix Pèlerin du témoignage « En chemin »).

Le chemin du coeur - L’expérience spirituelle d’André Louf (1929-2010)

"Partout, il y avait trop de bruit, trop de discours. Un jour, j'en ai eu marre de cette frénésie et je suis parti. Certains vont chercher le bonheur en Alaska ou en Sibérie, moi je suis un aventurier de la France cantonale : je lorgne du côté d'Aubusson, du puy Mary et du plateau de Millevaches..." Sans le moindre sou en poche, misant sur la générosité des gens, un jeune aspirant jésuite s'échappe de la ville et de la modernité avec le désir de renouer avec l'élémentaire. Il s'offre une virée buissonnière à travers les déserts du Massif central. Une petite promenade de sept cents kilomètres à pied. Le chemin des estives, récit de ce voyage, est une ode à la désertion, à la liberté, à l'aventure spirituelle. On y croise les figures de Rimbaud, de Charles de Foucauld, mais aussi des gens de caractère, des volcans, des vaches. Au fil des pages, une certitude se dessine : le bonheur est à portée de main, il suffit de faire confiance et d'ouvrir les yeux.

?« Partout, il y avait trop de bruit, trop de discours. Un jour, j'en ai eu marre de cette frénésie et je suis parti. Certains vont chercher le bonheur en Alaska ou en Sibérie, moi je suis un aventurier de la France cantonale : je lorgne du côté d'Aubusson, du puy Mary et du plateau de Millevaches. »

Sans le moindre sou en poche, misant sur la générosité des gens, un jeune aspirant jésuite s'échappe de la ville et de la modernité avec le désir de renouer avec l'élémentaire.

Il s'offre une virée buissonnière à travers les déserts du Massif central. Une petite promenade de sept cents kilomètres à pied. Le chemin des estives, récit de ce voyage, est une ode à la désertion, à la liberté, à l'aventure spirituelle. On y croise les figures de Rimbaud, de Charles de Foucauld, mais aussi des gens de caractère, des volcans, des vaches.

Au fil des pages, une certitude se dessine : le bonheur est à portée de main, il suffit de faire confiance et d'ouvrir les yeux.

L'aventure a déserté le monde. La seule terre qu'il reste à arpenter, c'est celle de son coeur. Abbé du monastère trappiste du Mont des Cats, puis ermite, André Louf (1929-2010) fut l'un des pionniers de cette aventure intérieure. Cet ouvrage procède d'un long compagnonnage avec cette grande figure spirituelle de l'Occident. Ce n'est pas une biographie "pieuse", mais le récit d'un itinéraire d'homme, avec ses lignes courbes, éperonné par ces interrogations : Dieu peut-il vraiment combler une vie ? Comment apprivoiser nos désirs ? A quoi sert la prière ? Quel est le secret de l'amour humble ? S'appuyant sur des sources inédites, notamment le journal spirituel où André Louf révèle ce qu'il a de plus intime – son dialogue avec Dieu –, ce livre se tient au plus près de l'expérience de l'un des plus fameux moines du XXe siècle. A travers l'existence de cet orfèvre de l'intériorité, retracée avec sensibilité, et d'une plume alerte, l'ouvrage balise les chemins vers "la vie vivante" et vers le coeur profond : ce lieu de Dieu où la grâce, la paix et la joie coulent de source en chacun de nous.

Le chemin du coeur - L'expérience spirituelle d'André Louf (1929-2010)

« Écoute Jerzy, situ dois faire quelque chose, c'est le jour ! » Aussitôt après mondépart, le mourant ouvre les yeux et demande ce qui lui arrive. Quelques joursplus tard, le corps médical constate que le cancer a disparu.C'est ce miracle, dontj'ai été l'instrument, le « serviteur inutile », qui m'a poussé àécrire ce livre pour faire connaître la figure éblouissante du père JerzyPopieluszko.Le père Bernard Brien,principal témoin du miracle français de Jerzy Popieluszko, se livre ici à uneévocation, un portrait intimiste de cette grande figure qui a changé sa vie.Ancien aumônier du syndicat Solidarnosc, tué en 1984 par la sécurité intérieuredu régime à l'âge de 37 ans, le jeune vicaire polonais a incarné la résistancede tout un peuple au communisme. Son engagement ardent en faveur de la vérité,son courage, et sa mort en martyr ont ébranlé le totalitarisme.Aujourd'hui encore, cetappel à la résistance spirituelle, enracinée dans l'Évangile, garde toute sonactualité.Le père Bernard Brien est prêtre dansle diocèse de Créteil. C'est à travers ses mains que le miracle du père JerzyPopieluszko s'est produit, ouvrant la voie à la canonisation du vicairepolonais.Charles Wright est journaliste, auteur de Casanova ou l'essence desLumières (prix Guizot 2009 de l'Académie française).

Jerzy Popieluszko ; la vérité contre le totalitarisme

Durant plusieurs semaines, immergé au sein de la communauté bénédictine de Ganagobie, Charles Wright s'est entretenu avec Dom Michel Pascal, l'abbé émérite du monastère. Ce livre est le fruit de la rencontre, rythmée au son de la cloche, entre un jeune homme de son temps qui tient le rôle de l'avocat du diable et un moine retiré du monde qui mène avec ses frères une existence de chercheur de Dieu. Avec une incroyable liberté de ton, sa force tranquille et le sourire radieux qui transparaît à chaque page, Dom Michel a répondu à toutes les questions, même les plus insolentes: les moines sont-ils névrosés ? Comment vivent-ils leurs pulsions sexuelles ? Peut-on être libre et enfermé ?.... A quoi servent les moines ? est à la fois une initiation à la vie monastique, un livre de spiritualité et une immersion dans l'univers d'un homme de Dieu qui croise les anges et le diable comme nous avisons nos voisins. C'est aussi une réflexion sur l'" utilité " des moines dans le monde contemporain. Dans une époque fébrile et inquiète, frère Michel trace ainsi les contours d'un art de vivre dans la joie et la sérénité. II nous invite à replacer au coeur de nos vies le sens de la transcendance, de la gratuité et de l'oubli de soi.

A quoi servent les moines ? - Dialogue entre un jeune homme et un homme de Dieu

Giacomo Casanova a joué le rôle de sa vie avec d'incontestables talents de metteur en scène. Armé de sa gaieté, d'un charme irrésistible et d'une liberté sans retenue, cet aventurier vénitien a traversé le siècle des Lumières à la vitesse du fluide électrique, exerçant mille métiers, arpentant l'Europe comme d'autres leur canton, rencontrant les grands comme la société où l'on s'encanaille, passant des baronnes aux putains, des cours aux prisons, aux salles de jeux et aux bouges. Ce séducteur à la réputation sulfureuse fut en fait un véritable philosophe en acte. Charles Wright ressuscite la figure de ce personnage trop longtemps obscurci par sa légende et le suit pas à pas dans ses folles pérégrinations à travers l'Europe des Lumières, avec Venise et Paris comme points de convergence et pour seul mot d'ordre celui d'accroître l'intensité de sa vie. Dans un style brillant, il retrace cette existence dilapidée à la hussarde, avec des escales dans les cavernes, des aventures plein les poches, des amoureuses en croupe et son désir en guise de boussole.

Casanova ou l'essence des Lumières

Nous avons tous mené des vies bruyantes, certaines à l'intérieur, certaines d'entre elles. Mais seul le poème que vous laissez derrière est ce qui est important. Tout le monde le sait. Le voyage à l'intérieur est tout ce qui compte, quelle que soit votre balade. Parfois, je ne peux pas m'asseoir pour toutes les asinins que je lis. Donnez-moi le colibri, qui doit manger soixante fois son propre poids par jour juste pour rester en vie. Maintenant, c'est une vie à la limite.

Combien d'années nous a glissé entre nos mains? Au moins autant que les constellations que nous pouvons encore identifier. Le Quarter Moon, comme un skiff léger, flotte hors de la brume de la pluie de la nuit dernière. Cela aussi glissera à travers nos doigts sans ondulation, sans nous dedans.

Novembre est une brûlure et une douleur.

Tout le monde le sait. Le voyage à l'intérieur est tout ce qui compte, quelle que soit votre balade.

La douleur pour tout est une poussière épaisse dans le cœur.

Quelle est la douceur du passé, peu importe à quel point la tâche ou à quel point le bruit d'hier est triste

C'est un lien dont je parle, des harmonies et des structures, et toutes les différentes choses qui verrouillent nos poignets vers le passé.

Toutes les formes de paysage sont autobiographiques.

C'est là-haut, et vous pouvez voir l'avant. Mais ce que ce n'est pas ce que vous regardez. C'est derrière ce que vous regardez.

Il n'est peut-être écrit dans aucun livre, mais il est écrit - vous ne pouvez pas revenir en arrière, vous ne pouvez pas répéter le non-représentable.

Je me vide de Lighluntil que je deviens matin.

Si vous voulez une grande tranquillité / c'est un travail difficile et une longue promenade

Nos rêves sont lumineux, un feu coulé sur le monde. Le matin arrive et c'est tout. La lumière du soleil assombrit la terre.

Combien de fois l'été peut-il se tourner pour tomber dans une seule vie?

Qu'est-ce qui nous fait laisser ce que nous aimons le plus? Qu'est-ce que c'est en nous qui continue de s'effacer lorsque nous en avons le plus besoin, qui nous envoie dans l'incertitude pour lui-même et nous tient à la chasse d'eau jusqu'à ce que nous commencions à l'aimer et devons recommencer? Qu'est-ce que dans nos propres vies, nous refusons de vivre chaque fois que nous la trouvons, rendant nos jours insupportables et les nuits presque sans vision? Je ne sais toujours pas encore, mais je le fais.

La poésie est le côté obscur de la lune.

Snub End d'une année lamentable, profondément dans le verger nain, le ciel avec son sous-poil d'étoiles de Blackwash et Point, je me tiens dans l'obscurité et réponds à Tomy Life, cette chemise que je veux décoller, qui est en feu. . .

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