Une élève, un professeur, une rencontre, une infinité de discussions. Et l'idée est venue à Charlotte Casiraghi et Robert Maggiori de mettre par écrit ce qui germait de leurs dialogues, lesquels revenaient toujours à la question du sensible, de ce qui nous affecte, des frontières ou de l'absence de frontière entre les émotions, de leur logique, de leur confusion parfois.

Il leur est alors apparu que tous nos états d'âmes formaient un ensemble d'îlots solidaires, reliés par le courant magnétique du désir, qui tisse entre eux d'invisibles chaînes. C'est cet archipel qu'ils ont entrepris de dessiner.

Ce petit traité des passions se compose d'une quarantaine d'entrées (Amour, Cruauté, Patience, Modestie, Dégoût, Adoration, Admiration, Arrogance, Pitié, Fraternité, Douceur, Ennui, Tristesse, Jalousie, etc.), ancrées dans le savoir philosophique et rédigées dans un style simple et accessible.

Archipel des passions

Une élève, un professeur, une rencontre, une infinité de discussions. Et l'idée est venue à Charlotte Casiraghi et Robert Maggiori de mettre par écrit ce qui germait de leurs dialogues, lesquels allaient souvent tous azimuts mais revenaient toujours à la question du sensible, de ce qui nous affecte, des frontières ou de l'absence de frontière entre les émotions, de leur logique, de leur confusion parfois. Il leur est alors apparu que tous nos état d'âme formaient un ensemble d'îlots solidaires, reliés par le courant magnétique du désir, qui tisse entre eux d'invisibles chaînes. C'est cet archipel qu'ils ont entrepris de dessiner.
Le livre, qui se lit comme un petit traité des passions, est composé d'une quarantaine d' " entrées " (Amour, Cruauté, Patience, Modestie, Dégoût, Adoration, Admiration, Arrogance, Pitié, Fraternité, Douceur, Ennui,Tristesse, Jalousie, etc.), ancrées dans le savoir philosophique, accompagnées d'orientations de lecture finement choisies, et rédigées dans un style simple et clair.
Charlotte Casiraghi, licenciée en philosophie, est présidente des Rencontres philosophiques de Monaco.
Robert Maggiori est philosophe et critique littéraire à Libération.

Une élève, un professeur, une rencontre, une infinité de discussions. Et l'idée est venue à Charlotte Casiraghi et Robert Maggiori de mettre par écrit ce qui germait de leurs dialogues, lesquels allaient souvent tous azimuts mais revenaient toujours à la question du sensible, de ce qui nous affecte, des frontières ou de l'absence de frontière entre les émotions, de leur logique, de leur confusion parfois. Il leur est alors apparu que tous nos états d'âme formaient un ensemble d'îlots solidaires, reliés par le courant magnétique du désir, qui tisse entre eux d'invisibles chaînes. C'est cet archipel qu'ils ont entrepris de dessiner.

Le livre, qui se lit comme un petit traité des passions, est composé d'une quarantaine d' « entrées » (Amour, Cruauté, Patience, Modestie, Dégoût, Adoration, Admiration, Arrogance, Pitié, Fraternité, Douceur, Ennui,Tristesse, Jalousie, etc.), ancrées dans le savoir philosophique, accompagnées d'orientations de lecture finement choisies, et rédigées dans un style simple et clair.

Il est très important de se sentir bien dans mes vêtements. J'aime la mode qui me convient. Je ne le prends pas trop au sérieux.

J'ai toujours refusé de m'associer à une marque.

Être un grand cavalier ne compte pas sur la force physique mais plus sur l'esprit et la sensibilité.

Je ne suis pas du genre à expérimenter les couleurs des lèvres. J'ai tendance à aller pour le rouge ou un rose doux.

Il est naturel pour moi de ne pas expliquer ma vie privée ou de répondre à toute question sur ma vie privée.

C'est un réel plaisir de collaborer avec Frida Giannini et Gucci pour célébrer l'un des symboles les plus élégants de la maison: le Horsebit.

J'ai besoin de me sentir bien: l'énergie de la ville et le calme du pays.

J'ai commencé à rouler quand j'étais très jeune, et c'est un sport que je pratique depuis très longtemps.

Pour avoir une lueur naturelle et saine, vous devez passer autant de temps que possible - si vous restez enfermé dans un bureau, cela peut avoir des ravages dans votre esprit et votre corps.

Ce n'est pas une question de taille, de savoir s'il s'agit d'une petite ou d'une grande chose, mais de ce qu'il a le pouvoir de s'incarner.

J'ai la chance d'avoir des gens autour de moi qui me protègent.

Quand je roule, j'aime toujours avoir l'air soigné.

Je n'ai pas de formule particulière pour rester privé.

La compétition dans le saut de spectacle est une école de vie. Et c'est l'un des rares sports olympiques où les hommes et les femmes sont égaux.

Je ne représente aucun produit ni collection.

Les vêtements de conduite sont sans âge et intemporels, et j'aime incorporer ce confort et cette élégance dans ma vie.

Même si j'ai tendance à privilégier un look naturel, j'aime aussi m'amuser avec le maquillage.

Je suis ravi de travailler avec Gucci et particulièrement heureux de jouer un rôle dans leur retour opportun dans le monde équestre.

Je ne suis pas une princesse. Ma mère n'est pas moi. Je suis la nièce d'un chef d'État. Et avec ce statut, j'ai des tâches de représentation - rien de très contraignant ou très exceptionnel.

La conduite utilise tant de muscles différents. Je roule deux à trois chevaux par jour et je roule presque tous les jours lorsque je ne travaille pas ou ne voyage pas. Vous utilisez vos jambes, vos bras, votre dos. C'est un sport très complet.

Un manifeste est différent d'un magazine.

Personnellement, l'air frais et l'exercice m'aident à rester en bonne santé et à me faire sentir bien!

Je n'ai jamais peur d'utiliser des couleurs audacieuses ou des paillettes ou un rouge à lèvres plus fort.

Je roule depuis que j'ai peut-être trois ou quatre ans. Poneys au début, et puis je l'ai toujours fait depuis.

Ses oeuvres

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