Je me modifie constamment. Il y a des chutes de cela parce que vous essayez constamment de comprendre qui vous êtes, mais en même temps, je suis béni du manque de peinture de base sur la toile.

Certaines des personnes les plus travailleuses et les plus généreuses que j'ai rencontrées de toute ma vie ne voulaient pas vraiment voter pour lui, mais je l'ai fait. Mon appel est de passer de l'autre côté et d'humaniser et de dépeindre les difficultés de nombreux électeurs de Trump.

Meek's Cutoff" de Kelly Reichardt - c'est magnifiquement filmé. C'est une histoire complexe. La réalisatrice a apporté une touche très patiente et féminine à une histoire qui se déroule à une période de l'histoire très masculine, sans rien perdre de la dureté impitoyable de la réalité dans laquelle les personnages se sont retrouvés.

J'étais un enfant assez libre d'esprit. Je faisais partie d'un groupe notoire de fauteurs de troubles qui n'ont pas bien réussi à l'école mais qui a passé un bon moment à explorer Pékin de l'intérieur.

Venant d'un pays qui change rapidement, j'aime l'idée d'un endroit comme le Dakota du Sud où rien n'a vraiment changé.

Il est important de prendre du temps pour vous-même.

Je suis né et j'ai grandi en Chine, le mandarin est ma première langue, et je connais vraiment l'Amérique. Je pense que ce sera ma force, pour essayer de rassembler les deux mondes.

Il est très important pour le féminisme pour nous de dire à nos filles qu'elles devraient être fortes. Mais pour dire à nos fils qu'ils peuvent être vulnérables, avoir ces personnages à l'écran qui ne sont pas des cow-boys parfaitement masculins qui ne manquent jamais, pour que nos garçons changent également de psyché, c'est tout aussi important pour le féminisme.

Je veux faire plus de films dans le cœur, l'Amérique oubliée.

Les films Sony Pictures Classics ont distribués au fil des ans m'ont été d'une grande inspiration. Je suis très heureux de trouver une si grande maison pour «The Rider».

Je me sens souvent comme un étranger partout où je vais, donc je suis toujours attiré par les histoires sur l'identité et le sens de la maison.

J'ai grandi dans les grandes villes toute ma vie, et à la fin de la vingtaine, j'avais juste l'impression de chercher autre chose.

Je suis fortement influencé par le cinéma européen et américain, mais plus je monte dans ma carrière, plus je me retrouve à regarder en arrière vers l'est pour l'inspiration.

Malheureusement, je pense que j'ai dérivé tellement en grandissant que je n'ai pas un fort sentiment d'identité. Je ne me sens pas chez moi nulle part, et à cause de cela, je pense que je suis plus un caméléon.

Je veux que les gens sentent qu'ils ont un peu connu les gens du film, ont pu voir Pine Ridge d'une manière qu'ils n'avaient pas vue auparavant. Je pense que c'est un bon début.

Un réalisateur de documentaires ne peut s'empêcher d'utiliser la poésie pour raconter l'histoire. J'apporte la vérité à ma fiction. Ces choses vont de pair.

Je ne suis constamment pas du côté droit de l'histoire. Je sympathise avec les soldats du camp ennemi. Par exemple pendant la Seconde Guerre mondiale, nous savons que les nazis et les Japonais avaient tort. Mais je sympathise avec l'histoire individuelle d'un soldat qui a été enrôlé.

Le cow-boy indien est une contradiction aussi unique américaine.

Je suis né à Pékin et j'ai grandi en Angleterre et en Amérique. J'ai étudié les sciences politiques à l'université et au cinéma à l'école supérieure de New York.

Ce que j'aime dans l'Amérique n'est pas nécessairement le rêve américain, mais le fait qu'il y a tellement d'esprit de combat pour continuer à rêver une fois que les rêves sont brisés.

Ses oeuvres