Christian Vieri (dit Bobo Vieri) est un footballeur international italien né le 12 juillet 1973 à Bologne. Il évolue au poste d'avant-centre dans les années 1990 et 2000.

Je suis triste d'avoir quitté l'Espagne parce qu'à mon avis, Laliga est une ligue exceptionnelle, unique et extraordinaire.

Je pense que lorsque vous jouez pour votre pays, dans tout le sport, c'est la plus grande réalisation du monde.

Avant les matchs normaux, j'étais toujours détendu. Mais à la Coupe du monde pour l'Italie, mon rythme cardiaque allait toujours beaucoup plus vite.

Quand je grandissais en Australie, mon rêve était de jouer en Serie A et pour l'équipe nationale.

La Coupe du monde est un événement unique. Lorsque vous voyez une chemise bleue dans un bar ou dans un pub, vous pensez immédiatement à l'Italie. Marquer pour votre nation a été une expérience merveilleuse.

Chaque jour, j'apprends des trucs. J'ai commencé en août avec un ami DJ et depuis lors, je pratiquais et prenais des leçons tous les jours.

Quand j'étais à l'Inter, Ronaldo était le joueur qui s'est entraîné moins que quiconque, car il était le meilleur footballeur du monde et il est en effet vrai que nous sommes rentrés à la maison à 5 h à 6 heures du matin.

Je venais sur le terrain pour me réchauffer et le stade tremblait et ce sont des sentiments qui valent plus que tous les trophées.

J'ai toujours joué aux cartes pendant les camps d'entraînement. Mais j'avais l'habitude de jouer à des jeux de cartes italiens. J'ai rarement joué au poker.

Je ne pourrais jamais détester inter - dire clairement pour tout le monde. C'est impossible parce que ce sont mes meilleures années. J'ai tout fait pour ce club, marquant presque un but par match, souffrant, célébrant et expérimentant des émotions que je n'avais jamais ressenties ailleurs.

J'aime remixer les chansons de Barry White et Abba.

Je me souviens d'une inter-Verona et nous sommes arrivés au stade une heure et demie avant le coup d'envoi et il y avait déjà 85 000 fans criant nos noms. Il a envoyé des frissons dans la colonne vertébrale. Je suis fier d'une chose et c'est que j'ai vraiment donné toute mon énergie pour ces gens.

Je prendrai ma retraite quand je serai fatigué de courir autour d'une balle.

J'adore l'Inter et je leur ai tout donné, me tuant tous les jours pour les couleurs Nerazzurri. J'ai été le premier à arriver à l'entraînement et le dernier à partir. Je ne me suis jamais retenu et parfois je jouais quand je pouvais à peine rester debout.

En Serie A si vous avez un physique exceptionnel et que vous vous entraînez très bien, vous pouvez détruire toute défense adverse.

Pour être honnête, je n'étais pas très bon en football. J'ai adoré le cricket et quand j'ai commencé à faire de gros scores pour l'équipe de mes garçons, j'ai rêvé de devenir la frontière suivante.

J'ai une chanteuse, elle s'appelle Lara Caprotti. Et puis j'ai Stefano Serafinni à jouer de la trompette. La trompette semble incroyable en direct dans un club.

Lors des qualifications en Coupe du monde en 1997, je n'oublierai jamais Tony Adams et Sol Campbell: deux lions très forts physiquement et mentalement. L'Italie avait aussi et a des défenseurs formidables, mais j'ai un grand souvenir de ces deux-là. Ce fut un plaisir de lutter contre eux.

Si vous obtenez des buts en Italie, vous pouvez marquer des buts partout dans le monde, pas de problème.

Chez Juve, j'étais un grand professionnel, à Madrid, nous sommes sortis tous les soirs.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Vieri

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