Dans l'Angleterre de la fin du XIXe siècle, où les numéros de magicien et le spiritisme attirent les foules, deux prestidigitateurs, Alfred Borden et Rupert Angier, se rendent célèbres grâce à l'audace de leurs tours. Cette notoriété ne les protège pas de la jalousie, et bientôt les deux hommes se lancent dans une tragique compétition, chacun mettant au point un numéro de téléportation. 

Quelle folie ont-ils osé commettre pour devenir le plus grand des magiciens ? 

Christopher Priest est connu dans le monde entier pour son roman Le Monde inverti, considéré comme un des grands classiques de la science-fiction moderne. 

Le Prestige, récompensé par le World Fantasy Award, est son chef-d'ouvre.

Le Prestige

Que s'est-il réellement passé dans la nuit du 10 au 11 mai 1941, cette nuit où Rudolf Hess s'est envolé d'Allemagne pour négocier la paix avec la Grande-Bretagne ? Son avion a-t-il été abattu par la Luftwaffe ? Hess a-t-il réussi sa mission sans en informer Adolf Hitler ? Et pourquoi, dans certains documents d'archives, la guerre semble-t-elle s'être prolongée jusqu'en 1945 ? C'est à toutes ces questions que va tenter de répondre l'historien Stuart Gratton ; notamment en s'intéressant au destin exceptionnel de deux frères jumeaux, Joe et Jack Sawyer, qui ont rencontré Hess en 1936 aux Jeux olympiques de Berlin. 

Christopher Priest oscille, comme souvent, entre littérature générale et scien-fiction. Uchronie subtile, rêve éveillé, roman historique ? La séparation est un nouveau tour de force, récompensé par le prix de la British Science Fiction Association, le prix Arthur C. Clarke et le Grand Prix de l'Imaginaire, catégorie roman étranger.

La séparation

A digital magazine featuring the very best in Science Fiction, Fantasy, and HorrorThe latest fiction from established writers alongside the best new stories from emerging talents and debut authors. On-point articles and regular columns, exploring genre fiction in all its forms. Interviews with leading authors and artists. Insightful and informative book reviews by a carefully selected cadre of reviewers, assessing current titles and imminent releases from publishers big and small. This is the blistering table of contents for the first issue. Introduction - Ian Whates Gunbelt Highway - Dan Abnett Down and Out Under the Tannhauser Gate - David Gullen Nineteen Eighty-Nine - Ken MacLeod The Lichyard - Harrison Varley Time Traveller's Shoes - Yuliia Vereta Tesla on the Grass Alas - Esther M. Friesner We Have Forever - Redfern Jon Barrett The Power of 3 - Anna Tambour Nova Oobleck Surfs The Second Aether - Paul Di Filippo Life in the Fast Lane - featuring Tom Hunter In the Weeds - Anne C. Perry & Jared Shurin Reviews Section Interview with Christopher Priest

ParSec Issue #1 - ParSec, #1

En pleine mission, la Ligue commet une erreur... qui aura de lourdes conséquences. Seuls responsables aux yeux de la justice américaine, les super-héros ne sont plus les bienvenus et sont appelés à comparaître, car il est temps de rendre des comptes. Mais c'est en cet instant critique de remise en question qu'un ennemi redoutable entre en jeu, s'attaquant non pas à la Ligue mais à ses accusateurs...

Justice League Rebirth Tome 6

Depuis des décennies, Flèche Noire et Médusa règnent sur les Inhumains avec l'aide de Gorgone, Karnak, Crystal, Triton et, parfois, Maximus le Fou. Mais avant le couronnement du couple, c'est l'Innommable qui dirigeait la cité d'Attilan, alors que les membres de l'actuelle famille royale n'étaient encore que des adolescents. Le récit présenté dans ces pages se déroule à cette époque tourmentée. Christopher Priest (Black Panther) et Phil Noto (Poe Dameros) nous transportent dans le passé des Inhumains.

Inhumans

On le pensait mort mais Deadpool est bien vivant ! Prisonnier d'un mystérieux scientifique, Wade Wilson gagne du temps en se remémorant ses missions effectuées pour le Caïd. Le mercenaire disert payera cher le prix de sa liberté mais il n'aura pas le temps de s'en préoccuper car il devra immédiatement s'embarquer dans une mission spatiale avec le Maître de Corvée et sa nouvelle équipe. Retrouvez tous les épisodes de la série Deadpool écrits par Christopher Priest (Black Panther), accompagné au dessin par Poco Diaz (Hawkeye : Blindspot) et Jim Calafiore (Exiles).

Deadpool Tome 5

Alfred Borden et Rupert Angier, deux prestidigitateurs hors du commun, s'affrontent dans un duel sans merci. Trois générations plus tard, au cours d'une enquête sur une secte, le journaliste Andrew Wesley fait la connaissance de Kate Angier. Elle lui révèle qu'il s'appelle en fait Andrew Borden, et qu'une guerre oppose leurs deux familles depuis la fin du XIX? siècle. Quand Andrew découvre le rôle exact joué par le scientifique Tesla dans toute cette affaire, sa vie en est bouleversée à jamais...

Le prestige

«J'avais atteint l'âge de mille kilomètres. De l'autre côté de la porte, les membres de la guilde des Topographes du Futur s'assemblaient pour la cérémonie qui ferait de moi un apprenti. Au-delà de l'impatience et de l'appréhension de l'instant, en quelques minutes allait se jouer ma vie.» Helward Mann est l'un des habitants de la cité Terre, une mégapole progressant sur le sol inconnu d'une planète effrayante. Il ne sait rien de l'extérieur et doit maintenant jurer qu'il ne révélera jamais ce qu'il y découvrira. Mais le long des rails qui mènent à l'optimum, Helward découvrira un monde dominé par le chaos et la barbarie, des paysages déformés par l'hyperbole du soleil. C'est avec ce roman, où se mêlent sense of wonder et spéculations scientifiques, que Christopher Priest s'imposa en 1974 comme l'un des plus talentueux auteurs de la science-fiction britannique.

Le monde inverti

Christopher Priest (né en 1943) est un écrivain de science-fiction
Christopher Priest (né en 1961) scénariste de bande dessinée

Cela n'avait absolument aucun sens pour moi pourquoi Panther rejoindrait jamais une équipe de super-héros; Ce n'est pas un super-héros, et le record montre qu'il n'a fait beaucoup de temps la plupart du temps.

J'ai quitté les bandes dessinées en 1988 et je me suis entraîné en tant que chauffeur de bus. J'avais l'habitude de chasser ces grands entraîneurs de lévriers de la New York Port Authority et à Princeton, New Jersey. C'était, haut la main, le meilleur travail que j'aie jamais eu, et je regrette profondément de l'avoir quitté. J'ai gardé cet emploi tout le temps que j'étais sur le personnel de DC Comics dans les années 90.

Deathstroke est devenu un défi intéressant, non seulement en raison de son appartenance ethnique, mais aussi parce qu'il s'agit d'un méchant. Je n'avais jamais écrit un méchant en tant que protagoniste d'une série auparavant. J'ai pensé que ce serait un défi intéressant. C'est vraiment ce qui a attiré mon attention, et c'est parti de là.

Si vous pouviez accéder à 90% de votre cerveau, vous seriez Charles Xavier.

L'évasion a sa place. J'écrivais «Conan le barbare» pour Marvel, qui se déroule dans un environnement complètement retiré du monde réel.

J'ai été formé à la narration par Jim Shooter, Stan Lee et Larry Hama. Ne fait pas de moi un génie, et il n'y a vraiment rien de sophistiqué dans la direction de la scène dans mes scripts.

Dans les bandes dessinées, mon expérience a été principalement des artistes dont les côtelettes visuelles de narration sont soit faibles, soit elles sont plus investies pour se précipiter vers un chèque de paie que dans le travail dont ils peuvent être fiers.

Je suis comme un acteur qui dit odieusement qu'il ne regarde pas sa propre émission de télévision. Il est extrêmement rare pour moi de lire mes propres bandes dessinées et j'ai demandé aux éditeurs de cesser de me les envoyer.

À un moment donné en cours de route, j'ai cessé d'être écrivain et je suis devenu un écrivain noir. Je n'avais jamais été un écrivain noir. J'écrivais «Spider-Man», «Green Lantern», tout ce qui traînait. «Thor», «Hulk», peu importe. Maintenant, si le téléphone sonne ou lorsque le téléphone sonne, c'est presque exclusivement un projet qui a quelque chose à voir avec mon appartenance ethnique.

Je suis assez vieux pour me souvenir d'avoir vu James Brown vivre.

J'ai vu «monter» environ une douzaine de fois. Je suis allé tous les jours. Chaque jour, je me tenais dehors lorsque le cinéma a ouvert et acheté mon billet. Le théâtre était généralement vide. Je vis dans une ville qui n'était pas impatient ou très intéressée par un biopic de James Brown, mais je ne pouvais pas arrêter de regarder Boseman.

Ma course de «Black Panther» n'était vraiment pas une question de Black Panther. C'était à propos de Ross. Il s'agissait d'exploser des mythes sur les super-héros noirs, les personnages noirs et les Noirs, ciblés spécifiquement dans une base de détaillants à domicile blanc et masculin.

Si je pouvais rendre Panther dur, mystérieux, rusé et souvent en contradiction avec ses camarades «Avengers», c'était un personnage que je trouve que je trouvera intéressant.

Si la ligue était réelle, aujourd'hui, ils seraient très probablement poursuivis par toutes les personnes qu'ils avaient jamais sauvées. Ils seraient assignés par chaque autorité dans chaque juridiction imaginable; Audiences lors des audiences. Il y aurait des vagues de distinctions suivies par des tsunamis des huées des réseaux sociaux.

Deathstroke ', à mon avis, est un drame familial. C'est comme les «sopranos» avec des super méchants.

Je voulais démontrer que Deathstroke n'a pas besoin de résoudre chaque problème avec ses poings.

À mon avis, j'ai l'impression que toutes les versions de «Deathstroke» sont valides. Tout comme avec «Black Panther», j'avais l'impression que ce n'était pas bon pour un écrivain de dire que le travail d'un autre écrivain n'était pas valide ou ne s'est jamais produit.

Dans «Black Panther», j'ai essayé de préserver pratiquement toutes les versions et interprétations de «Black Panther» - y compris celle de Jack Kirby, ce qui était vraiment difficile à faire - et à le faire fonctionner dans la continuité actuelle.

Je ne suis vraiment pas habitué aux gens qui font attention à mon écriture.

Littéralement, tout ce qui pourrait être fait avec la «Justice League» a été fait avec la «Justice League».

Mon premier projet de «Black Panther» de Marvel Knights n'était pas du tout drôle. Ils ont intelligemment rejeté l'intégralité du script et m'ont conseillé d'injecter des doses libérales d'humour en sujet très grave.

Je ne pense pas qu'il y ait vraiment beaucoup de ma carrière à laquelle je veux revenir. Je pense qu'avec la plupart des personnages avec lesquels j'ai eu la chance de travailler, j'ai dit tout ce que j'ai à dire sur la Panther Black, Green Lantern, et encore et encore.

L'écriture «Deathstroke» me présente un certain nombre de défis. En tant que chrétien, en tant que ministre, il m'est difficile d'écrire une bande dessinée qui glorifie presque la violence. Donc, mon point de vue sur «Deathstroke» a été de ne pas être tant de célébrer la violence mais de faire face aux conséquences de la violence.

Tous les gens - blancs, noirs, peu importe - sont tribaux dans le sens où nous nous rapportons à ce qui nous est familier.

Si nous pouvons fournir même une feuille de route fictive à ce à quoi pourrait ressembler une nation africaine prospère et prospère, alors faisons cela.

Ce qui fait un bon méchant, c'est quelqu'un qui ne conteste pas seulement le héros mais sort organiquement de l'histoire et des circonstances de ce personnage.

Vous retournez pour regarder par-dessus le corps de mon travail, et il n'y a pas de méchants archétypaux dans mes livres.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christopher_Priest

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