Surnommé " Big Man " en raison de son imposante carrure, le saxophoniste Clarence Clemons joue depuis près de 40 ans aux côtés de Bruce Springsteen au sein de son légendaire E Street Band.
Avec son meilleur ami, l'auteur et producteur d'émissions de télé californien Don Reo, il signe aujourd'hui non pas une classique autobiographie de musicien en fin de carrière mais un surprenant et passionnant recueil d'histoires, d'anecdotes et de souvenirs vécus au cours de sa vie personnelle et professionnelle. C'est la toute première fois qu'est ainsi racontée la vie dans le backstage et en tournée avec le E Street Band.
Autour de Big Man, l'on croise également de nombreux autres personnages de légende tels que l'acteur Robert de Niro, le boxeur Mohammed Ali, l'ex-Beatle Ringo Starr, le célèbre producteur Phil Spector, les icônes Frank Sinatra ou Bob Dylan, les écrivains Norman Mailer, Richard Brautigan, Thomas Pynchon ou Hunter Thompson, ou encore... le dictateur Fidel Castro. Et bien entendu, le " Boss " Bruce Springsteen, qui signe la préface de cet ouvrage, et toute la " E Street family ".
L'on y découvre au passage qui sont Mokshagun, Madame Silvers, la définition d'un Gwyneth ou ce secret que Robert De Niro a confié au Big Man en lui faisant jurer de ne pas le révéler avant 25 ans ! Enfin, parce qu'il est définitivement un personnage hors du commun, Clarence " Big Man " Clemons intercale entre ses récits authentiques un certain nombre de " légendes ", narrations mi-fictives mi-réelles dans lesquelles on se perd avec amusement et délectation à retrouver le vrai du faux.
Bienvenue dans l'univers du rock, de ses réalités et de ses mythes !

Big man ; de la vraie vie à la vraie légende

Clarence Clemons, né le 11 janvier 1942 à Norfolk, Virginie et mort le 18 juin 2011, est un musicien américain, saxophoniste du E Street Band, le groupe de son ami Bruce Springsteen.

Toute cette douleur va revenir et me rendre plus fort.

Je suis entré dans la musique soul, mais je voulais rock. J'étais rocker.

J'adore le parc Asbury. C'est comme le Liverpool of America.

Dieu ne vous donnera pas plus que ce que vous pouvez gérer.

Je prends très au sérieux mon travail de saxophone de rock and roll. Pour le faire comme je dois le faire, je dois être en bon état. Plus vous êtes en forme, plus vous pouvez bercer dur.

Pour moi, le sax est rock n 'roll, même si les guitares électriques l'ont poussé de côté pendant un certain temps.

Quand je sors devant une foule, je demande à Dieu de me donner l'inspiration pour être la lumière.

Je n'ai pas d'ordre du jour - juste pour être aimé.

C'est triste de voir ces vieux bâtiments parce qu'ils ont tellement de souvenirs, et c'est une vraie chose personnelle lorsque vous jouez ces endroits. Cela fait partie de notre histoire qui vient de disparaître.

Tant que ma bouche, mes mains et mon cerveau fonctionnent toujours, je serai là-bas. Je vais continuer jusqu'à ce que je ne sois plus là. C'est ce qui me garde en vie et me sentant jeune et inspiré.

J'ai confiance dans le système judiciaire.

Je sais qu'un jour je vais mourir. Je veux accomplir autant que possible avant moi.

Dans le calme mental d'une vie spirituelle, j'ai découvert que les réponses aux pourquoi dans nos vies sont capables de venir à vous. Dans ma musique, je trouve la même chose.

Je suis un gars moelleux. Rien ne me dérange beaucoup.

C'est l'amour. Ce sont deux hommes - deux hommes forts et très viriles - trouver cet espace dans la vie où ils peuvent laisser aller assez de leur masculinité pour ressentir la passion de l'amour, du respect et de la confiance.

Le public de Philadelphie, ils sont comme notre foule.

Le mot spirituel, pas le mot religieux, est la clé.

La cuisine est une forme d'art, une chose créative.

En tant que corniste, le plus grand compliment que l'on puisse recevoir, c'est lorsqu'une personne vient vous voir et vous dit : « J'ai entendu ce saxophone à la radio l'autre jour et j'ai su que c'était vous. Je ne connais pas la chanson, mais je sais que c'était toi au saxo.

Quand j'ai grandi, il y avait une musique: Rock N 'Roll. Quelque part le long de la ligne, il y a eu une séparation. Je ne sais pas pourquoi cela s'est produit, mais cela s'est produit.

J'ai découvert à quel point l'E Street Band est génial. La réalité d'un groupe que vous ne pouvez pas écarter, ne peut pas mettre dans un coin.

Je voulais un train électrique pour Noël mais j'ai plutôt le saxophone.

Asbury Park est un endroit spécial pour moi. C'est là que j'ai vraiment commencé à jouer.

En passant par toutes ces choses physiques, ce fut un travail difficile. Mais j'ai adoré chaque seconde de ma vie.

Être impliqué dans le bien-être et l'avancement de sa propre communauté est une chose la plus naturelle à faire.

Parfois, vous faites des choses et laissez votre moi naturel devenir une partie de ce que vous faites.

Vous aviez vos groupes noirs, et vous aviez vos groupes blancs, et si vous mélangez les deux, vous avez trouvé moins d'endroits à jouer.

Le rock-and-roll, pour moi, est très sérieux parce que nous traitons avec les jeunes. Nous traitons avec des gens qui ont besoin de quelque chose, et c'est la même chose qu'un prédicateur fait. Il vous nourrit quelque chose dont vous avez besoin spirituellement dans votre âme et dans votre maquillage.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Clarence_Clemons

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