Ce n'est pas rien poursuit l'écriture de l'auteur dans le bref, les « choses vues », l'ironie du monde, pour ne pas dire le burlesque des situations instables que vivent les hommes aujourd'hui. Un assemblage de textes brefs, de fictions, d'histoires d'amour, de réflexions sur l'écriture et la lecture, qui se rêve comme un livre de promenade, de chevet ou de rêverie.

Ce n'est pas rien

Pensé comme un outil destiné aux amateurs, aux étudiants, aux enseignants, aux professionnels du secteur, aux historiens de la mode, aux chercheurs dans le domaine de la mode, ce livre présente la " mode belge ", désormais reconnue internationalement. L'intérêt pour les créateurs belges, la belgitude et le " génie belge " semble être à son apogée. L'opportunité historique de ce livre s'appuie sur une évidence : les fondateurs et créateurs du mouvement sont toujours là et le temps passe... Depuis 1980, nous avons vu éclore des écoles de stylisme, à Bruxelles, Liège, Tournai, ... que ce soit La Cambre, la Haute école Francisco Ferrer, le Centre Ifapme (Château Massart) ou encore Saint-Luc. Cet ouvrage se donne aussi pour objectif de relier certains signes dispersés du secteur Wallonie-Bruxelles. Ce livre propose ainsi l'historique et les conditions d'émergence de la mode belge, ainsi que son avenir. Mais aussi, des fiches de référence consacrées aux personnalités représentatives du mouvement et des illustrations significatives

La mode belge - Tome 1, Wallonie et Bruxelles

C'est lors de la troisième séance d'un atelier d'écriture que tout est en place : les relations, les exigences, les projets, les désirs de textes, les incertitudes et les tâtonnements inspirés. L'auteur relate ici ses observations et réflexions, ses interrogations et ses enchantements aussi à propos des relations entre les personnes (les auteurs) et les dynamiques qui se mettent en place dans le cadre des ateliers qu'il anime. Enfin, il laisse émerger, au fil des expériences et des témoignages, des questions et des évidences qui traversent le plus souvent la vie d'un atelier. Créer, c'est aussi rencontrer ce qui advient dans le fil de l'écriture et qui échappe à tout projet.

La troisième séance - Un Atelier d'écriture en chantier

Ce livre investit un lieu très circonscrit: la carrière de granit qui jouxte le camp nazi de Mauthausen, en Autriche. Le site industriel détermina l'implantation du camp et en fut l'un des chantiers les plus tragiques. Déambuler dans un espace désaffecté depuis soixante-cinq ans n'a pas pour objet de servir la connaissance historique. Les postures mémorielles méritent analyse: le site passe pour l'un des plus éloquents de la galaxie concentrationnaire nazie - que le sinistre " escalier de la mort" emblématise. Assembler des fragments de récits de rescapés, interroger des photos SS, le discours historique, la rémanence de l'exploitation de la carrière dans le tissu local, la symbolique du granit: autant de repères qui attestent que le site s'est inscrit dans notre culture, ambiguïtés et contradictions incluses - tel cet extravagant concert voulu en 2000, sur le site, par les autorités autrichiennes. Les exigences et les productions de la mémoire sont subjectives et contingentes. Pour autant, les représentations qu'elles projettent font partie du sens et, à ce titre, interpellent les sciences sociales - au-delà de l'histoire stricto sensu. Cette conviction, qui n'est pas universellement admise, tend l'écriture de ce livre, s'il le faut, jusqu'au pamphlet.

La carrière de Mauthausen - Accommoder le vide

Je vous écoute - A propos des bibliothèques, des lecteurs, des livres et des ateliers d'écriture

Travailleur généreux et infatigable de nos campagnes, combattant pendant nos guerres, disponible à tout instant pour les tâches de la vie quotidienne... notre loyal cheval de trait mérite bien d'être à nouveau célébré. Lui qui aurait pu disparaître renaît de ses cendres et retrouve auprès du grand public tout l'amour qu'il n'a en réalité jamais perdu. La puissance, la docilité et la vivacité des représentants des neuf races françaises font à nouveau merveille. François Durand et Daniel Simon nous font partager leur passion pour ces chevaux qui reprennent le chemin des champs, des vignobles et des forêts, mais également des villes, où ils répondent à merveille aux enjeux économiques, écologiques et sociaux. Travailleur, compagnon de loisir ou sportif de haut niveau, par toutes ses qualités, le cheval de trait s'impose comme un partenaire d'avenir. Dans cette perspective, cet ouvrage saura vous convaincre que le bonheur est dans le Trait !

Nos chevaux de trait et attelage - Toutes les races de France

Aujourd'hui des jeunes, souvent des enfants mettent le feu aux écoles, aux crèches, aux centres de jeunesse et de culture. Ils brûlent et saccagent ce qui devrait les accueillir et les accompagner vers l'émancipation sociale si ce n'est le bonheur... Ils sont de tout temps. Daniel Simon se glisse peu à peu dans la peau d'un de ces enfants. Pour percevoir cette fureur plus que pour l'expliquer. Cette descente dans la colère d'une génération suit le fil d'un récit qui met en scène et en jeu les objets, les relations, les signes, les symboles d'une école qu'il fréquente depuis cinquante ans. C'est à un inventaire joyeux et amoureux, nostalgique parfois, qu'il met la main. De l'élève au professeur qu'il est devenu, il y a aussi son approche de l'intérieur : il fait du théâtre dans les écoles, il forme des enseignants, il raconte des histoires, il présente ses livres et ceux des autres. Mille entrées pour raconter le péril d'une école sous haute tension aujourd'hui...

L'école à brûler

Coïncidences

Daniel Simon est un écrivain, metteur en scène, dramaturge et éditeur belge né le 12 février 1952 à Charleroi, en Belgique.

L'un de mes héros est également Syd Mead, qui a conçu les véhicules du premier Tron. Donc, il se passe tellement de belles choses ici. Et travailler avec Joe était super. C'est un architecte, donc j'ai travaillé avec d'autres réalisateurs entre-temps qui s'intéressaient à l'action.

C'est toujours la chose classique d'obtenir de belles lignes, mais savoir que votre modèle informatique, sur votre petite machine, est à l'écran, est inestimable. Et cela n'arrive pas trop souvent, je ne pense pas.

Le cycle léger de Sam, la voiture et les Jets sont nouveaux bien sûr et d'autres choses. Les nouveaux sont plus élégants et si contemporains, que si vous pouviez les mettre dans un spectacle de conception de voiture, ils tiendraient.

Chaque fois que vous voyez un intérieur, où quelqu'un a un cockpit, est la vraie chose existante. Chaque fois que vous voyez l'extérieur zoomer, c'est complètement CGI.

À tout jour, vous devez être prêt avec tout. Il se peut que le réalisateur dit "celui-ci a fait et j'en ai besoin d'un nouveau". Et tu es comme, "Oh mon Dieu! Je n'ai que deux mois, pas question!" Votre approche de conception est donc complètement différente. Vous développez, disons six choses en même temps et essayez d'être prête tous les jours à le donner.

Je suis devenu très gâté. Tout le monde a dit que vous ne travailleriez jamais sur un si bon film, vous savez. Je l'ai fait, parce que j'ai travaillé sur Captain America, qui a également un grand réalisateur, qui est Joe Johnston, l'un de mes héros qui a conçu les vieux films Star Wars.

Ce qui est drôle, c'est que Sydney, qui a travaillé sur le premier film [Tron], a développé un vélo qui avait un cavalier exposé, mais ils ne pouvaient pas le faire parce que les ordinateurs n'étaient pas assez rapides, alors ils lui ont donné un toit, qui est devenu l'emblématique. Ironiquement, ce que nous faisons maintenant, c'est essentiellement ce qu'ils envisageaient dans le premier mais ne pouvaient pas faire techniquement. Je veux dire que c'est un hommage complet dans tous les aspects.

Il [Making Tron: Legacy Movie] était tout. J'ai été entraîné dans un pays différent, dans une langue différente et une société différente. Dans un film, c'est une sensation complètement différente. Dans la conception de voitures, vous savez que vous avez un an et vous devez aller étape par étape. Il s'agit d'une catastrophe organisée.

Tu sais, garçon contre fille. Mais c'est un guerrier dur, donc je l'ai presque traité comme un unisexe. Mais cela fait la différence de la taille des acteurs, parce que j'avais besoin de savoir que si Olivia Wilde est assise dans une voiture que le réalisateur, Joe Kosinski, peut toujours obtenir l'angle qu'il veut, par opposition à un autre véhicule que Jeff Bridges doit à Asseyez-vous. Donc, c'était fascinant. Parce que dans une vraie voiture, vous changez tout et l'ajustez. Mais ici, vous avez un coup.

J'ai rencontré des designers qui sont dans l'entreprise pendant dix ans dans les films, et leur plus grande plainte est que les choses ne ressemblent à rien de conçue. Regardez mon dessin! Mais personne ne voit jamais le dessin, c'est la chose. Je savais donc dès le début que je concevais tout en 3D sur mon ordinateur, et ces modèles sont littéralement allés sur les machines. Donc, chaque petit rayon sur la plupart des véhicules que vous voyez là-bas, j'ai construit avec ma souris et mon clavier.

L'inconvénient est que si quelqu'un n'aime pas ça, alors c'est comme "Oh mon Dieu, ok c'est vraiment de ta faute."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Simon

Ses oeuvres

Ses derniers livres