Danny Aiello, est un acteur américain né le 20 juin 1933 à New York et mort le 12 décembre 2019 dans le New Jersey.

Mon père ne m'a jamais vu jouer au ballon et j'étais un joueur de balle exceptionnel. J'ai raté toute cette adoration.

Il y avait certainement moins de blasphèmes dans le parrain que dans les sopranos. Il y avait une sorte de respect. Ce n'est pas que je suis totalement d'accord avec ça, mais c'était une grande œuvre d'art.

Mon père n'a jamais été là. C'était presque comme s'il n'existait pas. Je dirais à mes amis qu'il était à Cleveland, en affaires. Parfois, tous les six mois environ, il venait dîner.

À un moment donné de ma vie, avant de partir, je voulais faire un album, même si ce n'était pour aucune raison autre que la postérité.

Je ne connais personne qui maudit la façon dont ils le font sur les sopranos. Pas dans un ménage italien. Je n'ai jamais dit le mot enfer devant ma mère.

Regardez, les gens ont une image des Italiens. Quand je vais quelque part dans le monde, je m'en fiche, quand ils me regardent, il ne s'agit pas de mon intelligence. C'est qui puis-je battre.

Nous parlons d'Hollywood étant pro-labor, mais environ 70% de notre industrie a été cultivée au Canada, ce qui signifie que nous perdons des emplois comme des fous. Où est le travail organisé pour demander comment nous pouvons permettre à une telle chose de se produire?

Toute ma famille était des démocrates toute notre vie. Mais parce que je me trouvais furieux de l'administration précédente, j'ai retourné ma carte pour devenir républicain. Je ne voulais pas être connu comme démocrate sous le régime de cette personne.

J'avais l'habitude de inventer des histoires sur mon père. J'irais au cinéma et chercherais un personnage qui ressemblait à mon père.

Je suis tombé amoureux de la plus belle fille du Bronx.

Si je n'ai pas commencé à chanter dans les cabarets et sur mes albums, je n'aurais même jamais pu essayer quelque chose comme «Capone».

Le chorégraphe du Milton Berle Show voulait que j'auditionne. Je me suis éloigné de ça.

J'ai des fils et ils n'ont jamais prononcé le mot "enfer" devant moi ou ma femme. C'est la vérité.

Mon père était un homme bon, mais c'était un escroc. C'était un vagabond, nomade.

Les gens m'appellent un acteur instinctif. J'avais l'habitude de considérer cela une insulte au début, seulement parce que je n'avais jamais étudié. Maintenant ... j'adore ça.

J'ai besoin de distractions. De bonnes distractions, pas de mauvaises. Une bonne distraction pour moi est un excellent jeu.

Vous n'avez pas besoin de m'inquiéter de m'étiqueter.

Un album est une chose tellement personnelle. C'est quelque chose que j'ai toujours voulu faire. C'est moi qui me fais, chantant comme moi.

J'étais tellement timide de façon flagrante tout au long de ma vie.

Je suis traditionaliste. J'ai certaines valeurs par lesquelles je vis.

Si je pue pour une raison quelconque, vous pouvez toujours le blâmer sur le personnage.

La mort ne peut pas être si mauvaise si maman a traversé. Cela permet à l'enfant de suivre plus facilement.

Ma mère a été l'influence totale. Mon père était ce que nous appelons une personne nomade; C'était un vagabond.

Les gens ont une image des Italiens. Quand je vais quelque part dans le monde, je m'en fiche, quand ils me regardent, il ne s'agit pas de mon intelligence. C'est qui puis-je battre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Danny_Aiello

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