David Harewood, né le 8 décembre 1965 à Birmingham, est un acteur britannique.

La télévision américaine, malgré tous ses défauts, a toujours une présence noire dans les émissions et même dans les publicités. Vous verrez des Noirs dans les publicités automobiles, des femmes noires dans leurs propres émissions de télévision. On ne voit pas ça à la télévision britannique.

L'art est une question d'expérience. Je pourrais dire que je ne m'identifie pas vraiment à l'opéra, mais ensuite vous regardez Placido Domingo, et vous allez, Bon sang, regardez ça.

J'ai grandi à Birmingham, mais mes parents sont originaires de la Barbade. Mon père, Roméo, était un chauffeur de camion à distance, et ma mère, Mayleen, travaillait à la restauration.

Pour tous ses problèmes, j'ai trouvé l'Afrique du Sud un beau pays, intéressant et inspirant.

Après "Homeland", on m'a proposé beaucoup de types de patrons très autoritaires, carrés et en colère, mais je voulais faire quelque chose de différent. Les directeurs de casting sont surpris quand ils regardent mon CV et voient tout le travail que j'ai fait, de Shakespeare à jouer Nelson Mandela.

'12 Angry Men' a une très grande collection d'acteurs donnant des performances fantastiques. C'est une masterclass d'acteur.

Les têtes de studio semblent faire passer le message qu'il y a non seulement un public, mais il y a un désir pour les gens de voir des personnes de couleur dans des rôles centraux et dans des rôles faisant autorité.

Travailler au National Theatre est tout simplement merveilleux. Il n'y a pas d'endroit comme la rive sud un après-midi d'été.

Mes parents sont venus de la Barbade à la fin des années 1950 et au début des années 60.

J'ai toujours ce sentiment le dernier jour de travail que je ne vais plus jamais travailler.

Je dis toujours aux jeunes acteurs que s'ils veulent apprendre les cordes, il n'y a pas de meilleur endroit pour le faire qu'au Royaume-Uni.

Tout le monde peut, vous savez, aller en ligne, lire quelque chose et avoir une opinion sur quelque chose.

Je me souviens quand je suis arrivé à Los Angeles pour la première fois par la gamme de rôles ouverts à moi. C'étaient des pièces de tête dans de nouveaux projets brillants, et ce qui m'a toujours excité, c'était de savoir qu'il y avait une possibilité que je puisse réellement obtenir ces pièces. J'ai toujours eu l'impression que j'avais une chance.

J'espère que mes enfants pourront vivre les saisons et un climat durable. L'idée que les choses vont être très différentes pour eux est légèrement effrayante.

Je suis très chanceux. J'ai adoré l'école et, quand j'y suis allé, la course, les gangs et la violence n'étaient pas des problèmes. Il y avait un sentiment, parti maintenant, que vous deviez être présentable. Si vous n'aviez pas peigné vos cheveux, des femmes noires plus âgées - des inconnus complets - viendraient vers vous dans la rue et tiraient un peigne et redressent votre cravate.

Il y a des problèmes structurels au sein de l'industrie qui nous empêchent de présenter des rôles noirs ambitieux.

Quand mon agent m'a dit que j'avais une audition pour «Friar Tuck», j'ai éclaté de rire. Cela a en fait apporté un peu de soleil à ma journée. Je pensais: un gros costume. Je pensais: me raser la tête. C'était tellement bizarre, une idée tellement folle.

En 2005, l'Anthony Nolan Trust aurait pu me demander de dénoncer le manque de donneurs appartenant à des minorités ethniques dans le registre de la moelle osseuse, mais cela n'aurait rien signifié si je n'étais pas prêt à m'engager moi-même.

Vous voulez toujours être à votre meilleur dans les événements comme les globes, les Emmys ou les Oscars. Cela fait partie de l'entreprise avec laquelle je ne suis pas particulièrement à l'aise. Je préférerais me présenter dans une paire de jeans et une vieille chemise, mais tout est question d'image - le studio veut que vous soyez à votre meilleur.

L'art est une question d'expérience. Je pourrais dire que je ne me rapporte pas vraiment à l'opéra, mais ensuite vous regardez Placido Domingo, et vous allez, "Blimey, regardez ça."

Quand je pense à mes enfants et à la différence de leur avenir à la suite du changement climatique, cela me rend déterminé à faire quelque chose.

La paternité est une joie. Je me sens très chanceux d'avoir une famille. Cela vous donne une perspective sur les choses.

Il a été intéressant de voir à quel point Obama est vulnérable: pas le président sûr que je pensais qu'il était ou le leader fort que beaucoup de gens espéraient qu'il serait. C'est un conciliateur. Mais j'ai écouté les débats primaires républicains, et ils sont un tas de fous. Juste fou.

L'idée que les gens me regardent maintenant est un peu énervante, mais je suppose que cela vient avec le territoire. C'est peut-être le côté moderne de la célébrité.

Les gens viennent et disent de très belles choses sur mon travail, comme: «Tu étais super dans« Blood Diamond!

Vous devez avoir une certaine pertinence si vous voulez atteindre le sommet de la profession, et je ne sais pas si j'ai cette Egomanie aux yeux froids qui est peut-être nécessaire pour atteindre le sommet. Donc, tant que je peux continuer à payer l'hypothèque et m'intéresser, je serai heureux.

En tant qu'acteur, que je joue Othello sur scène ou David Estes dans "Homeland", cette capacité à donner libre cours à votre imagination est quelque chose que j'apprécie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Harewood

Ses oeuvres