Clare avait 13 ans quand elle est morte et qu'elle s'est reveillee dans le corps d'un chat errant, a Bethlehem, en Cisjordanie. Refugiee dans une maison avec deux soldats israeliens et un petit garcon palestinien, elle va partager pendant quelques jours leur quotidien. Entre incomprehensions et emeutes qui divisent les deux peuples, elle va essayer de sauver sa vie, et peut etre meme celle de ses trois compagnons de hasard. Mais comment aider son prochain lorsqu'on est un chat ? Comment trouver sa place dans un univers chaotique, ravage par la peur et la colere ?

Le Chat Sur Le Mur

Parvana a aide sa famille a construire une ecole pour filles en Afghanistan. D'abord eleve, elle devient professeur. A quinze ans, quand on vit en Afghanistan, c'est un veritable exploit. Le pays est en guerre et les femmes ont peu de droits. Mais Parvana est aussi soupconnee de terrorisme. Retrouvee par les Americains dans les ruines de l'ecole, ils la croient complice des talibans et veulent des reponses. Parvana restera muette. Aussi longtemps que possible.

Je m'appelle Parvana

"There is a lion in our village, and it is carrying away our children."At her father's funeral, Binti's grandmother utters the words that no one in Malawi wants to hear. Binti's father and her mother before him, dies of AIDS. Binti, her sister, and brother are separated and sent to the home of relatives who can barely tolerate their presence. Ostracized by their extended family, the orphans are treated like the lowest servants. With her brother far away and her sister wallowing in her own sorrow, Binti can hardly contain her rage. She, Binti Phirim, was once a child star of a popular radio program. Now she is scraping to survive. Binti always believed she was special, now she is nothing but a common AIDS orphan.Binti Phiri is not about to give up. Even as she clings to hope that her former life will be restored, she must face a greater challenge. If she and her brother and sister are to reunited, Binti Phiri will have to look outside herself and find a new way to be special.Compelling and uplifting, The Heaven Shop, is a contemporary novel that puts a very real face on the African AIDS pandemic, which to-date has orphaned more than 11 million African children. Inspired by a young radio performer the author met during her research visit to Malawi, Binti Phiri is a compelling character that readers will never forget.

Binti, une Enfance dans la Tourmente Africaine

Parvana a onze ans et vit à Kaboul. Parce que son père est un lettré, les taliban le font prisonnier. Comment survivre alors que lui seul peut assurer la subsistance de sa famille, les femmes n'ayant pas le droit de sortir de chez elles ? Et si Parvana se déguisait en garçon et travaillait dans les rues de Kaboul pour sauver sa famille ?

Parvana, une enfance en Afghanistan

Deborah Ellis, née le 7 août 1960 à Cochrane en Ontario, où elle a passé ses années de jeunesse, est une écrivaine canadienne spécialisée dans la littérature d'enfance et de jeunesse. Elle travaille à Toronto dans le domaine de la santé mentale.

Nous ne savons jamais qui nous allons être avant que nous ne soyons pas testés, mais nous pouvons peut-être nous tester sans aller aux extrêmes de la guerre. Peut-être pouvons-nous être plus gentils maintenant, vivre avec moins maintenant, atteindre les autres maintenant - et construire une réserve intérieure d'une identité forte qui nous tiendra même lorsque tout le reste tombe.

Vous devez voir l'être humain dans l'ennemi. S'il y a un potentiel de changement, il y a encore de l'espoir.

Dans `` Off to War, des voix des enfants du soldat '', des enfants du Canada et des États-Unis parlent de ce que c'est que lorsque leur mère ou leur père se met à la guerre - et revient à la maison.

Si je vais être un pessimiste, alors je devrais simplement arrêter d'écrire pour les jeunes parce que c'est un fardeau trop lourd à mettre sur les jeunes lecteurs. Mais aussi, je rencontre des gens qui ont pataugé à travers des choses horribles, et ils se lèvent chaque matin, et ils essaient de faire de leur mieux.

L'une des choses qui a vraiment frappé la maison pour moi, c'est que le monde est la façon dont nous décidons que ce sera. Très peu de choses arrivent. Ils sortent de l'histoire, et ils sortent du présent, et plus nous pouvons avoir une idée de la façon dont nos actions mènent à d'autres actions à l'avenir, j'espère que nous apprendrons à prendre de meilleures décisions.

Personne ne possède vraiment rien. Nous rendons notre corps à la fin de nos vies. Nous possédons nos pensées, mais tout le reste est juste emprunté. Nous l'utilisons pendant un certain temps, puis le transmets. Ensuite, nous le rendons. Nous ne pouvons pas garder le soleil, peu importe à quel point nous avons peur de l'obscurité.

En Afghanistan, il y a eu beaucoup de professeurs assassinés, les écoles sont explosées, les filles sont harcelées et, dans certains cas, attaquées sur leur chemin vers l'école. Même si les filles sont en mesure d'obtenir une éducation, elles peuvent rêver grand, elles peuvent réfléchir à la façon dont elles veulent devenir députées parce qu'elles sont maintenant des femmes membres du Parlement en Afghanistan, personne ne sait vraiment combien de temps tout va dernier.

Dans les camps de réfugiés du monde entier, j'ai rencontré des gens qui étaient partis. Ils se promenaient toujours mais avaient tellement perdu qu'ils n'étaient pas en mesure de revendiquer une sorte d'identité. D'autres que j'ai rencontrés ont trouvé qui ils étaient vraiment, et ils l'ont généralement trouvé par le service des autres. Ils sont devenus enseignants lorsqu'il n'y avait pas d'école, de livres ou de crayons.

Alors que la guerre en Irak faisait rage, j'ai passé un peu de temps en Jordanie voisine, rencontrant des réfugiés irakiens qui ont fui leur pays pour essayer de trouver un lieu de sécurité. J'ai interviewé de nombreuses familles sur ce qui leur était arrivé et ce qu'ils ont fait en conséquence.

Je pense que la plupart des gens, quelle que soit leur situation, parviennent à trouver la joie et le réconfort dans leur vie quotidienne. Je pense aussi que les choses s'effondrent.

J'étais vraiment ennuyé, assez antisocial, et pas beaucoup de menuisier, et les gens pensaient que c'était un problème. Je détestais le lycée. D'une certaine manière, c'était bien ... Je pense, pour un écrivain, c'est bien d'être à l'aise d'être à l'extérieur.

En tant que femme au Canada, je peux faire ce que je veux faire, et j'y suis habituée. J'ai l'habitude que mon gouvernement ne me dise pas que ma vie sera restreinte parce que je suis une femme.

Nous devons à nos enfants pour être honnête au sujet du monde et leur fournir du matériel écrit spécialement pour eux.

Il y a une grande chose au Canada que les parents ont besoin de parler à leurs enfants de la drogue et du sexe. Je ne pense pas que parler à vos enfants de la guerre soit moins important que cela.

Lorsque les filles au Canada rêvent de devenir membres du Parlement, elles s'attendent à une assez bonne attente que le Parlement sera là pour eux lorsqu'ils obtiennent leur diplôme. Il n'y a pas une telle attente en Afghanistan. Tout est toujours de l'espoir et de le vouloir, mais je ne sais pas vraiment si ça va être là.

En tant que femme au Canada, je peux faire ce que je veux faire et je suis habitué à cela. J'ai l'habitude de ne pas que mon gouvernement me dise que ma vie va être limitée parce que je suis une femme.

Lorsque les talibans ont pris le relais en 1996, la nouvelle de leurs crimes a frappé les journaux de Toronto. En tant que féministe et militante anti-guerre, j'ai entendu parler de ce qui arrivait aux femmes, et je voulais faire quelque chose pour soutenir ces gens.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Deborah_Ellis

Ses oeuvres

Ses derniers livres