LES ANNÉES DE FER - Londres 1979-1981

As a first-generation British-born black, Don Letts quickly learned to assimilate aspects of Jamaican culture into inner-city urban London life. Leaving school, he gravitated to Chelsea's King's Road, inhabiting the fashion world alongside Vivienne Westwood and Malcolm McLaren. As resident DJ at the fledgling punk club The Roxy, Letts pumped a roots-reggae soundtrack to a predominantly white audience that included members of The Clash and the Sex Pistols, forging a link between the two clashing cultures. A chance meeting provided him with a Super-8 movie camera, the result of which was released as The Punk Movie and set Letts on a career of influential videos featuring Sex Pistols, Pil, the Slits, The Clash, Bob Marley, and even the -platinum-selling Musical Youth. His feature films include Dancehall Queen, the Grammy Award-winning Westway to the World-his documentary on The Clash-and Clash on Broadway. He has recently directed feature documentaries for the BBC on Sun Ra and Gil Scott-Heron. Alongside The Clash's Mick Jones in Big Audio Dynamite, Letts pioneered dance culture and sampling techniques, hanging out with Africa Bambaataa, Grandmaster Flash, and the cream of the New York City hip-hop scene. Admired by Fellini, a friend of Bob Marley and John Lydon, and a documentarian of The Clash, Don Letts has never pigeonholed himself. This book is a firsthand account, told in Letts' own words-it's highly visual, revelatory, irreverent, entertaining, and staunchly individual.

Culture Clash: Punk Rockers, Big Audio Dynamite, Dreadlocks Et Video

Fondamentalement, les sous-cultures se sont formées au Royaume-Uni parce que le courant dominant ne satisfaisait pas aux besoins de certaines personnes comme moi. Ainsi, à travers la musique et par le style, nous avons trouvé notre tribu, nous avons trouvé des rebelles partageant les mêmes idées.

J'ai cinquante-six ans - je suis aussi vieux que le rock 'n roll.

[Au] 21e siècle, le courant dominant peut satisfaire tous vos caprices. Je suppose que l'idée de se promener avec des groupes de personnes habillées de la même manière et de dire "Je ne suis que du ska" ou "Je ne suis que de quoi que ce soit" - est un peu restrictive au 21ème siècle. Je ne sais pas si c'est une mauvaise chose que ces mouvements aient suivi leur cours. Je pense que ce qui me manque, c'est l'expérience collective.

En Angleterre, d'où je viens, la mode et la musique vont de pair. Ils sont intégrés les uns aux autres.

Je ne pense pas qu'il y ait de problème avec la technologie. En fait, rembobiner cette pensée - il y a un inconvénient à la technologie abordable, et c'est la médiocrité. Je veux dire juste parce que vous pouvez vous permettre que cela ne signifie pas que vous pouvez le faire.

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