Donna Leon  was named by  The Times  as one of the 50 Greatest Crime Writers. She is an award-winning crime novelist, celebrated for the bestselling Brunetti series. Donna has lived in Venice for thirty years and previously lived in Switzerland, Saudi Arabia, Iran and China, where she worked as a teacher. Donna''s books have been translated into thirty-five languages and have been published around the world.   Her previous novels featuring Commissario Brunetti have all been highly acclaimed; including  Friends in High Places , which won the CWA Macallan Silver Dagger for Fiction,  Fatal Remedies, Doctored Evidence, A Sea of Troubles  and  Beastly Things .

TRANSIENT DESIRES

Des carabiniers agressent un pédiatre en pleine nuit pour lui enlever son fils de dix-huit mois : Venise est sous le choc. Puis les langues se délient : certains crient au scandale, d'autres soupçonnent la découverte d'un réseau de trafic d'enfants. Un vent de délation envahit la lagune... Le commissaire Brunetti a bien du mal à distinguer les coupables des innocents.

Le cantique des innocents

Elle a quinze ans. Une vie entre Venise et la campagne, où elle aime faire du cheval. Mais une chute dans un canal et son destin bascule : Manuela, qui ne sait pas nager, survit avec de graves séquelles. Un accident ? Effondrée, la comtesse Lando-Continui en doute. Et des années plus tard, elle convainc Brunetti de reprendre l'enquête sur sa petite-fille. Ce qui ne semble pas convenir à tout le monde...

Minuit sur le canal San Boldo

Mortes-eaux - Occasion

Automne ensoleillé à Venise. Brunetti ferait bien l'école buissonnière. Mais pas de répit pour le commissaire, une vieille dame est retrouvée morte à son domicile. Verdict du légiste: crise cardiaque. Brunetti est sceptique: et si quelque chose leur échappait? La victime, veuve dévouée aux personnes âgées et aux femmes battues, était très secrète. Peut-être trop pour être honnête...

Deux veuves pour un testament

Une enquête du commissaire Brunetti. Après avoir quitté son petit ami durant des vacances ratées, Anna Maria Giusti rentre chez elle. Afin de récupérer son courrier, elle pénètre dans l'appartement de Constanza Altavilla, sa voisine. Son corps est étendu sur le sol et sa tête baigne dans une flaque de sang. Pour le légiste, cela ne fait aucun doute, la vieille dame a été terrassée par une crise cardiaque et, dans sa chute, sa tête a heurté le radiateur de sa chambre. Dépêché sur les lieux, le commissaire Brunetti ne trouve aucun élément pour contredire cette thèse. Pourtant, quelque chose d'autre est arrivé, il en est sûr, mais quoi ? Le fils de la défunte semble étrangement soulagé que la police pense à une mort naturelle. Madre Rosa, la mère supérieure à la tête de la maison de retraite où Constanza Altavilla se rendait bénévolement, est elle aussi sur ses gardes. Chaque personnage est multiple, tour à tour héros ou bandit, victime ou bourreau. Il n'y a pas d'évidences, pas de lignes droites dans ce roman, tout y est tortueux. Comme les ruelles vénitiennes que Brunetti arpente pour - peut-être - trouver la vérité.

Pellestrina, petite île située dans la lagune de Venise. Deux pêcheurs de palourdes sont retrouvés noyés dans les débris de leur bateau, leurs corps lardés de coups de couteau.
Le commissaire Brunetti doit mener l'enquête au sein d'une communauté unie par un code de loyauté et une méfiance instinctive vis-à-vis des étrangers. Loin du monde raffiné de la Sérénissime, dans cette ambiance digne d'un village sicilien, la loi du silence est de mise. Pour tromper la méfiance des insulaires, Brunetti a l'idée d'envoyer sur place sa secrétaire, la signora Elettra. Celle-ci accepte de jouer les espionnes et de séjourner dans l'île, où elle a des parents.
Mais Brunetti ne tarde pas à regretter sa décision lorsqu'il apprend qu'un troisième meurtre vient d'être commis à Pellestrina. Il se retrouve alors déchiré entre son désir de démasquer le coupable, son inquiétude pour la sécurité d'Elettra et les sentiments quelque peu ambigus qu'il nourrit pour elle...

Mortes-eaux

Venise en hiver : une cité crépusculaire, envahie par les eaux de la lagune durant l'acqua alta, et où l'on est obligé d'enfiler des bottes si l'on ne veut pas se mouiller les pieds. C'est dans cette ville battue par la pluie que le commissaire Brunetti va devoir enquêter sur la mort du dottor Semenzato, conservateur. Découvrant les arcanes du monde de l'art, Brunetti sera confronté à un directeur de musée peu scrupuleux, à un antiquaire qui l'est encore moins, et à un collectionneur dangereux capable d'employer les moyens les moins recommandables pour se procurer l'objet de ses désirs.

Entre deux eaux

Donna Leon (/ˈdɒnə ˈliːɒn/), née le 28 septembre 1942 à Montclair, New Jersey, est une romancière américaine.

Et au loin, l'or sur les ailes de l'ange au sommet du clocher de San Marco brillait au soleil, baignant toute la ville de sa bénédiction scintillante.

J'écoute la musique vocale de Haendel, presque exclusivement.

Je ne vais pas au cinéma parce que je n'aime pas les films.

Je n'ai jamais voulu être riche, réussi ou célèbre. Je voulais juste être heureux et m'amuser.

Ruth Bader Ginsburg est la plus libérale et la plus éclairée des neuf juges de la Cour suprême des États-Unis.

Les Vénitiens ressentent de l'affection et de la loyauté envers leur ville, plutôt qu'à l'État italien.

Je ne sais jamais ce qui va se passer dans un roman. Je n'ai pas de plan ou de contour.

Je sais que vous ne devriez pas cracher dans votre propre soupe, mais je pense que la plupart des écrits du crime sont comme la télévision et ne fait pas d'énormes demandes sur son intellect.

Je ne prends aucun plaisir à être une personne célèbre.

Les Allemands et les Autrichiens sont très polis, les Suisses sont très réservées et les Espagnols m'embrassent généralement. Les Britanniques m'écrivent.

Une histoire commence et elle passe toujours du subjonctif au déclaratif. Et les Italiens ne semblent pas se soucier de faire une distinction fine entre ce qui est spéculation et ce qui est fait.

Les Italiens connaissent la nature humaine - ils comprennent la nature humaine peut-être mieux que quiconque. Ils savent que les gens sont faibles et gourmands et paresseux et malhonnêtes et ils essaient simplement d'en tirer le meilleur parti; pour contourner cela.

J'aime la musique. Mais je n'ai jamais possédé de télévision dans ma vie d'adulte, et je n'ai jamais vécu dans un endroit avec une télévision.

Les faveurs sont toujours pour nous-mêmes. Surtout lorsque nous demandons des choses pour d'autres personnes.

J'ai été extraordinairement chanceux. J'ai écrit un livre parce que je voulais voir si je pouvais écrire un mystère. Quelqu'un m'a harcelé pour l'envoyer à un concours, qu'il a gagné, après quoi on m'a proposé un contrat de deux livres, nécessitant ainsi la rédaction d'un deuxième livre.

C'est un monde déchu. Les gens mentent, la vérité est déformée, et c'est comme ça. Qu'y a-t-il pour le dîner?

Je suis impliqué dans une entreprise d'opéra baroque ici en Italie. J'écris une partie de leur matériel de livret, des commentaires sur les opéras. J'écris également pour des festivals d'opéra baroques parce que cette musique est ma vraie passion.

Mon père a lu «le New York Times», ma mère a fait du secrétariat, nous avions un chien, nous avions un jardin, j'avais un frère.

Le personnage que j'ai créé, «Commissario Brunetti», qui apparaît dans tous mes livres, partage des goûts de lecture, artistiques et musicaux similaires avec moi. Inconsciemment, je savais que si je devais passer aussi longtemps que cela prendrait pour écrire ce livre avec lui, cet homme devrait être quelqu'un avec qui je voudrais dîner.

Je n'ai pas de mémoire pour ce qui se passe dans les livres. Je ne sais pas quand je me souviens peut-être d'une scène, mais me bat dans quel livre il y a parce qu'il y en a 14 maintenant.

Nous achetons des choses. Nous les portons ou les mettons sur nos murs, ou nous nous asseyons sur eux, mais quiconque veut peut les nous enlever. Ou les casser ... longtemps après qu'il soit mort, quelqu'un d'autre possédera ces stupides petites boîtes, puis quelqu'un après lui, tout comme quelqu'un les possédait avant lui. Mais personne ne pense jamais à cela: les objets nous survivent et continuent de vivre. C'est stupide de croire que nous les possédons. Et c'est coupable pour eux d'être si importants.

Et je ne veux pas vivre n'importe où où je suis célèbre. Cela me met très, très mal à l'aise, car cela donne un avantage sur les gens, et je n'aime pas ça.

J'admire Dickens au-delà des mots. Il est l'un des plus grands comploteurs de tous les temps. Je n'avais aucune idée des femmes, mais il pouvait certainement tracer.

Les Italiens ont tendance à être moins rigidement moraux et respectueux des lois que les anglo-saxons. Ils ont également une profonde suspicion de l'État et de la plupart de ses agences.

J'ai toujours eu un antagonisme particulier pour l'armée.

La fin est l'une de mes plus noires, sans espoir sans espoir.

Ses oeuvres

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