"C'est ainsi que j'ai grandi - timide et solitaire, mais aventureux", se souvient Doug Peacock, légende du combat pour la protection de l'environnement. Une cause à laquelle il a consacré sa vie. Du Yellowstone à la Sibérie, en passant par les îles Galápagos, il chante la beauté des espaces sauvages et l'impérieuse nécessité de leur préservation. Car la dégradation irrémédiable de notre milieu originel est sans doute le plus grand défi auquel l'humanité doit faire face. Il ne s'agit pas d'une simple question de ressources ou de confort, mais bel et bien de survie. Devant l'aveuglement et la cupidité de ses congénères, "le petit garçon qui vit en lui brandit son poing serré, plein de colère" et appelle chacun à prendre des risques.

Itinéraire d'un éco-guerrier

Marche, marche encore. Les pieds feront l'instruction de l'âme. Lorsqu'il revient de la guerre du Vietnam, Doug Peacock est un homme hanté par les horreurs vécues chez les Bérets verts. Incapable de se réadapter à une société qu'il ne comprend plus, il entame une marche spirituelle, des déserts de l'Ouest américains aux plus hauts sommets de l'Himalaya. Il fait la rencontre de l'écrivain Edward Abbey, avec qui il noue un lien indéfectible. La nature et l'amitié permettront à l'ancien combattant de trouver un second souffle vital, et de se consacrer à un nouveau combat : la défense du monde sauvage.

Marcher vers l'horizon

Revenu brisé de la guerre du Vietnam, Doug Peacock a trouvé à se reconstruire en passant vingt années de sa vie dans les montagnes de l'Ouest américain, sur les traces d'un formidable prédateur : le grizzly, dont il est à ce jour l'un des plus grands spécialistes au monde. Son récit captivant nous entraîne de l'Alaska à la mer de Cortez, à la découverte d'un animal mystérieux, bien plus proche de nous que nous ne saurions l'imaginer. Dans ses relations avec ses semblables aussi bien qu'avec l'homme et son environnement, le grizzly incarne puissamment liberté et sauvagerie, que menacent pourtant les avancées notre civilisation.

Mes années Grizzly

Lorsqu'il revient de la guerre du Vietnam à la fin des années soixante, Doug Peacock est un homme brisé, hanté par les horreurs vécues chez les Bérets verts. Incapable de se réadapter à une société qu'il ne comprend plus, il trouve refuge dans la nature sauvage. Des paysages désertiques de l'Ouest américain aux plus hauts sommets de l'Himalaya, Peacock entame une marche spirituelle qui lui permettra de redonner un sens à son existence. Au cours de cette quête, il rencontrera Edward Abbey, auquel il servira de modèle pour le héros de son best-seller, Le Gang de la clef à molette.
 
Une guerre dans la tête est le récit de cet itinéraire exceptionnel qui conduira un ancien combattant à trouver dans la nature et l'amitié de nouvelles raisons de vivre.

Une guerre dans la tête

Revenu brisé de la guerre du Vietnam, Doug Peacock a trouvé à se reconstruire en passant vingt années de sa vie dans les montagnes de l'Ouest américain, sur les traces d'un formidable prédateur : le grizzly, dont il est à ce jour l'un des plus grands spécialistes au monde. Son récit captivant nous entraîne de l'Alaska à la mer de Cortez, à la découverte d'un animal mystérieux, bien plus proche de nous que nous ne saurions l'imaginer. Dans ses relations avec ses semblables aussi bien qu'avec l'homme et son environnement, le grizzly incarne puissamment liberté et sauvagerie, que menacent pourtant les avancées notre civilisation.
 
Mes années grizzly est un fabuleux récit d'aventures digne des romans de Jack London. Mais c'est aussi le témoignage exceptionnel d'un homme parti seul à la rencontre de l'Amérique sauvage.

Mes années grizzly

Mes années Grizzlis - À la recherche de l'Amérique sauvage

Encore une fois ... Rick Bass nous attire dans ses mondes humains magiques, rendu d'urgence par une prose hypnotique qui suit un monde naturel parallèle et sauvage, souvent avec une trace de perte et toujours patrouillé par une décence indubitable. Il est un maître de cette forme.

Ce n'est pas le désert à moins qu'il y ait une bestiole qui peut vous tuer et vous manger.

Le livre de Dan Brister est témoin des quinze dernières années de cette folie bureaucratique pour apprivoiser le dernier vestige de l'Amérique sauvage et domestique la terre. Menant la résistance est la campagne Buffalo Field, un groupe de militants courageux et dévoués. Cette tribu rustique vit dans les hivers froids de Yellowstone, risquant leur liberté et leur vie pour se tenir près de leurs frères bruns dans les manteaux de cheveux.

La notion de suivre votre passion vaut la peine de se livrer. Votre passion est votre source de pouvoir. Pour vivre vraiment une vie pleine, vous devez suivre où cela mène ... au mépris de tout ce qui est conventionnel peut-être. Et bien sûr, il a son prix. Vous devez savoir que faire. Mais le prix que vous payez, à mon avis, ne vaut pas le temps de la journée à réfléchir. Il est si important de ne pas se genoux dans le monde. Vous ne devriez jamais vous prosterner contre autre chose que ceux que vous aimez et respectez. Jamais pour quoi que ce soit.

Vous vous trouvez en vous perdant. En ne pensant pas à vous tout le temps. Quand je suis en crise avec mon écriture, je vais marcher pendant une semaine. Marcher et ne pas voir un être humain. Quelque chose se passe après quatre ou cinq jours, ce qui est assez merveilleux. C'est une chose ancienne. Votre odorat. Votre audition. Ils reviennent.

La tentation dangereuse des films fauniques est qu'ils peuvent nous percer à penser que nous pouvons nous débrouiller sans les modèles originaux - que nous pourrions ne pas avoir besoin d'animaux dans la chair.

L'ensemble du concept de «sauvage» était décidément européen, non partagé par les habitants d'origine de ce continent. Ce que nous avons appelé «sauvage», c'était à l'Indien A Homeland, à la «beauté durable» à Salish ou Piegan. La terre n'était pas quelque chose à craindre ou à conquérir, et la «faune» n'était ni sauvage ni étrangère; c'étaient des parents.

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