Traduit de l'anglais (États-Unis) par Pierre Brévignon  Pour Lucy Barton, le coeur de William, son ex-mari, a toujours été un mystère. Pourtant, malgré les années, ils sont restés intimement liés. Lucy n'est donc pas étonnée lorsque William lui demande de l'accompagner pour enquêter sur un secret de famille. En route vers le Maine, les anciens amants évoquent leurs souvenirs et dressent le bilan d'une existence partagée, de l'université jusqu'à la vie avec de nouveaux conjoints, en passant par la naissance de leurs filles.  Elizabeth Strout dépeint de sa plume exquise les peurs et les incertitudes, les joies simples et les gestes tendres de ses personnages. Oh, William ! signe le retour de son héroïne fétiche, Lucy Barton, pour une méditation magistrale sur la famille.  « Une humanité si intime, fragile et désespérée se dégage de ces lignes, c'est à couper le souffle. Presque chaque déclaration porte la force d'une révélation. »The Washington Post

Oh, William !

Pour Lucy Barton, le coeur de William, son ex-mari, a toujours été un mystère. Pourtant, malgré les années, ils sont restés intimement liés. Lucy n'est donc pas étonnée lorsque William lui demande de l'accompagner pour enquêter sur un secret de famille. En route vers le Maine, les anciens amants évoquent leurs souvenirs et dressent le bilan d'une existence partagée, de l'université jusqu'à la vie avec de nouveaux conjoints, en passant par la naissance de leurs filles. Elizabeth Strout dépeint de sa plume exquise les peurs et les incertitudes, les joies simples et les gestes tendres de ses personnages. Oh, William ! signe le retour de son héroïne fétiche, Lucy Barton, pour une méditation magistrale sur la famille.

An extraordinary new novel by the Pulitzer Prize-winning, Number One  New York Times  bestselling author of  Olive Kitteridge  and  My Name is Lucy Barton          'A superbly gifted storyteller and a craftswoman in a league of her own' Hilary Mantel     Olive, Again  follows the blunt, contradictory yet deeply loveable Olive Kitteridge as she grows older, navigating the second half of her life as she comes to terms with the changes - sometimes welcome, sometimes not - in her own existence and in those around her.   Olive adjusts to her new life with her second husband, challenges her estranged son and his family to accept him, experiences loss and loneliness, witnesses the triumphs and heartbreaks of her friends and neighbours in the small coastal town of Crosby, Maine - and, finally, opens herself to new lessons about life.        'A powerful storyteller immersed in the nuances of human relationships'  Observer          ' She gets better with each book' Maggie O'Farrell        'One of America's finest writers'  Sunday Times

OLIVE, AGAIN

La petite ville d'Amgash, dans l'Illinois, est en émoi. Lucy Barton, fille de la ville devenue écrivain à succès, exilée à New York depuis de longues années, vient de publier un livre sur sa jeunesse. Le récit de son enfance, pauvre et solitaire, provoque chez les gens d'Amgash des réminiscences, des questions et des révélations. Un jour, Lucy Barton en personne fait irruption à Amgash après dix-sept ans d'absence. Les retrouvailles de Lucy avec les siens sont l'occasion d'instants âpres, mais beaux  comme si la douleur de la fuite et la rancoeur s'étaient dissipées en un instant.
Dans Tout est possible, Elizabeth Strout renoue avec les personnages de son précédent roman,  Je m'appelle Lucy Barton, pour explorer la complexité du lien à l'Autre. Animées par le livre et la visite exutoires de Lucy, des personnes qui l'ont connue se trouvent forcées à dire, ou parviennent enfin à dire, les secrets qui les écrasent depuis longtemps. Une chance offerte de comprendre les choses et les êtres, à défaut de pouvoir tout recommencer.
  Traduit de l'anglais (États-Unis) par Pierre Brévignon «  Ce livre est un joyau... Elizabeth Strout livre une chronique brillante de l'ambiguïté et de la délicatesse de la condition humaine.  Tout est possible  est un roman empreint de sagesse et époustouflant.  » -  The Observer   «  Une lecture envoûtante.  » -  The Sunday Times   «  Si les personnages excentriques et charmants du best-seller de la lauréate du Prix Pulitzer Elizabeth Strout vous ont manqué, vous vous ferez une joie de les retrouver dans  Tout est possible, une suite pleine d'intelligence et profondément émouvante.  » -  Elle  USA

Tout est possible

Hospitalisée à la suite d'une opération, Lucy Barton reçoit la visite impromptue de sa mère, avec laquelle elle avait perdu tout contact. Tandis que celle-ci se perd en commérages, convoquant les fantômes du passé, Lucy se trouve plongée dans les souvenirs de son enfance dans une petite ville de l'Illinois - la pauvreté extrême, honteuse, la rudesse de son père, et finalement son départ pour New York, qui l'a définitivement isolée des siens. Peu à peu, Lucy est amenée à évoquer son propre mariage, ses deux filles, et ses débuts de romancière dans le New York des années 1980. Une vie entière se déploie à travers le récit lucide et pétri d'humanité de Lucy, tout en éclairant la relation entre une mère et sa fille, faite d'incompréhension, d'incommunicabilité, mais aussi d'une entente profonde.
Salué comme un chef-d'oeuvre par la critique littéraire aux États-Unis, Je m'appelle Lucy Barton est un grand roman contemporain sur la solitude, le désir et l'amour.

Je m'appelle Lucy Barton

Hospitalisée à la suite d'une opération, Lucy Barton reçoit la visite impromptue de sa mère, avec laquelle elle avait perdu tout contact. Tandis que celle-ci se perd en commérages, convoquant les fantômes du passé, Lucy se trouve plongée dans les souvenirs de son enfance dans une petite ville de l'Illinois – la pauvreté extrême, honteuse, la rudesse de son père, et finalement son départ pour New York, qui l'a définitivement isolée des siens. Peu à peu, Lucy est amenée à évoquer son propre mariage, ses deux filles, et ses débuts de romancière dans le New York des années 1980. Une vie entière se déploie à travers le récit lucide et pétri d'humanité de Lucy, tout en éclairant la relation entre une mère et sa fille, faite d'incompréhension, d'incommunicabilité, mais aussi d'une entente profonde. Salué comme un chef-d'oeuvre par la critique littéraire aux États-Unis, Je m'appelle Lucy Barton est un grand roman contemporain sur la solitude, le désir et l'amour.

Hospitalisée à la suite d’une opération, Lucy Barton reçoit la visite impromptue de sa mère, avec laquelle elle avait perdu tout contact. Tandis que celle-ci se perd en commérages, convoquant les fantômes du passé, Lucy se trouve plongée dans les souvenirs de son enfance dans une petite ville de l’Illinois – la pauvreté extrême, honteuse, la rudesse de son père, et finalement son départ pour New York, qui l’a définitivement isolée des siens. Peu à peu, Lucy est amenée à évoquer son propre mariage, ses deux filles, et ses débuts de romancière dans le New York des années 1980. Une vie entière se déploie à travers le récit lucide et pétri d’humanité de Lucy, tout en éclairant la relation entre une mère et sa fille, faite d’incompréhension, d’incommunicabilité, mais aussi d’une entente profonde.Salué comme un chef-d’oeuvre par la critique littéraire aux États-Unis, Je m’appelle Lucy Barton est un grand roman contemporain sur la solitude, le désir et l’amour.

"As our vision becomes more global, our storytelling is stretching in many ways. Stories increasingly change point of view, switch location, and sometimes pack as much material as a short novel might, " writes guest editor Elizabeth Strout. "It's the variety of voices that most indicates the increasing confluence of cultures involved in making us who we are." The Best American Short Stories 2013 presents an impressive diversity of writers who dexterously lead us into their corners of the world. In "Miss Lora, " Junot Díaz masterfully puts us in the mind of a teenage boy who throws aside his better sense and pursues an intimate affair with a high school teacher. Sheila Kohler tackles innocence and abuse as a child wanders away from her mother, in thrall to a stranger she believes is the "Magic Man." Kirstin Valdez Quade's "Nemecia" depicts the after-effects of a secret, violent family trauma. Joan Wickersham's "The Tunnel" is a tragic love story about a mother's declining health and her daughter's helplessness as she struggles to balance her responsibility to her mother and her own desires. New author Callan Wink's "Breatharians" unsettles the reader as a farm boy shoulders a grim chore in the wake of his parents' estrangement."Elizabeth Strout was a wonderful reader, an author who knows well that the sound of one's writing is just as important as and indivisible from the content, " writes series editor Heidi Pitlor. "Here are twenty compellingly told, powerfully felt stories about urgent matters with profound consequences."

The Best American Short Stories 2013

Elizabeth Strout, née le 6 janvier 1956 à Portland dans le Maine, est une romancière américaine. Elle a reçu le Prix Pulitzer 2009 pour Olive Kitteridge.

C’est juste que je suis le genre de personne, `` Rebecca a poursuivi '', qui pense que si vous preniez une carte du monde entier et mettez une épingle pour chaque personne, il n'y aurait pas d'épingle pour moi.

Et pourtant, debout derrière son fils, attendant le changement de feu, elle se souvenait qu'au milieu de tout cela, il y avait eu un moment où elle avait ressenti une solitude si profonde qu'une fois, il n'y a pas si longtemps, avoir eu une carie remplie, le doux tour du menton du dentiste avec ses doigts doux lui avait semblé une tendre bonté d'une profondeur presque atroce, et elle avait avalé avec un gémissement de nostalgie, les larmes lui montant aux yeux.

Il a mis le clignoteur, s'est retiré sur l'avenue. "Eh bien, c'était sympa," dit-elle en s'asseyant. Ils se sont amusés ensemble ces jours-ci, ils l'ont vraiment fait. C'était comme si le mariage avait été un repas long et compliqué, et maintenant il y avait ce joli dessert.

Mais que pourriez-vous faire? Continuez seulement. Les gens ont continué; Ils le faisaient depuis des milliers d'années. Vous avez pris la gentillesse offerte, la laissant s'infiltrer aussi loin que possible, et les crevasses sombres restantes que vous avez transportées avec vous, sachant qu'au fil du temps, ils pourraient se transformer en quelque chose de presque supportable.

Il ne la laisserait pas partir. Même si, fixant ses yeux ouverts dans l'eau tourbillonnante remplie de sel, avec le soleil clignotant à chaque vague, il pensait qu'il aimerait que ce moment soit pour toujours: la femme aux cheveux noirs sur le rivage appelant à leur sécurité, la fille qui avait eu Une fois, une corde a sautée comme une reine, le tenant maintenant avec une férocité qui correspondait à la puissance de l'océan - oh, fou, ridicule et inconnaissable! Regardez comment elle voulait vivre, regardez comment elle voulait tenir.

Au moment où ils se garaient sur le parking de l'A&P, l'ambiance s'estompait, le moment était passé. Amy pouvait le sentir partir. Peut-être que ce n'était rien de plus que les deux beignets qui se dilataient dans son estomac plein de lait, mais Amy sentit une lourdeur commencer, un tournant familier d'une certaine marée intérieure. Alors qu'ils roulaient sur le pont, le soleil semblait passer d'un jaune joyeux de jour à un or de début de soirée ; douloureuse comment la lumière dorée frappait les berges, riche et douloureuse, attirant chez Amy un certain désir, une soif de joie.

Je dois faire attention à ce que j'ai ressenti et observé, puis pousser ces réponses à un extrême tout en gardant l'histoire dans le domaine d'être psychologiquement et émotionnellement vrai.

Je ne veux pas vivre dans le Maine à plein temps, mais la beauté physique est très frappante. C'est exactement l'opposé de New York. Lorsque vous vous promenez dans ma petite ville pour prendre une tasse de café, vous rencontrez cinq personnes que vous connaissez.

J'ai toujours été extrêmement intéressé par le droit pénal. Cela va dans un profond intérêt que j'ai dans les prisons et l'élément criminel, et ce que nous faisons en tant que société avec lui. J'ai toujours été touché par l'idée de la criminalité.

Vous savez sûrement qu'au cours d'un long mariage, il n'est pas inhabituel pour un mari ou une femme de développer un béguin pour quelqu'un d'autre.

J'écris pour mon lecteur idéal, pour quelqu'un qui est prêt à prendre le temps, qui est prêt à se perdre dans un nouveau monde, qui est prêt à faire sa part. Mais ensuite, je dois faire ma part et leur donner un son et une voix en quoi ils croient suffisamment pour continuer.

Les intimidateurs ne sont que des gens effrayés.

C'est un travail extrêmement difficile. Oui, j'adore arranger les mots et les faire tomber sur l'oreille dans le bon sens et vous savez que vous n'êtes pas tout à fait là et vous le refaire et le refaire et il y a un merveilleux frisson. Mais c'est difficile.

La clé du contentement était de ne jamais demander pourquoi; Elle avait appris il y a longtemps.

Vous ne pouviez pas vous faire arrêter de ressentir une certaine manière, peu importe ce que l'autre a fait. Tu devais juste attendre. Finalement, le sentiment a disparu parce que d'autres sont arrivés. Ou parfois, il ne s'est pas passé mais s'est fait serrer dans quelque chose de minuscule et a suspendu comme un morceau de guirlande à l'arrière de votre esprit.

Je suis tellement intéressé par ce que ça fait d'être d'autres personnes que je peux opérer sous l'illusion lorsque j'écris de la fiction que je ne révèle pas vraiment beaucoup sur moi-même. Mais, bien sûr, je le suis, et je sais que je le suis. Et pourtant, il y a ce genre de membrane que je travaille pendant que j'écris ma fiction, et j'adore ça.

Chacun de son fils avait été son enfant préféré.

'Pnin' de Vladimir Nabokov, qui est littéralement un petit livre, s'intègre parfaitement dans mon livre de common law. Je m'asseyais en classe et le lisais.

Mes parents étaient très, très, très stricts.

Je me vois vraiment dans tous mes personnages. Afin d'imaginer ce que cela fait d'être une autre personne, je dois utiliser mes propres expériences et réponses au monde.

Avaient-ils su à ces moments d'être tranquillement joyeux? Préférablement pas. Les gens ne savaient pour la plupart pas assez quand ils vivaient la vie qu'ils le vivaient.

Les gens aiment penser que le travail de la jeune génération est de diriger le monde vers l'enfer. Mais ce n'est jamais vrai, n'est-ce pas? Ils sont plein d'espoir et bons - et c'est comme ça que ça devrait être.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Elizabeth_Strout

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