"Terminés les moments fugaces, les petites étincelles de bonheur, j'ai embrassé mon identité à bras-le-corps. "
À tout juste vingt ans, Elliot Page éblouit le monde entier dans le rôle phare de Juno. Ce film lui vaut une nomination aux Oscars et marque le début d'une carrière internationale au cinéma.
Mais, en secret, il souffre d'un mal-être indescriptible qui le ronge et le pousse à réprimer de profondes interrogations sur son identité et sa sexualité. Après avoir passé des années à vivre la vie que l'on attendait de lui, il parvient à poser des mots sur sa dysphorie de genre et entame un parcours de transition.
Dans ce texte sincère et bouleversant, Elliot Page nous raconte le cheminement qui l'a mené à faire son coming out trans. Il nous ouvre aussi les portes d'une industrie hollywoodienne en pleine évolution depuis le mouvement #MeToo. À travers des souvenirs sombres ou joyeux, Elliot Page se livre avec sensibilité et justesse dans cet autoportrait lumineux.

Pageboy

#1 NEW YORK TIMES BESTSELLERINSTANT SUNDAY TIMES BESTSELLER'Singular' Daily Telegraph'Powerful' New York Times'Vital' i'Vivid. Moving. Juicy' NPR'A profoundly talented writer' Elizabeth Day'Raw, harrowing, and often heartbreaking' LA Times'Written by a sensitive soul' GuardianBefore the world premiere of Juno Elliot Page was on the edge of self-discovery. But with Juno's massive success and his dreams coming true, Elliot found himself trapped by the spotlight and the pressure to perform was suffocating him. Until enough was enough. From chasing down secret love affairs to battling body image and working through his difficult childhood, Pageboy is a beautiful, intimate book about searching for ourselves and our place in the world.'An emotional read, delivered in image-drenched prose.' Washington Post'The emergence of our true selves is all of our life's work. Pageboy helps chart the course.' Jamie Lee Curtis'Pageboy is like listening to a friend... Now is an excellent time to read this humanizing and well-written memoir.' Associated Press

Pageboy - A Memoir: The instant Sunday Times bestseller

Pour être en position, à mon âge, où je suis financièrement indépendant, je peux aider à développer des choses, je peux promouvoir des choses auxquelles je crois, je peux dire non beaucoup et passer du temps à écrire - c'est un cadeau.

J'adore les surnoms. Cela me fait sentir aimé. Cela me fait me sentir moins seul dans ce monde.

La production est un moyen de trouver un grand script que personne ne fait, de croire en lui et de faire ce que vous pouvez pour le faire. Cela vous permet de travailler avec vos amis, des gens avec qui vous aimez vraiment faire quelque chose.

Jouer est très physique, même quand ça n'en a pas l'air. Il s'agit de l'arc du langage de votre corps à travers un film.

Lorsque nous grandissons, il y a toutes sortes de gens qui nous disent quoi faire alors que vraiment ce dont nous avons besoin, c'est de l'espace pour déterminer qui être.

J'adore le sport, j'ai grandi en faisant du sport, c'est tout ce que j'ai fait, et c'est tellement revigorant maintenant que je suis soi-disant adulte d'apprendre quelque chose de complètement nouveau, à partir de la base.

Je déteste la façon dont les échecs au box-office sont imputés à une actrice, mais je ne vois pas de défaillance au box-office blâmé aux hommes.

Quand je ressens fortement quelque chose, je ne suis pas si calme.

Je prends toujours le temps de bien manger et de manger localement parce que c'est du bon sens.

J'avais peut-être 10 ou 11 ans quand j'ai vu «Titanic». Et, oui, j'étais fan. Je l'ai aimé.

Les gens me demandent si je suis soucieux de me faire pigeonner. Personne ne demande: «Ellen, vous avez fait sept rôles consécutifs consécutifs. Ne devriez-vous pas le secouer, faire quelque chose de queer? Il y a toujours ce double standard.

Je suis un grand fan du programme «Democracy Now», qui est hébergé par Amy Goodman, et je m'abonne au podcast.

La mode signifiait autrefois des robes et des talons, et je ne savais pas pourquoi je voudrais être habillé de cette façon. Maintenant, je me dis: "Oh mon Dieu, ces bottes Saint Laurent!" Ce ne sont pas des mots que je pensais que je dirais jamais. Un beau costume est sympa. Je reçois la mode maintenant. En fait, j'adore ça.

Ouais, les gens me suivent dans la rue et à l'aéroport et tout ça. Je ne peux pas imaginer ce que cela doit être pour les gens qui sont, vous savez, vraiment célèbres.

Je pense à ceux qui sont tellement moins chanceux que moi tout le temps. Je suis sorti aux gens qui applaudissent et une avant-garde de soutien. Et la réalité est que, pour beaucoup de gens, ils sont expulsés de chez eux ou sont confrontés à la violence.

Et j'ai tourné dans les hivers de l'Île-du-Prince-Édouard, je veux dire, j'ai tourné dans des températures intenses et intenses.

En fait, je ne peux pas regarder le sang et le gore et toutes ces choses. Je regarde les émissions de Netflix avec ma main sur mon visage, comme, jetant un coup d'œil. Ce qui est drôle, parce que je suis sur les plateaux tout le temps, et je sais comment ces effets sont effectués.

Je n'ai pas vraiment joué à Dress Up quand j'étais enfant, et je suis vraiment des t-shirts et des jeans-y.

Je pense que la voiture intelligente est géniale. Le seul problème est que j'ai été sur l'autoroute et que j'avais l'impression d'être époustouflé comme une tasse de café Tim Hortons, donc je devrai peut-être passer à une mini Cooper - quelque chose d'un peu plus fort.

Les conversations créent un changement. Il est facile d'appeler quelqu'un «ennemi», mais il y a plus, non?

J'espère vraiment que nous aurons un avenir durable sur cette planète, je le fais vraiment. Donc, je mets probablement surtout en savoir plus sur la façon dont nous pourrons potentiellement que cela se produise, j'espère que nous ne sommes pas trop loin.

Je pense que, parce que je travaille depuis un certain temps, je travaille depuis que j'ai dix ans, j'ai eu la chance de lire beaucoup, beaucoup de scripts.

En tant que fille, vous êtes censée aimer la Belle au bois dormant. Je veux dire, qui veut aimer la Belle au bois dormant quand on peut être Aladdin ?

Ce que je dirais que vous obtenez le plus de haine sur les réseaux sociaux, selon mon expérience, c'est si vous tweetez quelque chose sur les droits des femmes ou le féminisme. C'est impressionnant. Mais c'est l'idée de ne pas être une féministe qui me souffle réellement.

Je ne suis pas doué pour regarder des trucs dans lesquels je suis du tout. Je devrais m'arrêter. Je ne devrais pas regarder quelque chose pour la première fois avec une pièce pleine de gens à Sundance. Ce n'est pas une bonne idée.

J'adore L.A. Je suis une pom-pom girl à part entière.

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