Eric Fellner, né le 10 octobre 1959, est un producteur britannique de cinéma. Conjointement avec Tim Bevan, il est co-président de la société de production Working Title Films.

Avons-nous de bons écrivains, producteurs et acteurs au Royaume-Uni? Oui.

Lorsque vous regardez un film Coen Brothers, il est toujours si certain de ce qu'il essaie de dépeindre. C'est leur force. À la minute où ils écrivent un mot, ils savent à quoi cela ressemblera à l'écran. Ils sont très déterminés, sans aucune sorte d'erreurs.

En termes de rassemblement, pas de problèmes. Vous savez, le seul problème est toujours juste le prix. Nos ambitions à mesure que nous vieillissons, nous tous, est d'essayer de faire plus.

Je pense que ce serait une bonne chose dans la communauté créative s'il y avait moins d'embarras de ce mot «commercial» parce que c'est ainsi que vous faites une entreprise.

Le film n'est pas une entreprise nationale. C'est international. Et son centre sera toujours Hollywood.

Donc, pour moi, ça change, mais ça va. Il continue de tourner en rond et en rond. Donc, si vous avez la longévité, vous avez la croyance et que vous avez les ressources nécessaires pour y garder, vous ignorez tout cela et continuez à aller là où vous vous trouvez.

Mis à part «lapidé», je ne peux pas penser à un film qui m'a fait penser: «Blimey, qui aurait dû être à Cannes».

Je pense que tout le monde va vraiment essayer de réduire les coûts. Plus vous maintenez des coûts, plus vous avez de liberté de manière créative. Je peux protéger mes cinéastes de toute forme d'interférence créative, que ce soit de n'importe où, si nous agissons tous de manière responsable et que la douleur d'un échec soit le moins possible.

Ma théorie est que je ne sais pas combien de temps il sera cinq ou dix ans, il n'y aura que deux façons de voir un film et ce sera soit sur votre ordinateur via votre écran de télévision ou dans le cinéma, fin de l'histoire . Il n'y aura pas de DVD, c'est tout, simple.

Le Royaume-Uni a besoin de plus d'espace de studio de première classe pour encourager la croissance du secteur du cinéma et de la télévision.

Cela peut sembler une petite chose, mais si vous voulez faire entrer Tom dans votre film, sans antécédents ou sans que ces agents ne vous connaissent, c'est presque impossible. Maintenant, je peux passer à presque tous ceux que je veux. Bien sûr, 90% du temps, ils disent toujours non.

"Billy Elliot" se targue d'être une émission familiale, et il était logique de s'adresser spécifiquement à un public familial avec un temps de rideau plus tôt le soir.

Je suis un optimiste aveugle quand je suis entré dans les choses.

Avec «Anna Karenina», je pense juste que c'est un magnifique tour de force visuel pour un réalisateur qui est au sommet de son jeu.

Quelqu'un doit investir dans la création des films du futur.

C'est fantastique de voir que les «Les Misérables» devenir le film le plus rentable au Box Office du Royaume-Uni.

Oh, imdb, ouais; Il y a quelques choses là-bas qui sont la télévision, ce ne sont pas des films, certaines choses qu'ils pensent que nous avons fait que nous n'avons pas fait. Il y a quelques inexactitudes là-dedans. C'est terrifiant cependant, non?

Vous pouvez vous être emporté par une comédie musicale, mais les véritables larmes sont rares.

S'il y a un film britannique sur le marché qui réussit sur le plan mondial - que ce soit une «salle avec vue», quatre mariages »ou« le Monty complet »- l'argent suit, et tout le monde essaie d'imiter ce succès.

Plus vous maintenez des coûts, plus vous avez de liberté de manière créative.

Je pense que Cannes est généralement assez juste pour choisir ce qui jouera bien pour la foule du festival à domicile.

Pour moi, je ne peux pas vous dire si le film est bon ou mauvais, tout ce que je peux dire, c'est pour moi que le film est bien meilleur que je ne m'attendais à ce que nous puissions faire. Donc pour moi, c'est la chose la plus importante. Avons-nous dépassé notre rêve en termes de ce qu'il pourrait être?

Il y a toujours cette possibilité. Mais, cela prendrait beaucoup de travail. Parce que contrairement à un film où il vous suffit de faire un petit ADR, puis un mélange, nous devons en fait ramener l'orchestre parce qu'il y a de la musique, comme vous l'avez probablement remarqué, tout comme le film, vous devez donc orchestrer tout de ce temps supplémentaire.

Ensuite, quelque chose échoue et ils sont tous à nouveau sortis, mais les revenus de DVD disparaissent, vous savez, il ne disparaît pas, mais il sort d'une falaise et ce que cela a fait est qu'il est polarisé l'industrie d'une manière que je n'ai jamais vue auparavant où les studios font moins, ils bifurquaient leurs choix où ils vont très, très grands, soit ils ne font que prendre quelques droits sur une base d'acquisition ou de faire de très petites choses.

Mike Leigh et Ken Loach sont les gens que je regarde. Ce sont des cinéastes de qualité qui font des films intéressants et controversés et révolutionnaires avec très peu d'œil sur le marché.

Les changements se produisent régulièrement, mais c'est comme un cycle. Donc, les choses entrent et sortent de Vogue, puis cinq ans plus tard, ils sont de retour en vogue. Ou il semble y avoir une théorie selon laquelle c'est ainsi que l'industrie ira et que tout le monde passe dans cette direction et puis quelque chose arrive au pays et que vous êtes de retour à l'endroit où vous étiez.

Ce terrain d'entente des films était de 70, 80, 90, 100; Maintenant, c'est comme quelque chose de plus de 20 ans ou moins de 140, le terrain d'entente est devenu cette zone immense où ils ne veulent pas vraiment être.

Mais dans le premier, ces plateaux de cinéma sur lesquels vous avez été comme ça, même si ce sont d'énormes films et que la plupart sont dépensés par la suite, je pense que c'est ainsi que nous allons.

Ma théorie est que je ne sais pas combien de temps il va durer, cinq ou dix ans, il n'y aura que deux façons de voir un film, et ce sera soit sur votre ordinateur via votre écran de télévision ou au cinéma, fin de l'histoire. Il n'y aura pas de DVD; C'est tout - simple.

Il y a tellement de concurrence pour le temps de loisirs, plus que jamais.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Eric_Fellner

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