Ivan illich et l art de vivre

L'Africa è il luogo per eccellenza della presunzione europea e in particolare italiana. Da "aiutiamoli a casa loro", a "ricacciamoli a casa loro", dal becerismo salviniano alla France-Afrique, al buonismo veltroniano, alla retorica degli aiuti, quello che prevale è la totale ignoranza di un mondo che non è solo un serbatoio di potenziali invasori o il luogo di residenza dei miserabili della terra. L'Africa è un continente vasto, moderno e antichissimo di cui continuiamo a ignorare abitanti e geografia facendo finta di sapere ma che non siamo mai andati a vedere di persona. Una ricerca sulla sostenibilità alimentare in Kenya, Tanzania e Sudafrica vi ha spinto Franco La Cecla. In questo diario di campo, tramite l'amicizia con un personaggio singolare, l'autore racconta quello che capisce e che non capisce. Soprattutto si accorge che esiste una "Africa loro" che per un bianco europeo è problematico cogliere nella sua interezza. L'Africa è un luogo intenso e nuovissimo per il nostro sguardo così abituato ad accontentarsi di stereotipi.

Africa loro - Viaggio lungo un continente

Contre l’architecture est une charge érudite contre l'esprit dans lequel travaillent les grands
architectes. A travers une multitude d'exemples, New York, Tirana, Barcelone, ou encore Paris et
ses banlieues, l'auteur stigmatise les fourvoiements d'une profession qui, selon lui, a dénaturé sa
fonction. L'architecture est devenue un jeu formel où l'on a perdu de vue le bien public, ce qui est
désastreux pour la ville et ses habitants. Franco La Cecla s’insurge contre la transformation des villes en « marques » labellisées, et insiste sur la nécessité de repenser l’espace urbain et les pratiques architecturales afin de protéger et d’améliorer nos conditions de vie. La crise des banlieues, la détérioration de l'environnement, l'épuisement des ressources, tout devrait nous pousser à réagir pour éviter que nos villes deviennent inhabitables.

Contre l'architecture

"Il generale in pensione" scuote come un terremoto il Vietnam quando nel 1987 appare sulla rivista Van Nghe. Nguyên Huy Thiêp descrive in modo implacabile lo smarrimento dell'eroe di guerra che, rientrato a casa dopo molti anni trascorsi al fronte, si confronta con una realtà del quotidiano antitetica a quella pregna degli ideali rivoluzionari propagandati dalla dirigenza di Hanoi. Il potere politico isola Nguyên Huy Thiêp e lo censura, il direttore della rivista è costretto alle dimissioni, gli editori locali si rifiutano di pubblicarlo, i vietnamiti colgono la drammatica frattura che sta incrinando la società civile: il dolore della trasformazione sociale che non ha valori nuovi su cui basarsi, afferma lo scrittore. I giovani scoprono nei suoi scritti l'audacia di uno spirito indipendente che critica il vecchio dogmatismo ideologico. Negli altri racconti presenti nel libro, Nguyên Huy Thiêp si fa portavoce delle tradizioni culturali e religiose delle minoranze etniche delle regioni del Nord al confine con Laos e Cina presso cui ha insegnato per molti anni, popolazioni alle quali il governo centrale negava, anche con azioni violente, ogni possibilità di sviluppo autonomo. Ulteriore motivo che indusse il potere politico a considerarlo un 'dissidente'. Thiep ricorre a una prosa priva del minimo compiacimento e di chiavi interpretative, utilizzando con grande talento il linguaggio del quotidiano. L'AUTORENguyên Huy Thiêp è considerato il più significativo scrittore vietnamita contemporaneo. Nato nel 1950 in un villaggio alla periferia di Hanoi, frequenta le scuole cattoliche sebbene di madre buddista e nonno confuciano. Laureato in Storia all'Università di Hanoi, fino al 1980 insegna nelle scuole della regione montagnosa al confine con il Laos. Rientrato ad Hanoi fa l'illustratore di testi scolastici per il Ministero dell'Educazione sino al 1986, quando inizia a pubblicare i suoi racconti. I suoi scritti provocano scandalo, gli editori lo rifiutano, il potere politico lo isola. Oggi è riconosciuto in patria e tradotto con successo in altri paesi. Ospite nel 2005 del Festivaletteratura di Mantova, è vincitore del Premio Nonino Risit d'Âur 2008. Franco La Cecla, antropologo, architetto e docente universitario. Ha affrontato il tema dell'organizzazione dello spazio contemporaneo tra luoghi e "non-luoghi", occupandosi delle soglie e dei confini tra le culture. Più volte in Vietnam, ha conosciuto Nguyên Huy Thiêp e la sua opera.

Soffi di vento sul Vietnam. Il generale in pensione e altri racconti

Contre l'architecture est une charge érudite contre l'esprit dans lequel travaillent actuellement les grands architectes. A travers une multitude d'exemples - New York, Tirana, Barcelone, ou encore Paris et ses banlieues -, l'auteur stigmatise les fourvoiements d'une profession qui, selon lui, a dénaturé sa fonction. L'architecture est devenue un jeu formel où l'on a perdu de vue le bien public, ce qui est désastreux pour la ville et ses habitants. Franco La Cecla s'insurge contre la transformation des villes en marques " labellisées, et insiste sur la nécessité de repenser l'espace urbain et les pratiques architecturales afin de protéger et d'améliorer nos conditions de vie. La crise des banlieues, la détérioration de l'environnement, l'épuisement des ressources, tout devrait nous pousser à réagir pour éviter que nos villes deviennent inhabitables.

Ce qui fait un homme ? Beaucoup, beaucoup d'efforts... Pourtant, ce long cheminement est un parcours ignoré par les sciences humaines. En refusant l'approche des études féministes qui ne veulent voir la masculinité qu'à travers le spectre du machisme, Franco La Cecla donne à l'identité masculine sa vraie dimension culturelle. " Est-ce mal de dire que grandir comme un petit garçon signifie apprendre, par des signes extérieurs et intérieurs, que quelque chose se développe en soi qui prend corps, qui se forme, qui, sous le regard d'autres hommes ou d'autres femmes, devient un corps masculin [...] Je me " découvre " homme, avec tout l'embarras, l'incompétence, le découragement et la crânerie que cela implique. "

Ce Qui Fait Un Homme - Occasion

" Nous vivons une époque qui se drogue à l'évidence et à la transparence. On nous invite à "communiquer", comme si nous savions une fois pour toutes qui nous sommes et qui sont nos interlocuteurs, à respecter les différences ou à les condamner, comme si nous en connaissions le tracé exact - celui qui délimiterait du même coup notre propre territoire. Le plus important, à mon sens, dans l'essai magnifique de virtuosité et de culture que nous propose La Cecla, c'est son rejet de ce qu'à une autre époque on aurait appelé l'idéologie dominante. Sa subtile analyse de la notion de frontière (et les nuances éclairantes qu'il apporte à celle de ghetto, ne la confondant pas avec les phénomènes de "ghettoïsation" qui caractérisent certaines banlieues), sa relecture des théoriciens du syncrétisme, puis de le créolité, la distance qu'il prend vis-à-vis des illusions de la communication médiatique (qui sert à beaucoup de choses, mais pas à la rencontre) nous révèlent un auteur qui ose s'engager (Je tiens à ce terme, dut-il créer quelque... malentendu) avec détermination, lucidité et humour dans les complexités buissonnantes et les simplismes pervers du monde contemporain. " Marc Augé

Le Malentendu

Franco La Cecla (né en 1950 à Palerme) est un anthropologue italien.

La masculinité, tout comme la féminité, est un  savoir voir, une manière de remarquer une partie du monde qui échappe à l'autre.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Franco_La_Cecla

Ses oeuvres

Ses derniers livres