Oscar Wilde was a friend of mine for many years: I could not help prizing him to the very end: he was always to me a charming, soul-animating influence. He was dreadfully punished by men utterly his inferiors: ruined, outlawed, persecuted till Death itself came as a deliverance. His sentence impeaches his judges. The whole story is charged with tragic pathos and unforgettable lessons. I have waited for more than ten years hoping that some one would write about him in this spirit and leave me free to do other things, but nothing such as I propose has yet appeared.

Life and Confessions of Oscar Wilde

À Kansas City, en cette fin de 19e siècle, tout le monde connaît le grand magasin Boulger, dont le fronton arbore fièrement le nom de son propriétaire. Pourtant, chaque jour la concurrence se fait plus rude et, quand survient un ralentissement des affaires, la faillite menace l’entreprise jusqu’ici prospère. Que faire pour éviter la ruine ? Et si, par un malheureux coup du sort, le magasin était ravagé par le feu ? Il suffirait alors d’empocher les primes d’assurance avant de repartir sur de nouvelles bases avec un bon pactole en poche. Mais pour cela, Boulger a besoin d’un complice. Or, qui mieux que le jeune Tryon, cet employé avide de réussite, calculateur et amoureux de la fille du patron, pourrait se charger de la basse besogne ? Cependant, lorsque le plan mûrement réfléchi est enfin mis à exécution, les événements vont prendre une tournure pour le moins inattendue.Avec une ironie mordante, Frank Harris dresse le portrait implacable de deux hommes, l’un vaniteux, l’autre ambitieux, prêts à tout pour arriver à leurs fins, et d’une société prompte à célébrer des héros là où il n’y a que des hommes ordinaires motivés par leurs intérêts.

pertes et profits

Qui était Oscar Wilde ?

« Je l'ai connu pendant près de vingt ans, intimement, depuis l'université jusqu'à sa mort. Je l'ai vu au temps des luttes de ses débuts, puis soulevé par la vague culminante du succès pour s'effondrer l'instant d'après dans l'abîme de la haine et du mépris populaires. Je l'ai visité dans sa prison, j'ai partagé ses joies quand il fut libre. Je l'aimais du commencement à la fin, comme nous autres, mortels, pouvons aimer, avec des interludes de vaines colères et de désaccords passagers, mais somme toute, avec une admiration enthousiaste et une affection constante. » Frank Harris fait ici le portrait d'un artiste d'exception, causeur érudit à l'humour décapant et à la voix ensorcelante, dandy extravagant dont la flamboyance fascine et agace, auteur brillant de textes drôles et satiriques tout comme d'ouvres à la beauté profonde et douloureuse. Mais sous le regard à la fois critique et admiratif de Harris, Oscar Wilde apparaît aussi dans toute sa complexité, ses ambiguïtés, ses faiblesses : un homme victime de ses passions et d'une société dont Harris fustige le puritanisme, l'étroitesse d'esprit et l'injustice.

La vie et les confessions d'Oscar Wilde

Prison of Pain!

The innocent are imprisoned on Welfare Island, and are forced to kiss the whip and genitals of their male and female captors. The perverse sexual violation of the innocent, the extremely cruel torture administered by insanely sadistic captors, the amusement of those who find spanking, whipping, humiliation, sex-torture and forced sex acts amusing. This is a portrayal of prison life at its very worst--a system kept alive by the perverted gentry and public indifference.

This, the first of two volumes, is as frank and damning an indictment of law enforcement and punishment as the law itself will allow.

Illustrated.

Slaves of Welfare Island, VI

Culled from an unfinished Frank Harris manuscript by Maurice Girodias (with help from Alexander Trocchi), this latest title in the series offers more of Harris' epic life and erotic adventures, with a measure of sexing up that Girodias himself attempts to justify in the preface. The work is subtitled: "An Irreverent Treatment, " while in later editions, Girodias renamed the work "What Frank Harris Did Not Say." There are some who feel Trocchi wrote a better Autobiography than Harris himself did.

My Life and Loves, v5 - An Irreverent Treatment

Volume IV, and last of the versions that Harris had final say on. Begins with a piece on how Harris first came to write, goes at length into discussions with lesbians, and some orgies Frank had in San Remo. Stunning conclusion, as it were, to Harris' work.

My Life and Loves, v4

Volume III of the series, published in 1927, offers Harris and his account of time with the rich and powerful. Some of this story might even be true. There are still numerous women, and one or two bad marriages.

My Life and Loves, v3

Volume II of the series begins with Harris in Russia, and serves as prima facie evidence for anyone who believes Harris was the model for Harry Flashman. However this book, longest by far of the series, delves into Harris' days in London Society, where his position as renowned editor gave him a front-row seat before many of the greats of the period. Still has tons of sex, but a bit less than the first installment.

My Life and Loves, v2

Je suis vraiment un grand écrivain; Ma seule difficulté est de trouver de grands lecteurs.

Les églises chrétiennes se sont vu offrir deux choses: l'esprit de Jésus et la moralité idiote de Paul, et ils ont rejeté l'inspiration plus élevée ... Suivant Paul, nous avons transformé la bonté de l'amour en démon et dégradé l'impulsion couronnante de notre être en étant un péché capital.

Il y a un destin qui façonne nos extrémités rugueuses, les avons-les comme nous le ferons.

Les mémoires sont une forme de fiction bien connue.

Des gens forts sont faits par l'opposition comme des cerfs-volants qui se heurtent au vent.

Tous les défauts de l'époque proviennent du christianisme et du journalisme. Le christianisme, bien sûr, mais pourquoi le journalisme?

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