- Oui ou non, Dasha. Un simple oui ou non. Oui, elle démissionnerait, elle renoncerait à cette carrière fulgurante, au sein du plus grand cabinet juridique new-yorkais. Et elle retrouverait une vie plus normale d'épouse et de mère. Non. Pourquoi toujours aux femmes les sacrifices ? Jordan ne voulait plus être « M. Dasha Croy ». Fort bien, mais elle, alors ? Devrait-elle redevenir « Mme Jordan Croy », qui faisait des petits plats, et accueillait son mari d'un sourire quand il rentrait du bureau ? Après tant de luttes, tant d'efforts pour devenir ce qu'elle était aujourd'hui ? Dasha devait choisir. Entre le confort et le défi. Entre Jordan et Frank. Entre une existence douillette, gravitant autour des hommes, définie par les hommes, pour les hommes, dont les valeurs reposaient sur la solidité du mariage, de la famille, et une autre plus stimulante, angoissante, où elle vivrait à la hauteur de ses ambitions, prendrait la vie à pleines mains, et tirerait d'elle-même tout ce qu'elle pouvait... À qui devait-elle ses premières obligations ? À sa famille, ou à elle-même ? Dasha se trouvait bel et bien à la croisée des chemins...

La croisée des chemins

A l'université elles échangeaient des confidences, des flirts et des boucles d'oreilles... Dix ans plus tard, elles sont toujours amies. Quatre femmes terriblement séduisantes... Trois d'entre elles ont brillamment réussi leur vie professionnelle. Seule Rosemary a renoncé à sa carrière pour épouser l'homme de sa vie.
Afin d'aider ses amies à trouver l'âme sœur, elle organise un étrange concours : la première qui se fera passer la bague au doigt aura gagné... Rendez-vous à l'autel. La chasse au mari est ouverte ! Tous les coups sont permis et la compétition sera rude...

La bague au doigt - Occasion

À la fin des années 1600, les meilleurs instruments provenaient de trois familles rurales dont les ateliers étaient côte à côte dans le village italien de Cremona. Les Amatis ont d'abord été les Amatis, et à l'extérieur de leur magasin, était accroché à un panneau: "Les meilleurs violons de toute l'Italie." Pour ne pas être en reste, leurs voisins de côté, la famille Guarnerius, ont accroché un panneau plus audacieux proclamant: "Les meilleurs violons du monde entier!" Au bout de la rue se trouvait l'atelier d'Anton Stradivarius, et sur sa porte d'entrée était un simple avis qui disait: "Les meilleurs violons du bloc".

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