A towering classic of Russian literature, Fyodor Dostoevsky's Crime and Punishment is a compelling story of a brutal double murder and its aftermath. Part of the Macmillan Collector's Library; a series of stunning, pocket-sized classics bound in real cloth with gold foiled edges and ribbon markers. These beautiful books make perfect gifts or a treat for any book lover. An impoverished ex-student, Rodion Raskolnikov, kills a pawnbroker and her sister, apparently for financial gain. But as he encounters friends and family, strangers and adversaries, Raskolnikov is compelled to face the true forces that have led him to murder. His struggle with himself and those around him becomes a battle of the individual against society, radicalism against tradition, and ultimately the will of man against the mysteries of divine providence. A sensation in its day, Crime and Punishment has left an indelible stamp on the world of literature. This beautiful Macmillan Collector's Library edition of Crime and Punishment is translated from the Russian by Constance Garnett, with an afterword by Oliver Francis. Complete and unabridged.

Crime and Punishment

A troubled young man commits the perfect crime - the murder of a vile pawnbroker whom no one will miss. Raskolnikov is desperate for money, but convinces himself that his motive for the murder is to benefit mankind. So begins one of the greatest novels ever written, a journey into the criminal mind, a police thriller, and a philosophical meditation on morality and redemption.

Crime and punishment

Dostoevsky's last and greatest novel, The Karamazov Brothers (1880),is both a brilliantly told crime story and a passionate philosophical debate.  the dissolute landowner Fyodor Pavlovich Karamazov is murdered; his sons - the atheist intellectual Ivan, the hot-blooded Dmitry, and the saintly novice Alyosha - are all at som elevel involved.
  
Bound up with this intense family drama is Dostoevsky's exploration of many deeply felt ideas about the existence of God, the question of human freedom, the collective nature of guilt, the disastrous consequences of rationalism.  The novel is also richly comic: the Russiam Orthodox Church, the legal system, and even the author's most cherished causes and beliefs are presented with a note of irreverence, so that orthodoxy and radicalism, sanity and madness, love and hatred, right and wrong are no longer mutually exclusive. Rebecca West considered it "the allegory for the world's maturity", but with children to the fore.  This new translation does full justice to Dostoevsky's genius, particularly in the use of the spoken word, which ranges over every mode of human expression. the disastrous consequences of rationalism.  The novel is also richly comic; the Russian Orthodox Church, the legal system, and even the author's most cherished characters and causes are presented in an irreverent light, so that there appears no sharp distinction between health and disease or right or wrong.

The karamazov brothers

Supposons, Gentleman, cet homme n'est pas stupide.

Les lamentations ne réconfortent qu'en lacérant le cœur encore plus. Un tel chagrin ne désire pas la consolation. Il se nourrit du sens de son désespoir. Les lamentations ne jaillissent que de l'envie constante de rouvrir la plaie.

Je sais que vous ne le croyez pas, mais en effet, la vie vous apportera. Vous vivrez dans le temps. Ce dont vous avez besoin maintenant, c'est de l'air frais, de l'air frais, de l'air frais!

La civilisation développe simplement la capacité de l'homme pour une plus grande variété de sensations, et ... absolument rien d'autre.

Si tout sur terre était rationnel, rien ne se passerait.

Chaque homme a des réminiscences qu'il ne dirait pas à tout le monde, mais seulement à ses amis.

La perpétration d'un crime s'accompagne d'une maladie!

Je suis fortement convaincu que non seulement trop de conscience mais même toute conscience est une maladie.

Je suis seul, pensais-je, et ils sont tout le monde.

Seul le cœur sait trouver ce qui est précieux.

La vie est en nous et non dans l'extérieur.

Ils ne me laisseront pas ... je ne peux pas être ... bien!

Mes sentiments, ma gratitude, par exemple, me sont refusés simplement à cause de ma position sociale.

Les hommes vraiment formidables doivent, je pense, éprouver une grande douleur sur la terre.

Aimer quelqu'un signifie le voir comme Dieu le voulait.

La formule «Two et Two Make Five» n'est pas sans ses attractions.

Peut-être que je me considère vraiment comme un homme intelligent uniquement parce que tout au long de ma vie, je n'ai jamais pu commencer ou terminer quoi que ce soit.

Il faut d'abord apprendre à se vivre avant de blâmer les autres.

Car s'il n'y a pas de Dieu éternel, il n'y a pas de vertu, et il n'y en a pas besoin.

La compassion est la principale loi de l'existence humaine.

Tuer quelqu'un pour avoir commis un meurtre est une punition incomparablement pire que le crime lui-même. Le meurtre par peine juridique est incommensurablement plus terrible que le meurtre par les brigands.

Quelle est la belle vie quand on fait quelque chose de bien et juste!

Vous êtes un homme encore jeune, donc dire dans votre premier jeune et mettez donc l'intellect au-dessus de tout.

Combien d'idées y a-t-il eu dans l'histoire de l'homme qui était impensable dix ans avant leur apparition?

Vous brûlerez et vous vous épuiserez; Vous serez guéri et reviendrez.

Ce ne sont pas des miracles qui génèrent la foi, mais la foi qui génère des miracles.

Vous n'avez pas besoin de libre arbitre pour déterminer que deux fois deux est quatre. Ce n'est pas ce que j'appelle le libre arbitre

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