OBJECT ORIENTED COMPUTER SYSTEMS ENGINEERING. - Edition en anglais

Penser en contexte - Le phénomène de l'indexicalité

The Varieties Of Reference

Le week-end de mon père, le week-end, en tant qu'enfant, serait de me procurer le dernier Jackie Chan ou un vieux classique de Bruce Lee de la camionnette de location vidéo quand il est venu dans notre rue - je ne pouvais pas en avoir assez.

Si vous regardez «Armor of God» et «Police Story», il y a une clarté dans l'édition et la prise de vue qui présentent des moments de la chorégraphie.

Chaque art martial partage des choses similaires. Il n'y a que tant de façons de lancer un coup de poing et un coup de pied, mais la façon dont vous l'emballez, la façon dont vous la présentez ... c'est ce qui rend chacun unique.

J'aime regarder des films de super-héros.

Je ne suis généralement pas un grand fan de tirs POV. Je les trouve assez distrayants; Ils vous retirent de l'histoire que vous racontez.

Beaucoup d'acteurs en Indonésie, ils finissent par prendre beaucoup de travail à la télévision parce que le travail du film n'est pas vraiment l'essentiel ici, c'est surtout la télévision et la télévision ici en quelque sorte.

Je pense que beaucoup de gens sont devenus assez privés avec des films d'action, surtout lorsqu'ils cachent la chorégraphie avec des coupes rapides et des gros plans.

Une bonne action devrait vous dire des choses sur vos personnages.

J'ai connu beaucoup d'arts martiaux différents avant de connaître Silat.

Il y a beaucoup de gens dans le monde qui sont très bons en arts martiaux, mais cela ne fait pas d'eux de bons combattants d'écran. Ce sont presque deux disciplines différentes.

J'avais toujours voulu être dans l'industrie cinématographique au Royaume-Uni, mais je ne me suis pas vraiment poussé à me remarquer.

Des films comme «True Romance» et «The Last Boy Scout» sont restés avec moi depuis que je les ai vus quand j'étais jeune, sur tous les formats différents.

J'ai certainement été influencé par Shane Black parce que j'adore le travail de Shane Black de toute façon.

La seule chose que j'ai toujours aimée chez Jackie Chan dans ses films - et que j'ai beaucoup lié - était le fait qu'ils rendent ses héros vulnérables.

J'adore une séquence d'action qui ne concerne pas seulement les montagnes russes, mais une séquence qui permet à la narration de passer.

Je ne voulais pas être, comme «le gars de l'action». Non pas que ce soit une mauvaise chose, c'était juste que je savais que je voulais m'essayer dans différentes choses.

J'ai tendance à graviter vers les sitcoms plus et les documentaires.

Fondamentalement, en ce qui concerne «l'apôtre», il y avait un certain nombre de facteurs qui m'ont amené à le faire.

Toute ma consommation de films quand j'étais enfant était en VHS. J'ai vu des films dans le mauvais rapport hauteur/largeur, avec un son mono, sur un petit téléviseur carré, avec un haut-parleur latéral épouvantable, et j'étais encore totalement immergé dans des films comme "Evil Dead 2" et "Le Parrain".

La chose la plus intéressante à propos de l'horreur et des thrillers est quand il y a quelque chose de plus profond dans le sous-texte du film.

Grandir soit des cours, soit regarder des films que je connaissais, bien sûr, sur le kung fu, le karaté, l'Aikido, le Muay Thai ... mais la première fois que j'ai vu Silat, c'était quand je travaillais sur ce documentaire - la première fois que je l'ai correctement vu . J'ai été frappé par le fait qu'il semble si différent des autres arts martiaux.

John Woo, Jackie Chan et Sam Peckinpah m'inspirent.

Je veux m'assurer que tout ce que je fais est la bonne chose et quelque chose en laquelle je crois.

Pour moi, «le raid» était l'horreur de survie. Il y avait des éléments de thriller, des éléments de tension, des coups de feu, des arts martiaux et une action - jeter toutes ces choses ensemble et voir si elles peuvent bien s'adapter. Toutes ces choses ont joué un rôle.

Faire de longs coups, peu importe à quel point le combattant est bon, la fatigue s'installe et les erreurs surgissent.

Dans un film typique d'arts martiaux, vous avez un coup de héros: un gros angle serré du héros en regardant au-delà de la caméra, juste avant de vaincre l'adversaire. C'est cool, mais ce n'est pas mon truc. Je n'aime pas la posture.

J'aime vraiment les films «Bourne», mais le style d'édition pendant les scènes d'action a été exagéré.

Je préfère les films Jackie Chan aux films de Bruce Lee.

Il y a des moments dans «The Raid 2» où je voulais utiliser la caméra pour remettre en question la violence à l'écran.

J'ai regardé tellement de spectacles où j'ai été époustouflé.

Ses oeuvres

Ses derniers livres