Après le succès phénoménal de City on Fire, la redécouverte du premier ouvrage de Garth Risk Hallberg. Une étude étonnante sur les moeurs de la famille américaine.
Depuis des années, les Hungate et les Harrison coexistent pacifiquement dans une banlieue de New York. Ils se croisent à des barbecues le printemps venu, se réjouissent intérieurement d'être épargnés par l'ombre du divorce ou de la crise d'adolescence, applaudissent aux spectacles de fin d'année de leurs enfants. Mais lorsque le père d'une des familles décède, les survivants doivent faire face à la rude réalité.
 À travers soixante-trois entrées abondamment illustrées, cet ouvrage chronique les émotions et les événements qui, de l'enfance à l'âge adulte, jalonnent la vie de ses personnages. Qu'on le lise de manière linéaire ou aléatoire, en se laissant guider par les photographies et leurs légendes,
 cet abécédaire révèle, tel un bestiaire, l'âme de cette espèce étrange mais tellement universelle : les habitants des banlieues américaines.
" L'un des mérites remarquables de Garth Risk Hallberg est de [...] parvenir à une tonalité, un regard, une voix qui lui sont propres. " Télérama

Vies et moeurs des familles d'Amérique du Nord

Depuis des années, les Hungate et les Harrison coexistent pacifiquement dans une banlieue de New York. Ils se croisent à des barbecues le printemps venu, se réjouissent intérieurement d'être épargnés par l'ombre du divorce ou de la crise d'adolescence, applaudissent aux spectacles de fin d'année de leurs enfants. Mais lorsque le père d'une des familles décède, les survivants doivent faire face à la rude réalité. À travers soixante-trois entrées abondamment illustrées, cet ouvrage chronique les émotions et les événements qui, de l'enfance à l'âge adulte, jalonnent la vie de ses personnages. Qu'on le lise de manière linéaire ou aléatoire, en se laissant guider par les photographies et leurs légendes, cet abécédaire révèle, tel un bestiaire, l'âme de cette espèce étrange mais tellement universelle : les habitants des banlieues américaines. " L'un des mérites remarquables de Garth Risk Hallberg est de [...] parvenir à une tonalité, un regard, une voix qui lui sont propres. " Télérama

31 décembre 1976. New York se prépare pour le réveillon. Chez les Hamilton-Sweeney, Felicia accueille financiers et mondains tandis qu’à l’autre bout de la ville, dans le Lower East Side, Charlie attend Samantha pour assister à un concert punk. À quelques encablures de là, dans Hell’s Kitchen, Mercer Goodman tourne et retourne un délicat carton d’invitation. Et s’il se rendait à la réception des Hamilton-Sweeney pour retrouver Regan, cette sœur que William, son amant, lui a toujours cachée ? Bientôt, des coups de feu retentissent dans Central Park. Une ombre s’écroule dans la neige.Comment ces personnages sont-ils tous reliés à ce drame ? Alors que rien ne les prédestinait à se rencontrer, leurs histoires ne vont cesser de se croiser jusqu’au blackout du 13 juillet 1977 à New York.

City on Fire

31 décembre 1976. New York se prépare pour le réveillon. Chez les Hamilton-Sweeney, Felicia accueille financiers et mondains tandis qu'à l'autre bout de la ville, dans le Lower East Side, Charlie attend Samantha pour assister à un concert punk. À quelques encablures de là, dans Hell's Kitchen, Mercer Goodman tourne et retourne un délicat carton d'invitation. Et s'il se rendait à la réception des Hamilton-Sweeney pour retrouver Regan, cette soeur que William, son amant, lui a toujours cachée ? Pourquoi ne pas saisir l'occasion d'en apprendre plus sur lui, l'ancien leader du groupe punk Ex Post Facto ? Bientôt, des coups de feu retentissent dans Central Park. Une ombre s'écroule dans la neige.Qu'est-ce qui peut bien relier ces personnages à ce drame ? Alors que rien ne les prédestinait à se rencontrer, leurs histoires ne vont cesser de se croiser et de s'entremêler jusqu'au blackout du 13 juillet 1977. Une immense coupure de courant plonge alors New York dans le noir. Leurs vies en seront bouleversées à jamais...City on Fire est une ode à New York, un roman flamboyant et inoubliable sur l'amour, la trahison et le pardon, sur l'art, la vérité et le rock, et sur cette interrogation : qu'est-ce qui rend la vie digne d'être vécue ?

City On Fire

Garth Risk Hallberg, né en novembre 1978 en Louisiane, est un écrivain américain.

J'ai associé l'excellence à l'écriture avec New York.

J'essaie de me concentrer sur mon travail tel que je le vois, qui est d'écrire la prochaine chose et de rester, dans la mesure où j'étais, un notificateur.

Un film fragmenté comme « Babel » donne une impression de « nervosité » mais, dans sa forme, ne nous dit rien que nous ne sachions déjà.

Je suis le genre de lecteur qui, si j'aime quelque chose, je ne veux pas que cela se termine.

Je travaillais mon premier travail pour adultes, un travail journalistique quasi, écrivant du contenu pour un site Web. Dans les bureaux, nous avions des banques de téléviseurs, des papiers, un flux médiatique constant, qui était inhabituel pour 2001.

Je ne suis pas confiant dans ma propre capacité à résister à la force titanesque de mon propre ego.

Je respecte Billy Joel, mais je ne suis pas un gars qui va s'asseoir et écouter l'intégralité de «l'essentiel Billy Joel».

Narnia, la Terre du Milieu et New York étaient mes trois univers fantastiques quand j'étais enfant.

La lecture n'était pas seulement une évasion ou un pansement; C'était une forme profonde de sentiment vu et reconnu, et de pouvoir voir et reconnaître d'autres esprits apparentés. Mon père était également écrivain, ce qui avait probablement quelque chose à voir avec cela.

L'écriture qui me semble la meilleure, je l'expérimente parfois, est une sorte d'écoute étrangement profonde - comme, j'ai l'impression que si vous écoutez assez fort, la prochaine phrase vous dira ce qu'elle doit être.

L'une des façons dont je suis sorti était que j'étais un lecteur très passionné. Il y avait probablement une nature cyclique à cela; Plus je me sentais comme un paria, plus je cherchais refuge dans les livres, et plus je cherchais refuge dans les livres, plus cela ne me faisait pas parler la même langue que mes pairs.

Tout personnage qui ne peut pas être gardé droit, pour moi, n'est pas un personnage qui devrait être dans le livre - vous savez, quiconque n'est pas assez vif pour avoir une revendication sur mon attention.

Il se peut que Tolstoï et Virginia Woolf soient assis autour de s'inquiéter de leurs critiques d'Amazon ou de leur pré-Pub, mais j'en doute en quelque sorte. Je ne pense pas que ce soit ainsi que le travail a probablement été fait.

J'ai grandi dans une ville universitaire dans l'est de la Caroline du Nord - ce qu'on appelle Tobacco Road. C'était très rural.

Si je pouvais faire ce que fait Hilary Mantel, je le ferais probablement. Elle est plus intelligente et une meilleure chercheuse et sait plus ce qu'elle est que moi.

J'ai eu une semaine à l'automne 1996 où je me disais: «Je suis le plus grand poète adolescent vivant de l'Amérique».

Je trouve que les lecteurs sont toujours ravis de plonger dans un monde.

À 14 et 15 ans, j'étais en quelque sorte le beatnik résident de ma ville.

Quand je me connecte, il y a ce cycle d'anxiété et de narcissisme qui prend le dessus, qui est la partie de moi que j'aime le moins.

Les écrivains depuis au moins l'apogée de Gore Vidal ont déploré la défection de leur public à d'autres formes de divertissement.

J'ai ce tropisme étrange pour les îles. Emmenez-moi sur une île aussi loin de New York que possible.

Vous n'avez pas à vous soumettre au balayage et à la rigueur du livre de Bourdieu `` Distinction '' pour ressentir à quel point une version en calories inférieure de ses idées a été absorbée par la circulation sanguine culturelle.

Au collège, j'étais un grand fan des «Les Misérables». Je semble me rappeler que les gens qui étaient dans la littérature française préféraient la poésie d'Hugo.

Pour une raison quelconque, j'ai passé le début de la trentaine à lire autant de fiction hongroise d'après-guerre que de mettre la main.

Lorsque quelque chose est à risque ou en danger ou sur le point d'être perdu, ce sont les moments où vous commencez à réaliser à quel point cela signifie pour vous.

Je venais à New York pour les week-ends depuis que j'ai 17 ans, et après le 11 septembre, j'ai commencé à faire ces voyages plus fréquemment, juste pour entrer en contact avec la ville.

Je me souviens avoir lu «The Hobbit» lors d'un voyage en voiture de l'Ohio au Mississippi et de sortir à la tête du Mississippi et de me sentir décalé à mon retour de la Terre du Milieu.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Garth_Risk_Hallberg

Ses oeuvres

Ses derniers livres