Bjrnstjerne Bjrnson was awarded the Nobel Prize in Literature in 1903. Beyond his fatherland Bjrnstjerne Bjrnson is known as a great poet. To Norway he is more than a poet. Not only has he written beautiful stories, songs, and dramas for his people; he lives the daily life of this people, and holds unbroken intercourse with them. He who has it in his power to create the most refined, the most delicate poetry, does not esteem himself above the rudest tasks, those of the journalist and the popular orator, where there is a question of furthering the moral and political education of the Norwegian people, by combating an error or a lie, or by ensuring the propagation of some simple, but as yet unrecognized truth. There emanates from him a breath of life. Where his spirit now penetrates there follows a development of self-knowledge and love of truth, national faults are shaken off, a growing interest is manifested in all intellectual topics, all public affairs, and a wholesome self-confidence appears side by side with this interest. He has grasped the significance of the poet's mission in its broadest sense.

Björnstjerne Björnson : the Norwegian poet and novelist

This book deals with the life and works of Hans Christian Andersen, a great Danish writer, poet and fabulist, born at Odense, in 1805. In the spring of 1872 Andersen had an awkward accident, falling out of bed and severely hurting himself. He was never again quite well, but he lived till the 4th of August 1875, when he died in the house called Rolighed, near Copenhagen.

Hans Christian Andersen: the Great Danish Author

Paul Heyse was a great German novelist who was awarded the Nobel Prize in Literature in 1910.
His father was a celebrated scholar and professor at the University; and he himself, while still a student, undertook a special tour in Italy in order to examine manuscripts in the libraries of Florence, Rome, and Venice.
Whoever casts a glance on the long row of closely printed volumes which form Paul Heyse's complete works, and remembers that the author was born in the year 1830, will first of all be apt to exclaim, "What industry!" Involuntarily he will trace back this astonishing productiveness to a will power of rare endurance. None the less, however, does it owe its origin to a singularly fortunate nature. This nature possessed within itself so luxuriant a fruitfulness that it has yielded its harvest without the least effort of the will, without any undue exertion; it has yielded a harvest of such variety that we might believe it to be fostered according to a defined plan and with a painstaking will; nevertheless, it has obviously been permitted to act with thorough independence...

Paul Heyse : the German Eminent Author

This book deals with the life and works of Henrik Ibsen, the Norwegian Dramatist and Poet; with his personal and intellectual characteristics.

Henrik Johan Ibsen was born on March 20, 1828, at the little seaport of Skien, situated at the head of a long fiord on the south coast of Norway.

When, at thirty-six years of age, he left Norway to go into that exile from which he has not yet returned, it was with a heavy and embittered heart, after a youth passed on the sunless side of life.

His parents, on their paternal as well as maternal side, belonged to families of the highest standing in the town. His father was a merchant, engaged in varied and extensive activities, and enjoying the exercise of an almost unlimited hospitality. In 1836, however, the worthy gentleman was compelled to suspend payments, and from the wreck of his fortunes nothing was saved for his family but a country estate a short distance from the town. Thither they removed, and were thus carried beyond the range of the circles to which they had previously belonged. In "Peer Gynt" Ibsen has employed the recollections of his own childhood as a sort of model for his description of life in wealthy Jon Gynt's home. As a lad, Henrik Ibsen became apprentice in a drug-store. He worked his way through countless difficulties before he was able, at the age of twenty-two, to enter on a student's career; even then he had neither inclination nor means for professional study; for a long time he had not so much as the means to secure for himself regular meals. His youth was hard and stem, his daily life a straggle; the paternal roof seems to have offered him no place of refuge.

Henrik Ibsen : Norwegian Dramatist and Poet

È un libro che intende, da un lato, offrire un bilancio complessivo della filosofia di Kierkegaard, da un altro, presentarne una disamina inquieta, talora dichiaratamente parziale, da una prospettiva estetica radicale e positivistica, che tuttavia resta affascinata dallo stile, dall'esistenza senza compromessi e, paradossalmente, pur contestandola, persino dall'aspra refrattaria religiosità del pensatore. Un libro leggibilissimo, insieme di analisi e di polemica, che, fissando certi duraturi paradigmi interpretativi, introduce sia a Kierkegaard sia a quella straordinaria intelligenza, insieme analitica, romantica e umorale, che fu Georg Brandes, il quale si dichiarava convinto che il « punto di vista critico » dovesse essere inevitabilmente « personale, ma il punto di vista personale mai arbitrario ».

Søren Kierkegaard - Un saggio critico complessivo

Henrik Ibsen: Die Wildente. Schauspiel in fünf Akten

Vildanden. Erstdruck: Kopenhagen, 1884. Textgrundlage: Sämtliche Werke in deutscher Sprache. Durchgesehen und eingeleitet von Georg Brandes, Julius Elias, Paul Schlenther. S. Fischer, Berlin.

Vollständige Neuausgabe mit einer Biographie des Autors.

Herausgegeben von Karl-Maria Guth.

Berlin 2016.

Umschlaggestaltung von Thomas Schultz-Overhage unter Verwendung des Bildes: James Audubon, Wildente, 1831.

Gesetzt aus Minion Pro, 11 pt.

Die Wildente - Schauspiel in fünf Akten

Comme le disait Henrik Ibsen, il y a eu un avant et un après Georg Brandes (1842-1927). Le critique danois est en quelque sorte le père des lettres nordiques modernes. Esprit cosmopolite et militant, il affirme que la littérature doit être liée à la réalité et susciter le débat, sous peine de perdre toute signification. Parcourant l'Europe, il a fréquenté bon nombre d'écrivains qui ont marqué le XIXe siècle. Parmi eux. Renan, qu'il a rencontré à une époque charnière de sa vie : celle qui a précédé et suivi la Guerre de 1870, période difficile et qui laissera des traces chez un penseur qui avait porté haut les valeurs de l'Allemagne. Période qui correspond également au voyage que l'auteur de la Vie de Jésus effectua en Norvège et dont le récit figure ici à la suite de l'essai de Brandes. Un essai qui apporte sa part de nouveautés aux études sur Renan et il faut voir l'étonnement de notre Scandinave devant les idées du Français sur l'éducation du peuple ou le mariage des filles, pour nous contenter de ces deux exemples, ou encore son appréciation sur le conflit franco-allemand et ses répercussions...

Ernest Renan - Suivi de : Ernest Renan : Voyage en Norvège

Georg Morris Cohen Brandes (Copenhague, 1842 - Copenhague, 1927), également orthographié Georges Brandès dans les anciennes traductions en français, est un écrivain et critique littéraire danois. Il fut le véritable responsable de ce que l'on a convenu d'appeler la « percée moderne » des lettres scandinaves, c'est-à-dire leur irruption au premier plan des lettres européennes.

Dostoïevsky prêche la moralité du paria, la moralité de l'esclave.

Mais quand j'avais douze ans, j'ai attrapé mon premier fort aperçu de l'une des forces fondamentales de l'existence, dont je suis destiné à être pour la vie - à savoir la beauté.

Le flux de temps balaie les erreurs et laisse la vérité à l'héritage de l'humanité.

Je n'ai pas été donné de regarder la vie sous un jour rose.

Celui qui ne comprend pas une blague, il ne comprend pas le danois.

Le grand homme n'est pas l'enfant de son âge mais son beau-enfant.

Sous la domination des prêtres, notre terre est devenue la planète ascétique; Une décolleté sordide à travers l'espace, peuplé de créatures mécontents et arrogantes, qui étaient dégoûtées de la vie, abhoraient leur globe comme une vallée de larmes, et qui, dans leur envie et la haine de la beauté et de la joie, a fait autant de mal que possible.

Mais qu'en est-il de la voix et du jugement de la conscience? La difficulté est que nous avons une conscience derrière notre conscience, intellectuelle derrière la morale. ... Nous pouvons voir assez bien que nos opinions sur ce qui est noble et bon, nos évaluations morales, sont des leviers puissants en ce qui concerne l'action; Mais nous devons commencer par affiner ces opinions et créer indépendamment pour nous-mêmes de nouvelles tableaux de valeurs.

Parmi les plaisirs de l'été, il y avait les pique-niques dans les bois.

Je suis venu au monde deux mois trop tôt, j'étais tellement pressé.

Il semble à Nietzsche que l'ère moderne a produit pour imiter trois types d'homme ... Premièrement, l'homme de Rousseau, le Titan qui se lève ... et dans son besoin, appelle la nature sainte. Puis l'homme de Goethe ... un spectateur du monde ... L'homme de Troisième Schopenhauer ... prend volontairement la douleur de dire la vérité.

Mes premières expériences d'amitié académiques m'ont fait sourire après des années quand je les ai regardés. Mais mon cercle de connaissances s'était progressivement développé si grand que ce n'était que de nouvelles amitiés naturelles qui devraient en sortir.

Tout sentiment que j'enrichais mon esprit de ceux qui m'entourent était malheureusement rare avec moi.

Un amour pour l'humanité m'envahit, arrosa et fertilisa les champs de mon monde intérieur qui étaient restés en jachère, et cet amour de l'humanité se déversa dans une immense compassion.

Il est inutile d'envoyer des armées contre les idées.

La foule suivra un chef qui marche vingt pas devant eux, mais s'il a mille pas les pas devant eux, ils ne le verront ni ne le suivront.

Je n'avais pas peur de ce que je n'aimais pas. Pour surmonter l'aversion à une chose qui satisfait souvent son sentiment d'honneur.

J'ai admiré dans les autres la force qui me manquait.

Ces [chrétiens] étaient partis à aimer sur Terre: frères et sœurs en haine, qu'ils ont alors appelés: frères et sœurs amoureux.

J'étais chez moi alors dans le monde des figures, mais pas dans celle des valeurs.

Il m'est progressivement rendu compte qu'il n'y avait personne de plus difficile à plaire que ma mère.

Mais mon doute ne serait pas surmonté. Kierkegaard avait déclaré que ce n'était que dans la conscience du péché que le christianisme n'était ni l'horreur ni la folie. Pour moi, c'était parfois les deux.

L'oubli, le non historique, est ... l'atmosphère, dans laquelle la vie seule peut naître. Afin de le comprendre, imaginons un jeune qui est saisi avec une passion pour une femme ou un homme influencé par une passion pour son travail. Dans les deux cas, ce qui se cache derrière eux a cessé d'exister et pourtant cet état (le plus non historique qui puisse être imaginé) est celle dans laquelle chaque action, chaque grande action est conçue et accomplie.

[Nietzsche] s'attribue un instinct de propreté extrêmement vif et sensible. Au premier contact, la saleté qui est à la base de la nature d'autrui lui est révélée. Les impurs sont donc mal à l'aise en sa présence

J'entendais toujours que j'étais pâle, mince et petit.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Georg_Brandes

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