Greg Berlanti, né le 24 mai 1972 à Rye (État de New York), est un producteur, scénariste et réalisateur de télévision américain.

Il y a quelques redémarrages que j'adorerais voir que j'adorerais n'avoir rien à voir! J'adorerais regarder comme un spectateur. «Quantum Lea» - quelqu'un devrait ramener cela. J'adorerais voir un autre spectacle «Star Trek» en ondes. J'ai adoré «Buck Rogers»; Quelqu'un devrait faire ça. Mais je ne veux pas faire de ces choses.

Je pense qu'Everwood procure un sentiment unique, une expérience émotionnelle. Les autres séries télévisées n'ont pas le talent d'acteur nécessaire pour faire cela. Chacun de nos acteurs peut jouer une scène sérieuse et une scène humoristique, et tout cela dans la même séquence. Ils peuvent passer d'un moment déchirant à un moment humoristique.

Pendant la majeure partie de mon enfance, même à l'université, il y avait beaucoup de sensations très seules. J'ai adoré la télévision, donc quand ces épisodes très spéciaux de tout sont venus, ou quand certains personnages reflétaient le monde dans lequel je vivais, je me sentais connecté.

Ce que j'apprécie probablement le plus et que je suis le meilleur dans la forme d'art dans laquelle je travaille, c'est d'être le protecteur de l'expérience émotionnelle du public.

Les premiers épisodes de télévision que je me comparent aux pièces en dehors de la ville. Vous pouvez les rendre meilleurs. Vous n'avez pas tout le temps dans le monde, mais vous avez le temps de les améliorer et de les améliorer au fur et à mesure.

Flash" est un drame familial, "Arrow" une saga épique

À la télévision, en général, plus vous essayez de plaire à tout le monde, moins vous faites plaisir à des gens.

C'est l'une des choses que «Everwood» - ce qui fait un grand épisode «Everwood», c'est quand cela vous fait rire et pleurer, parfois en même temps. Dès la première saison, nous avons toujours eu la chance de faire face à la mort d'une manière très réelle, d'une manière que beaucoup d'autres spectacles ne peuvent pas ou ne le font pas.

Vous voulez aller dans un endroit où vous travaillez tous les jours, où vous pouvez raconter des histoires qui ressemblent au public en Amérique qui regardent. Vous êtes vraiment limité, si vous entrez dans une pièce et que vous pouvez simplement raconter des histoires à ce sujet. Nous avons donc été vraiment bénis.

Ce que j'ai vraiment apprécié d'Obama dans la dernière campagne, c'est qu'il n'était pas réactif, et nous sommes une culture réactive ... il faut une certaine force pour être patient et avoir un plan.

Il n'y a rien que je voulais plus ou attendu plus longtemps que d'être père.

Si je devais donner une cote, je dirais que 30% de la bonne fortune que j'ai eu dans cette entreprise a été de la chance, et 50% ont jeté - c'est donc 80% là. Et 20% ne font que travailler très dur et prennent des risques.

Cela fait partie de ce qui m'a toujours fasciné à propos du flash. Oui, il avait des superpuissances, mais il n'était pas surhumain. Il était vulnérable. Il pourrait être blessé ou tué. Il n'obtient pas un jet. Il est en fait le jet. Il avait donc ce cadeau, mais avec ce risque est venu. Et je pense que c'est ce qui rend le personnage relatable.

Vous devez toujours essayer d'y penser comme de vraies personnes d'abord, et pas seulement des héros. Ils doivent être de vrais personnages. Comme les gens font de plus en plus de trucs de super-héros, les personnages sont ce qui le distingue, tout comme dans les émissions de flic.

Quand nous avons commencé «Arrow», il n'y avait pas vraiment beaucoup de spectacles de super-héros en général. Et c'était un fardeau pour nous parce que c'était: «Allez-vous échouer ou réussir? Et maintenant ils sont partout.

J'ai lu de merveille, mais j'étais plus un gars de DC. En particulier le flash, Barry Allen. Je lui suis accroché à lui parce que je me sentais comme lui. Vous vous êtes dit: «Eh bien, vous ne pouvez pas vraiment être Superman». Vous ne pouviez pas vraiment être Batman - Batman était une silhouette vraiment sombre. Je me suis identifié avec l'espoir de Barry Allen.

Je pense qu'une grande partie de ce que j'ai fait est que les gens se sentent comme s'ils faisaient partie du monde mais pas non plus en même temps. Je ne sais pas si cela vient d'être gay, mais je pense vraiment que cela résonne avec moi.

Je me souviens quand il y avait des histoires avec des personnages gays sur des émissions comme «famille» et «dynastie» et en pensant, j'ai quelque chose en commun avec cette personne. C'était bien avant Internet et toute la visibilité qui a apporté avec elle.

J'étais un fan de DC; Le flash a toujours été mon personnage préféré. Il était en quelque sorte le gars le plus moyen parmi toutes ces icônes, même s'il avait une super vitesse, vous savez?

Je ne faisais pas partie de ces enfants gays qui savaient définitivement à l'âge de 13 ans.

Il y a encore plus de mélange de genres. Ils mélangent la science-fiction avec l'action ou le drame familial avec un spectacle mystère. Les gens ne veulent pas simplement faire la même chose que tout le monde a fait mille fois auparavant, et c'est probablement une grande partie de cela. Je pense que vous voyez aussi la télévision et les fonctionnalités se parler. Vous le voyez se produire dans les films, et cela commence à se refléter sur le petit écran.

Surtout avec les DVR de nos jours, les gens ont leur liste. De plus en plus, ce n'est pas seulement: «Je vais regarder ce qui se passe à 21 heures. Ils ont leur arriéré des émissions qu'ils regardent toujours, qu'ils enregistrent chaque semaine, et c'est une question, comment entrez-vous dans cette liste?

Parfois, les gars qui dirigent la boutique d'effets visuels l'enterreront et ne nous le disent pas. Nous serons au milieu de l'édition, en le regardant pour la cinquième ou la sixième fois, et nous nous dirons: "Qu'est-ce que ce gros W sur ce bâtiment? Je ne pense pas que nous puissions faire ça. Nous n'avons pas a demandé à DC. " Et puis, ils le retirent.

Le travail de la télévision est de vous faire vous appuyer, et le travail d'un film est de vous faire vous appuyer en arrière.

Nous avons fait «Jack & Bobby» au milieu des élections de Kerry / Bush. Ça fait un peu de mal. Peu importe ce que nous avons fait, tout le monde pensait que nous plaidions pour une personne de l'autre. Les choses sur lesquelles je travaille sont plus sur les gens.

Les gens ne voient plus vraiment les émissions de télévision et les films comme différents. Ils attendent la même qualité.

La télévision est finalement une affaire d'échec. Vous essayez beaucoup de choses et la plupart échouent.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Greg_Berlanti

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