Harold Martin Feinstein (né le 17 avril 1931 à Brooklyn et mort le 20 juin 2015 à Merrimac) est un photographe et professeur de photographie américain.
Il est célèbre pour ses photographies de Coney Island et des clubs de jazz de Manhattan des années 1950.

J'aime cette vie. J'ai l'impression de reprendre mon souffle et de dire: «Oh! Veux-tu regarder ça? La photographie a été ma façon de témoigner de la joie que je trouve en voyant l'extraordinaire dans la vie ordinaire. Vous ne cherchez pas des photos. Vos photos vous recherchent.

Le fait est que les images sont partout. La question est de savoir ce que nous ne voyons pas et pourquoi ne voyons-nous pas autant. Je le vois juste.

[Nous avons cessé de voir la vie dans laquelle nous vivons. J'ai l'intention de faire revisiter le spectateur les cadeaux dont nous sommes entourés et de les voir comme pour la première fois.

J'ai toujours l'impression d'avoir une vie très chanceuse. Par exemple, je ne voulais certainement pas aller dans l'armée: quand j'ai été repêché pendant la guerre de Corée, je voulais y aller en tant que photographe. Mais heureusement, ils m'ont mis dans l'infanterie - heureusement parce que le photographe officiel photographiait l'attribution de la médaille et toutes les situations officielles.

D'une part, vous voulez bien voir votre sujet. D'un autre côté, vous voulez être pris au dépourvu pour conserver la spontanéité. Si vous connaissez trop bien votre sujet, vous cessez de le voir.

Lorsque votre bouche s'ouvre, cliquez sur l'obturateur.

Surtout, j'ai travaillé si rapidement, je n'ai pas vu les détails d'une photo jusqu'à ce qu'il soit imprimé.

Vous devez photographier là où vous êtes impliqué; où vous êtes submergé par ce que vous voyez avant vous; Où vous retenez votre souffle tout en libérant l'obturateur, non pas parce que vous avez peur de vous choquer la caméra, mais parce que vous voyez avec vos tripes grandes ouvertes à la douce douleur d'une image qui fait partie de votre vie.

J'ai été attiré par la photographie de rue parce qu'il y a des photos partout là-bas: une femme tenant un chien, un bébé hurlant pour être mis dans un landau, des enfants jouant au coup de poing, des magasins avec d'énormes barils de cornichons casher à l'extérieur. Je voulais photographier la vie, et le voici.

La seule fois où j'ai vraiment ressenti une envie, c'est quand j'ai regardé des gens faire de la musique, ce qui a fait de mon temps dans le loft jazz désormais légendaire au 821 Sixth Avenue à New York une source constante d'agonie et d'ecstasy!

Vous devez photographier là où vous êtes impliqué; où vous êtes submergé par ce que vous voyez avant vous.

Coney Island est et sera toujours «l'aire de jeux populaire». C'est un endroit où les gens de tous horizons viennent passer un bon moment.

Je suis né à Coney Island. J'aime à penser que je suis tombé de l'utérus sur le saut de parachute géant du parc amusant tout en mangeant un hot-dog de Nathan.

Coney Island était le centre du monde pour moi. J'ai adoré les manèges, les hot-dogs - je ne l'ai jamais surmonté.

J'ai commencé à photographier en 1946. Avant cela, j'étais peintre et tiroir, avec le soutien de ma mère et de mon père. Ils étaient un peu énervés quand je suis allé en photographie. Ils pensaient que les photographes étaient des gars qui prenaient des photos lors des mariages.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Feinstein

Ses oeuvres