Not everything is what it seems. Drovers Gap, population 703, appears to the tourists passing through as one more sleepy Appalachian village, just off the interstate, on the way to someplace spectacular and important. But there are simmering tensions and unspoken malice behind the seemingly placid facades, and a spark from afar will ignite an explosive and insatiable evil that hungers to devour the town and everyone in it.

Among the Fallen

Gardeners disagree about many things-cannas, double petunias, the color magenta-but on one subject they are unanimous. Henry Mitchell was simply the best garden writer this country has ever produced. As Allen Lacy writes in his introduction to this, the final collection of Mitchell's gardening essays, "In a time when most garden writing was lethally dull and as impersonal as a committee report, Henry Mitchell was the great exception. He was often funny. He was always passionate, for his loves were many, although by the evidence he was especially enamored of bearded irises, roses, and dragonflies. He was endlessly quotable, whether he was telling his faithful readers that 'marigolds should be used as sparingly as ultimatums' or reminding them that 'to go from winter to summer you have to pass March.'" But Mitchell was more than a master essayist whose newspaper columns were read and treasured even by those who had no interest in gardens or in his other passion, dogs. He was a great teacher. As one reviewer said of his book One Man's Garden, it "reflects a zest for gardening and provides more useful advice than one could find in a dozen how-to books." For twenty years Mitchell's column "The Essential Earthman" was a weekly feature in the Washington Post. And whether he was extolling the perfection of the capital's summer weather (best enjoyed at six A. M. while viewing his water lilies and eating an ice-cold Vidalia onion sandwich) or deriding the idea that England was a decent place to garden or extolling the virtue of leaving plants alone if they are doing well, his reputation spread through friends who clipped his columns and sent them to those unlucky enough not to have access to the Post. When his first collection, The Essential Earthman, was published, Mitchell became the national treasure he deserved to be. As Lacy writes, "These books will continue to find and delight new readers long into the coming century, for they are classics."

Henry Mitchell On Gardening

Il n'y a pas de pouces verts ni de pouces noirs. Il n'y a que des jardiniers et des non-stadeurs. Les jardiniers sont ceux qui ruinent après la ruine avec le grand défi de la nature elle-même, créant, face à son chaos et à la tornade, la bower des roses et la fierté des iris. Il semble très bien de jardiner une «manière naturelle». Vous pouvez voir la manière naturelle dans n'importe quel désert, n'importe quel marais, tout enfer laurier rempli de sangsue. Le défi, en revanche, est ce qui fait que les jardiniers.

La nature n'hésite pas à interférer avec moi. Je n'hésite donc pas à en affronter.

Tout ce que tout le monde a besoin de savoir sur les prix, c'est que Mozart n'en a jamais gagné.

Il n'y a rien de tel que les premiers jours chauds du printemps lorsque le jardinier cesse de se demander s'il est trop tôt pour planter les Dahlias et commence à se demander s'il est trop tard.

Le jardinage est une longue route, avec de nombreux détours et stations de chemin, et nous sommes tous à un moment ou à un autre. Ce n'est pas une question de goût supérieur ou inférieur, simplement une question de savoir quel détour nous nous sommes en ce moment. Il n'est pas important de vous y rendre (comme on dit); L'errance dans le désert ou dans les olive Groves ou dans les bayous est le point entier.

Maintenant, le jardinier est celui qui a vu tout ruiné tant de fois que (même si sa douleur augmente avec chaque perte), il comprend vraiment - sait vraiment - que là où il y avait un jardin une fois, il peut être à nouveau, ou où il n'y a jamais eu, Il peut encore y avoir un jardin.

Il n'y a rien de tel que les premiers jours chauds du printemps lorsque le jardinier cesse de se demander s'il est trop tôt pour planter les Dahlias et commence à se demander s'il est trop tard. Même le plus beau temps n'apaira pas la notion du jardinier (bien fondé en fait) qu'il est en quelque sorte trop tard, trop tôt, ou qu'il a trop de choses en cours ou pas assez. Car le jardin est la scène sur laquelle le jardinier exulte et agonise chaque crête et gouffre du cœur.

Au moment où l'une est quatre-vingts, dit-on, il n'y a plus de tiraille dans le jardin avec les fleurs de mai transportant comme folles contre les affirmations des autres mois. Tout est enfin en équilibre et tout est serein. Le jardinier est généralement mort, bien sûr.

Les crapauds sont des animaux conservateurs, je pense, et pas très donné à l'attente du meilleur de la fortune. Il y a quelques semaines, bien avant la fin octobre, j'en ai accidentellement creusé un tout en retournant du jardin. J'ai été surpris, naturellement, quand l'un des mottes se soulevait sur sa dé et là, dans une certaine gêne, était assis au crapaud.

Le jardinage est plein d'erreurs, presque toutes agréables et certaines d'entre elles réellement instructives.

Presque n'importe quel jardin, si vous le voyez au bon moment, peut être confondu avec le paradis.

Par rapport aux jardiniers, je pense qu'il est généralement convenu que les autres comprennent très peu quoi que ce soit de conséquence.

Le simple fait que vous obteniez beaucoup de graines dans un paquet ne signifie pas que vous devez tous les planter.

Baisser le bruit. Réduire la vitesse. Soyez comme les ours somnolents, ou ces autres animaux qui ralentissent presque en train de mourir pendant la saison froide. Que ce soit comme ça. La magie est là en son pouvoir.

Partout où les humains jardinent magnifiquement, il y a de magnifiques chagrins.

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