Ancien négociateur détaché par l'ONU dans la gestion des conflits internationaux, Gideon Davis apprend l'imminence d'un complot terroriste sur le sol américain. Il en informe son ex-petite amie, l'agent du FBI Nancy Clement, mais les supérieurs de celle-ci remettent en question la source de Gideon, un drogué proche d'un groupe suprématiste paramilitaire dirigé par le colonel Jim Verhoven. Quand l'informateur se fait tuer avant d'avoir pu donner plus de détails, Gideon, pressé par le temps, demande à son frère Tillman, récemment sorti de prison, d'infiltrer le groupe de Verhoven afin de remonter la piste conspirationniste. Très vite, la cible est identifiée : une attaque massive se prépare contre le gouvernement américain. Les deux frères s'engagent alors dans une course folle pour arrêter ce complot aux ramifications nombreuses et inattendues.  Aussi palpitant qu'une saison de 24 heures chrono, aussi complexe et documenté qu'un épisode de Homeland, La Cible nous offre un suspense de tous les instants qui ravira les fans des deux séries.

La Cible

Ancien négociateur détaché par l'ONU dans la gestion des conflits internationaux, Gideon Davis apprend l'imminence d'un complot terroriste sur le sol américain. Il en informe son ex-petite amie, l'agent du FBI Nancy Clement, mais les supérieurs de celle-ci remettent en question la source de Gideon, un drogué proche d'un groupe suprématiste paramilitaire dirigé par le colonel Jim Verhoven. Quand l'informateur se fait tuer avant d'avoir pu donner plus de détails, Gideon, pressé par le temps, demande à son frère Tillman, récemment sorti de prison, d'infiltrer le groupe de Verhoven afin de remonter la piste conspirationniste. Très vite, la cible est identifiée : une attaque massive se prépare contre le gouvernement américain. Les deux frères s'engagent alors dans une course folle pour arrêter ce complot aux ramifications nombreuses et inattendues.

Aussi palpitant qu'une saison de 24 heures chrono, aussi complexe et documenté qu'un épisode de Homeland, La Cible nous offre un suspense de tous les instants qui ravira les fans des deux séries.

La cible

Ancien négociateur détaché par l'ONU dans la gestion des conflits internationaux, Gideon Davis apprend l'imminence d'un complot terroriste sur le sol américain. Il en informe son ex-petite amie, l'agent du FBI Nancy Clement, mais les supérieurs de celle-ci remettent en question la source de Gideon, un drogué proche d'un groupe suprématiste paramilitaire dirigé par le colonel Jim Verhoven. Quand l'informateur se fait tuer avant d'avoir pu donner plus de détails, Gideon, pressé par le temps, demande à son frère Tillman, récemment sorti de prison, d'infiltrer le groupe de Verhoven afin de remonter la piste conspirationniste. Très vite, la cible est identifiée : une attaque massive se prépare contre le gouvernement américain. Les deux frères s'engagent alors dans une course folle pour arrêter ce complot aux ramifications nombreuses et inattendues.
 
Aussi palpitant qu'une saison de 24 heures chrono, aussi complexe et documenté qu'un épisode de Homeland, La Cible nous offre un suspense de tous les instants qui ravira les fans des deux séries.

Les talents de négociateur et les compétences tactiques de Gideon Davis lui ont valu le rôle de pacificateur dans les conflits sensibles du monde entier. Sa nouvelle mission : récupérer pour Washington un agent double de l'Asie du Sud-Est qui n'accepte, paraît-il, de ne se rendre qu'à lui. Cet agent, c'est Tillman Davis, son frère. Les deux hommes ne se sont pas vus depuis des années... Mais plutôt que de se livrer, Tillman prend en otage un membre du gouvernement. Gideon est alors contraint de débarquer dans un pays déchiré par de violents combats pour atteindre l'Obélisque, une plate-forme pétrolière ultramoderne envahie par des terroristes dirigés par... Tillman lui-même ! Entraîné dans une course contre la montre, il doit ramener son frère à la raison et empêcher une conspiration internationale de provoquer une hécatombe.

L'obélisque

Lorsque vous écrivez un roman, vous racontez toujours une histoire. Mais vous le dites très différemment. C'est un métier comme toute autre chose.

Traditionnellement, les gens adaptent à jamais des romans et des nouvelles. Maintenant, ils le font simultanément, en vue d'écrire le film avant même que le roman ne soit sorti ou terminé. C'est fonction de cette société hyper-accélérée dans laquelle nous vivons, où tout le monde essaie de court-circuiter le processus.

J'ai toujours voulu écrire un roman. C'est écrasant et intimidant, et c'est l'une de ces choses que chaque écrivain fantasme.

Ce qui est absolument vrai, c'est que toute bonne série [télévisée] a une voix spécifique. Et je pense que cette voix est presque exclusivement le domaine du producteur exécutif. . . . En tant que rédacteur du personnel, vous n'êtes pas appelé à être la grande personne créative. Vous êtes en quelque sorte appelé à comprendre les personnages et leurs voix et les mettre à certains rythmes.

Je savais que je voulais être écrivain. D'où je viens, personne n'était écrivain. Je suis venu de Long Island, et tout le monde est devenu médecin ou avocat ou ingénieur ou enseignant ou homme d'affaires. Je ne connaissais aucun écrivain.

Ses lèvres étaient comme la douce beauté d'une écharpe en soie délicatement conçue.

Lorsque vous faites une émission de télévision, l'intimité cumulative que vous développez avec le public via vos personnages est assez profonde. C'est peut-être la narration la plus profonde qui soit, car le personnage peut vivre et se déplacer dans l'esprit du public semaine après semaine.

La télévision et le film sont des médias très différents avec des exigences différentes. Dans une émission de télévision, vous avez des acteurs et collègues écrivains et réalisateurs, qui interprètent votre travail. Avec un roman, vous n'avez que de l'encre, des mots et votre lecteur.

À certains égards, un roman n'est pas aussi structurellement rigoureux qu'un scénario ou une émission de télévision, qui ont des biens immobiliers finis. Dans un roman, vous pouvez éclairer plus profondément l'intérieur d'un personnage et vous échapper avec les digressions.

Dans un roman, les seules limites budgétaires sont celles de votre imagination.

L'écoute prend de la pratique, et cela prend de la patience. Mais je promets, si vous écoutez, votre histoire sera meilleure pour cela.

Faire de bonnes choses ou des choses dont vous êtes fier prend du temps et prend des efforts.

Je suis membre du Pacific Council on International Policy.

Le roman reste une forme très spéciale pour moi.

Je me sens comme un centriste, une personne spécifique au problème. Je suis assez conservateur fiscalement et assez libéral sur les questions sociales.

Nous ne sommes plus autorisés à effectuer des interrogations sévères, mais nous sommes autorisés à survoler le village de quelqu'un, sans procédure régulière, et à les tuer tous?

J'ai du chemin à parcourir en tant que romancier. Mais ce qui est génial, c'est bien, j'ai franchement apprécié la solitude. Et j'ai aimé pouvoir dire aux personnages quoi dire et faire sans négocier avec un acteur.

Je suppose que j'ai toujours été un romancier en herbe. Je suis allé à Princeton et j'ai écrit un roman pour ma thèse.

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