Qui a dit que la vie de flic était simple ? Certainement pas l'inspecteur John Rebus. Concilier vie privée et vie professionnelle relève pour lui de la haute-voltige, et sa compagne, Patience, le lui fait bien savoir lorsqu'elle le met à la porte. Sur quoi Rebus apprend que son collègue Holmes vient d'être envoyé dans le coma sans motif apparent. Seule piste à son agression : le carnet dans lequel Holmes consignait ses notes à propos d'un incendie vieux de cinq ans. Une affaire classée, si on oublie le corps tué par balle  retrouvé après l'incendie et dont le meurtrier court toujours...

Jeune, impulsif et imprudent : un Rebus comme on l'aime, à l'humour aussi aiguisé qu'une lame de rasoir et qui a l'art de s'empêtrer dans les situations les plus inextricables.

Le carnet noir

L'inspecteur John Rebus, passionné de musique, ne peut qu'être charmé par la voix douce de la mystérieuse Penny Cook, animatrice d'une émission de radio nocturne. Il lui prête mille visages, mille corps, mille vies. Lorsque Penny signale recevoir des menaces de la part de l'un de ses auditeurs, l'inspecteur voit là l'opportunité d'enfin la rencontrer.

Talk-show

L'inspecteur John Rebus est fatigué d'avance par l'arrivée de ce gendarme en vadrouille, au nom ridicule de Cluzeau, qu'on lui a refourgué pour la journée. Mais celui-ci s'avère plus utile que prévu lorsqu'il s'agit d'élucider un vol commis dans un lieu clos, une galerie d'art remplie exclusivement de femmes.

Trompette monstrueuse

La mort dans l'âme

The 9th Inspector Rebus novel from the No.1 bestselling author

THE HANGING GARDEN

A Question of Blood

Dead Souls

RESURRECTION MEN

Ian Rankin, né le 28 avril 1960 à Cardenden, village de la région de Fife, est un auteur écossais de romans policiers, de nouvelles, de romans d'espionnage et de critiques littéraires. Il est surtout connu pour sa série policière ayant pour héros l'inspecteur de police John Rebus.

C'était le rire d'anniversaires, d'argent trouvé dans une vieille poche.

J'ai commencé à écrire des romans pendant un étudiant de premier cycle, dans le but de donner un sens à la ville d'Édimbourg, en utilisant un détective comme protagoniste. Espérons que chaque livre ajoute un autre article à la scie sauteuse qui est l'Écosse moderne, posant des questions sur la politique, l'économie, la psyché et l'histoire du pays ... et peut-être pointant vers son avenir possible.

Je pense toujours que la plupart des écrivains ne sont que des enfants qui refusent de grandir. Nous jouons toujours à des jeux imaginaires, avec nos amis imaginaires.

Ses yeux ne voyaient pas la beauté non pas en réalité mais dans le mot imprimé. Debout dans la salle d'attente, il s'est rendu compte que dans sa vie, il avait accepté l'expérience secondaire - l'expérience de lire les pensées de quelqu'un d'autre - sur la vraie vie.

Les sorcières n’ont jamais existé, sauf dans l’esprit des gens. Il y avait tout ce qu'il y avait dans les temps anciens, c'était des femmes et des hommes qui croyaient aux guérison à base de plantes et au folklore et au souhait de voler. Sorcières? Nous sommes toutes des sorcières d'une manière ou d'une autre. Les sorcières étaient l'invention de l'humanité, fils. Nous sommes toutes des sorcières sous la peau.

Je m'intéresse à l'Écosse d'aujourd'hui et d'hier, à la façon dont elle a changé. Je veux amener le lecteur à y réfléchir en pensant à quelque chose du passé. Comment la société a-t-elle changé, comment la police a-t-elle changé, avons-nous changé philosophiquement, psychologiquement, culturellement, spirituellement ?

Je ne rébus pas. Nous ne sommes pas les mêmes. Je ne pense même pas qu'il m'aimerait si nous nous rencontrions. Il penserait que j'étais un libéral sans faille.

J'ai grandi dans une famille qui était la classe ouvrière, ce qui m'a appris à faire attention à l'argent.

Je pense que les écrivains doivent être proactifs: ils doivent utiliser les nouvelles technologies et les médias sociaux. Oui, il est difficile de se faire remarquer par les éditeurs traditionnels, mais il y a beaucoup d'opportunités si vous avez la bonne histoire.

À tout moment, pensez comme un écrivain et gardez ces antennes en mouvement - de cette façon, vous capterez de nouvelles idées.

Les gens ne me viennent pas à la recherche d'essais politiques ou de polémique - ils recherchent une bonne histoire en cliquetis.

[À propos d'un collègue ennuyeux] : Il pourrait ennuyer l'Ecosse.

On me demande souvent comment j'écris des livres, mais je ne pense pas que mon approche convient à tout le monde. Si je suis entré dans un cours d'écriture créatif, tout ce que je pouvais leur dire était «J'ai tendance à me rattraper au fur et à mesure». Je ne suis pas sûr que ce soit un conseil brillant.

La partie la plus difficile de tout roman policier est le complot. Tout commence simplement assez, mais bientôt vous avez affaire à une multitude de personnages liés, de brins, de thèmes et de harengs rouges - et vous devez essayer de contrôler ces éléments indisciplinés et de les tisser en un motif.

En 1991, j'ai remporté le prix Chandler Fulbright, qui est venu avec 20 000 $ et la stipulation de passer six mois aux États-Unis

Je ne sais pas si cela était à voir avec mes parents - nous étions de la classe ouvrière - mais il était important pour moi d'être autosuffisant.

Un bon album devrait être plus que la somme de ses parties.

J'ai toujours écrit. À l'âge de six ou sept ans, j'obtiendrais des feuilles de papier A4 et je les pliais en deux, couvais les bords pour faire un petit livret de huit pages, le casser en carrés et mettait des hommes de petit bâton avec de petites bulles de discours, et J'aurais une histoire d'espionnage, une histoire spatiale et une histoire de football.

Je ne suis qualifié pour rien. J'ai eu beaucoup de petits emplois, comme choisir des raisins et être un homme fiscal. Je ne peux pas imaginer ne pas écrire, parce que je l'ai fait depuis que j'avais cinq ou six ans. Peut-être que je travaillerais dans le monde universitaire. C'est toujours ce qu'était le plan.

Punk vous a donné une sorte de chutzpah, alors même en essayant d'être écrivain, je me suis juste pensé: «Eh bien, je vais envoyer des poèmes à« Radio Times », à« l'observateur », je viens d'essayer.

Je vais au Canada au moins tous les deux ans.

Pourquoi un romancier continue-t-il d'écrire longtemps après avoir gagné de l'argent? Parce qu'ils n'ont pas réussi à écrire le roman parfait.

Rebus prenait le petit déjeuner à la cantine et souhaitait qu'il y ait plus de caféine dans le café, ou plus de café dans le café en arrive.

De cette hauteur, la ville endormie ressemble à la construction d'un enfant, un modèle qui a refusé d'être contraint par l'imagination. Le bouchon volcanique pourrait être une pâte à pâte noire, le château équilibré solidement au sommet d'une interprétation asymétrique de briques de construction crénettes. Les réverbères orange sont froissés en caramel-wrappeurs collés aux bâtons de sucette.

J'ai une forte éthique de travail, mais je suis incroyablement paresseux aussi. Le problème d'être un écrivain est que tout ce que vous faites peut être appelé la recherche. S'asseoir dans le pub est de la recherche. La lecture du journal peut être la recherche.

Beaucoup d'écrivains, en particulier les auteurs de romans policiers, ont une image que nous pensons essayer de suivre. Vous devez être considéré comme sombre et légèrement dangereux. Mais je ne suis pas comme ça et j'ai réalisé que je n'avais pas besoin de mettre ça. Les gens achèteront les livres, qu'ils voient ou non une photo de vous vêtue de noir.

Ses oeuvres

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