Reissue of J. A. Baker's extraordinary classic of British nature writing, with an exclusive new afterword by Robert Macfarlane.

 J. A. Baker's extraordinary classic of British nature writing was first published in 1967. Greeted with acclaim, it went on to win the Duff Cooper Prize, the pre-eminent literary prize of the time. Luminaries such as Ted Hughes, Barry Lopez and Andrew Motion have cited it as one of the most important books in twentieth-century nature writing.

 Despite the association of peregrines with the wild, outer reaches of the British Isles, The Peregrine is set on the flat marshes of the Essex coast, where J. A. Baker spent long winters looking and writing about the visitors from the uplands - peregrines that spend the winter hunting the huge flocks of pigeons and waders that share the desolate landscape with them.

 This new edition of the timeless classic, published to celebrate the 50th anniversary of its first publication, features an afterword by one of the book's greatest admirers, Robert Macfarlane.

The Peregrine: 50th Anniversary Edition - Afterword by Robert Macfarlane

John Alec Baker (né le 6 août 1926 à Chelmsford, mort le 29 décembre 1986) est un écrivain britannique.

L'air froid s'élève du sol lorsque le soleil se couche. La clarté des yeux de la lumière s'intensifie. Le bord sud du ciel brille en bleu plus profond, en violet pâle, en violet, puis en grongeant gris. Lentement, le vent tombe et l'air immobile commence à geler. La crête orientale solide est noire; Il a une floraison dessus comme la poussière sur la peau d'un raisin. L'ouest s'évasé brièvement. L'ambre long et froid de la rémanence projette des ombres lunaires noires claires. Il y a un mystère animal à la lumière qui se met sur les champs comme un muscle gelé qui fléchira et se réveillera au lever du soleil.

J'ai toujours envie de faire partie de la vie extérieure, d'être là-bas au bord des choses, de laisser la soudure humaine se laver en vide et en silence alors que le renard frappe son odeur dans l'indication froide de l'eau; pour retourner en ville un étranger. Errant rince une gloire qui s'estompe à l'arrivée.

La vision avec l'action peut changer le monde.

Il n'y a pas d'essence mystérieuse que nous pouvons appeler un «endroit». Le lieu est le changement. C'est le mouvement tué par l'esprit et conservé dans l'ambre de la mémoire.

Errant rince une gloire qui s'estompe à l'arrivée.

Quoi qu'il en soit, l'acte de destruction ne varie pas beaucoup. Beauté si vapeur de la fosse de la mort.

https://fr.wikipedia.org/wiki/J._A._Baker

Ses oeuvres